Le français fuyard de Philippe Couillard
8 novembre 2014
Comme je l'ai dit sur le site de Radio-Canada, Couillard s'est comporté comme un couard. Bien sûr qu'il y a une certaine similitude entre son nom et le mot couard, et c'était bel et bien mon intention de juxtaposer les deux mots. Que peuvent nous révéler les mots? Parfois des choses auxquelles on ne s'attend pas. Comme j'ai eu un maître à penser à qui l'on ne pouvait rien cacher, j'ai acquis un savoir, une certaine connaissance et un peu de sa sagesse et je vais tenter de vous en faire la démonstration. Que manque-t-il dans les deux mots: Couillard et couard? Il manque le ill, et que veut dire : ill? Malade en anglais, la langue qu'il chérit plus que le français. Donc par sa manière d'agir, par sa cachotterie qui l'habite, il m'a révélé qu'il est malade. Oui, il est malade. Vous n'avez qu'à regarder son visage pour vous en rendre compte, il vieillit à vue d'oeil. Certains poltrons, effrontés vont dire: Tiens, ti-Jos Connaissant qui essaie de faire le "smat", il va même nous dire de quoi il est malade. Non, je ne le vous le dirai pas car je ne le sais pas. Peut-être que dans 10 minutes ou une heure ou une semaine je le saurai, mais cela n'a aucune importance pour moi. Je vous le dis, c'est tout. Il peut toujours le nier, garder le silence comme Flaherty jusqu'à ses tout derniers jours, cela ne changera rien. Il est ma la de.
Mon maître à penser: Omraam Mikhaël Aïvanhov, que j'ai connu et à qui j'ai parlé en 1983. Et lors d'une de ses conférences en 1983, il prédisait que la Chine dominerait le monde et qu'elle aurait des fusils aux rayons laser. Et en 1983, la Chine était loin d'être ce qu'elle est aujourd'hui.