Lettre envoyée à Pierre Curzi
19 juillet 2011
WOW ! ELLE EST FÂCHÉE LA MADAME QUI EN MET TROP PAR SA PLUME VITRIOLIQUE POUR ÊTRE PRISE AU SÉRIEUX... disait déjà l'autre : tout ce qui est excessif est sans importance.
Le problème avec cette raclée de bois verts servie aux démissionnaires du PQ et indirectement à VIGILE, le seul quotidien des plus sérieux dans le dessein de notre indépendance nationale où toutes les idées s'y rencontrent, est que Madame St-Onge oublie de prendre une pause entre chaque mot. Ce qui fait que l'oeuvre de Mozart est si excellente après tant de siècles c'est le silence imposée entre chaque note de sa grandiose musique. NON ?!
Trêve de plaisanteries Madame St-Onge, je vous remercie de reconnaître que vous lisez VIGILE. Cela est déjà un signe d'intelligence de votre part. Quant au fait que vous n'en partagiez pas les idées défendues bien cela est de votre droit le plus strict.
Mais le HIC dans vos propos ici partagés dans VIGILE, ce média maudit, c'est le chantage que vous faites sur le dos étroit de notre libération nationale. Trop souvent des personnes comme vous, en trop grand nombre je crois au Québec, ne font pas la différence entre ce qu'est de chérir son pays, son histoire, son indépendance pour en faire une primauté toute sa vie versus le fait du comment y arriver et ou de se comporter envers cette demeure identitaire qu'est la nôtre, le QUÉBEC. Comment peut-on dire d'un côté de la bouche que vous chérissez tant le Québec pour ensuite y vociférer toute votre hargne envers ceux et celles qui travaillent d'arrache pied dans l'action quotidienne aux fins de sa libération, de son émancipation puis de son évolution naturelle vers une commune patrie?
J'appelle ça se punir soi-même. Pensez-vous que les cubains vocifèrent de la sorte sur leur propre patrie malgré toutes les souffrances endurées? Non il le chante avec grandeur, fierté et gratuité leur grand pays qu'est Cuba.
Ce n'est pas Pauline comme vous l'appelez avec charme cette dame, cette amie, cette cheffe du PQ qui est personnellement mise en cause dans le débat en cours au Québec. C'est son incapacité notoire de rendre compte avec la plus grande intelligence qu'il soit pour ce faire pour contrer justement le p'tit pitre Charest qui est rusé, avouons-le, comme un renard. Nous demandons rien de moins aux leaders de l'indépendance, de la souveraineté du Québec de cesser d'agir comme des corbeaux devant tous ces damnés renards-ti pitre de la cause de la dépendance québécoise.
Vous vous souvenez de tous ces p'tit gars de Shwinigan, de Baie-Comeau et tant d'autres, même de ce ti-PET comment trop nombre de québécois au pouvoir agissaient devant ces prétendus petits de rien? Voilà où cela nous mener vers la galère et les sables mouvants à s'en enliser mortellement.
Il m'apparaît utile et nécessaire de mettre un terme définitif devant tous ces p'tits pitres par leur manque de qualifications notables puis de leurs mauvaises manies à ne pas offrir en opposition une stratégie, une attaque à la fois convaincantes et à la hauteur de l'intelligence de nos ennemis qui se trouvent même dans nos rangs. Et de cracher comme vous le faites sur ce grand HOMME d'ÉTAT et serviteur qu'a été Parizeau cela n'est pas du tout honorable.
À bonne "entendeure", SALUT à mon tour, Madame St-Onge !