Elle rejette donc le français comme langue commune
Nouvelle loi 96 : elle ne regrette pas son appel au boycott d’une boulangerie française de Montréal
On n’avait jamais refusé de la servir en anglais
La Québécoise anglophone à l’origine de l’appel au boycottage viral d’un boulanger de Montréal, qui aurait refusé de servir des clientes en anglais, affirme n’avoir aucun regret au lendemain de la controverse qu’elle a créée.