Un parcours tumultueux

Les casseroles du Dr Couillard

Jamais un candidat ne s'est présenté pour être premier ministre avec des antécédents aussi problématiques

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{{La crapule !}}

Alors, Philippe Couillard en a assez qu'on l'associe à Arthur Porter, l'ex-directeur général du CUSM retenu en prison au Panama ? Il se met en colère quand on évoque ses liens avec l'Arabie saoudite ? Il a bien de quoi être fâché. Qui ne le serait pas s'il se sentait ainsi visé, au défaut de la cuirasse ?

Bien sûr, tout cela n'est que pure malveillance, du salissage. Voyons donc, le docteur Couillard a bien le droit d'être allé offrir sa science et son expertise en Arabie saoudite. Tout le monde sait que le régime de santé publique du Québec ne paie pas assez ses spécialistes. Plusieurs médecins et chirurgiens comme lui sont allés augmenter leurs revenus ailleurs. Et puis, on est dans un monde libre. On a droit de travailler pour le plus offrant. Et même d'être conseiller des monarques absolus d'Arabie, comme lui l'est du prince Abdullah bin Abdulaziz Al-Rabeeah, ministre de la Santé du royaume saoudien.

Après tout, l'honorable Philippe Couillard, membre du Conseil privé de la Reine au Canada - et, de ce fait, nanti du titre « honorable » à vie - a le droit de conseiller les monarchies... et, sans doute aussi, d'être premier ministre du Québec. Qui donc pourrait s'opposer à tant d'honorabilité, sinon des envieux, des jaloux ? Ou, pire encore, des gens qui veulent salir des réputations ?

Philippe Couillard a fait quelques erreurs de parcours, il l'a avoué lui-même. Il ne savait pas qui était Arthur Porter. On le croit sur-le-champ. Peccadille. On ne saurait accabler pour si peu le champion inconditionnel du fédéralisme canadien.

Retenons-nous de juger. Regardons les faits.

De 2004 - date de la nomination de Porter à la tête du Centre de santé universitaire de McGill (CSUM) - à 2011, date de la démission de ce dernier, le Dr Couillard n'a jamais su qui était le Dr Porter. Pendant ces sept années, il a eu l'occasion de le rencontrer, voire de frayer avec lui à maintes reprises. Comme ministre de la Santé, comme professeur à McGill, comme membre du Conseil privé et membre du CSARS (Centre de surveillance des activités de renseignements de sécurité) à Ottawa; enfin, comme son associé d'affaires. Il est allé à la pêche avec Porter, a fréquenté la même loge maçonnique, a siégé au conseil d'administration de la même compagnie minière, a fondé une entreprise avec lui, tout cela sans le connaître. Le mystère des êtres, tout de même, quel drame ! Nous avons été collègues, amis, associés... et dire que je ne savais rien de lui ! Pleurez, pleurons tous en choeur. Le deuil d'une grande amitié. Noyé dans le pot de vin de SNC-Lavalin : 22 millions payables aux porteurs... du corbillard.

Voyons, ne nous emballons pas. Tenons-nous-en aux faits.

D'ailleurs, qui serions-nous pour juger si... si quelqu'un - dans sa propre famille politique - n'avait déjà lancé la première pierre ?

« Pendant que Pierre (Moreau) et moi combattions la corruption, tu faisais des affaires avec Arthur Porter » ! C'est ce qu'a lancé sans ambages Raymond Bachand au « bon » docteur Couillard, son ex-collègue dans le gouvernement Charest. C'était l'an dernier, le 26 janvier 2013, lors d'un débat à l'Université Concordia. On peut présumer que Bachand, ex-ministre des Finances du Québec, savait de quoi il parlait.

Mais revenons aux faits. Le simple déroulement des faits.

Arthur Porter avait été nommé directeur général du CUSM en février 2004. Philippe Couillard était alors ministre de la Santé ; c'est lui, d'ailleurs, qui avait lancé les projets des nouveaux centres hospitaliers universitaires de l'Université de Montréal et de McGill, respectivement le CHUM et le CUSM.

C'est à partir de là que les liens, pardon, les « coïncidences » se nouent de plus en plus entre les deux médecins : le ministre et l'administrateur. Ces coïncidences ont déjà été relevées (notamment dans La Presse du 15 mars 2013 )

Alors, Philippe Couillard en a assez qu'on l'associe à Arthur Porter, l'ex-directeur général du CUSM retenu en prison au Panama ? Il se met en colère quand on évoque ses liens avec l'Arabie saoudite ? Il a bien de quoi être fâché. Qui ne le serait pas s'il se sentait ainsi visé, au défaut de la cuirasse ?, mais il faut y revenir.

- - En 2005, Porter est nommé par le ministre Couillard président du Réseau universitaire intégré de santé (RUIS).

- - Le 3 septembre 2008, Porter devient membre du Centre de surveillance des activités de renseignements de sécurité (CSARS), et, en même temps, membre du Conseil privé de la Reine. Il est maintenant l'honorable Arthur T. Porter.

- - Le 28 mai 2009, Philippe Couillard et Arthur Porter accèdent tous deux au conseil d'administration de la société minière Canadian Royalties (active dans la région de la Baie James et le Nord du Québec). Le Plan Nord, vous connaissez ?

- - Le 21 juin 2010, Philippe Couillard est nommé membre du Conseil privé de la Reine.

- - Le 22 juin 2010, les deux honorable médecins fondent Porter, Couillard et associés. (Une initiative « illégale », du moins de la part d'un dirigeant de centre universitaire de santé comme Porter : c'est ce qu'a souligné un article du Devoir mardi dernier, 18 mars - Porter revient hanter Couillard.)

- - Le 23 juin 2010, Porter est porté à la présidence du CSARS. Le même jour, Couillard est nommé membre du CSARS. (En passant, c'était la première fois que deux médecins accédaient à ce comité très restreint de 3 à 5 membres, réservé d'habitude à des hommes politiques chevronnés.)

- - Le 10 novembre 2011, Porter démissionne du CSARS. Deux jours auparavant, le National Post a révélé qu'il était de mèche avec un trafiquant d'armes d'origine israélienne, Ari Ben-Menashe, pour vendre de présumées « infrastructures » russes en Afrique.

- - En décembre 2011, sentant la soupe chaude, Porter résigne ses fonctions de directeur général du CUSM.

- - Le 1er octobre 2012, Philippe Couillard démissionne, à son tour, du CSARS, parce que ses liens avec l'Arabie saoudite soulèvent de plus en plus d'inquiétude à Ottawa.

- - Le 4 octobre 2012, la firme Porter, Couillard et associés est dissoute. À ce moment-là, le scandale des pots de vin versés par SNC/Lavalin pour obtenir les contrats de construction du CUSM a fait surface, et l'honorable Porter est en cavale. Ou plutôt, il est atterri dans les Antilles, où il s'affaire à mettre sur pied des cliniques de traitement du cancer à partir de cellules souches pour attirer une riche clientèle touristique. En association avec un médecin britannique sulfureux, lié à la famille Khadafi (lire à ce propos l'article fort instructif de Brian Hutchinson dans le National Post : The new life of Canada's controversial former spy watchdog ). Décidément, l'ex-associé du docteur Couillard sait toujours trouver ses associés à point.

- - Le 27 février 2013, un mandat d'arrêt est émis contre Porter, en rapport avec une attribution frauduleuse des contrats du CUSM (pour un montant de 1,3 milliard de dollars). SNC-Lavalin et son agent Riad Ben Aissa auraient transféré 22,5 millions de dollars dans un compte bancaire appartenant à Porter pour obtenir lesdits contrats.

- - Le 27 mai 2013, Porter est arrêté au Panama. Il y est toujours détenu en prison, dans l'attente d'une extradition au Canada... qui se fait curieusement attendre, c'est le moins qu'on puisse dire.

Entretemps, le docteur Couillard est élu chef du Parti libéral du Québec, le 17 mars 2013. Il entre à l'Assemblée nationale comme député d'Outremont et chef de l'Opposition, le 9 décembre 2013. Et maintenant, il est en campagne pour occuper la plus haute fonction au Québec : premier ministre.

Alors, interrogeons-nous. Les faits sont là. Troublants.

Jamais, que je sache, dans l'histoire du Québec, un candidat ne s'est présenté pour être premier ministre avec des antécédents aussi problématiques. Des faits, gestes et associations qui soulèvent autant de questions.

On sait que le chef du PLQ a été interrogé - en septembre dernier - par l'UPAC, la police anti-corruption. Aucune accusation ne s'est ensuivie, bien sûr. Mais, imaginez, autrefois (il y a 20 ans seulement), le tollé que ça aurait fait: un homme politique de cette importance, interpellé par la police !

Quand on fouille un tant soit peu les affaires ténébreuses qui traînent aux basques du chef du Parti Libéral du Québec, deux questions sautent vite à l'esprit :

- Pourquoi fait-on si peu état de ces « vraies affaires » dans la campagne électorale actuelle ?
- Et qui donc assure cette omerta dans l'opinion publique ?

On pourrait dire qu'il y a, à l'égard des accointances passées du chef du PLQ, un silence suspect qui rappelle le grand ménagement (presque obséquieux) avec lequel nos faiseurs d'opinion avaient traité Henri-Paul Rousseau à l'époque des pertes catastrophiques de la Caisse de dépôt. Et je ne suis pas le premier à associer Couillard et Rousseau. Lysiane Gagnon l'a déjà fait en 2009, dans un article intitulé Le «chum» du CHUM , en disant qu'à l'instar de Rousseau, « l'ancien ministre Philippe Couillard, à qui l'on doit d'avoir lancé le CHUM sur cette voie désastreuse, a quitté la politique au moment où tout le monde réalisait l'ampleur de son erreur. »

D'ailleurs, la même Lysiane Gagnon, qu'on ne saurait accuser de sympathie péquiste,
écrivait, dans La Presse, du 29 janvier 2013 (Un homme et son mystère), qu'il y avait « dans le passé de M. Couillard des zones troubles, en tout cas des décisions pas totalement nettes ». Parlant du fait « qu'il ait accepté un poste de conseiller auprès du ministre de la Santé de l'Arabie saoudite », elle disait :

« Un pareil choix dégage un malaise réel. Qu'aurait-on dit d'un médecin québécois devenant conseiller auprès des gouvernements de Franco, Mussolini ou Staline? Or, la dictature saoudienne n'a rien à envier à ces régimes-là en termes de cruauté et d'abus contre les droits de l'homme. »

On ne saurait mieux dire.

Beaucoup d'observateurs ont laissé entendre que les engagements saoudiens du docteur Couillard pourraient expliquer beaucoup de choses au sujet de ses positions - car ils ont été diverses et ondoyantes, on le sait - sur la charte et, surtout, sur l'expulsion de Fatima Houda-Pépin, une fédéraliste bon teint, mais qui a le défaut capital - aux yeux du chef du PLQ - de vouloir faire barrage à l'intégrisme islamique. C'est peut-être là que le keffieh caché de Couillard dépasse le plus.

Quand on sait tout ce que l'Arabie saoudite finance à travers le monde, pour propager l'islam extrémiste et la charia, on a le droit de s'interroger sur les liens de notre aspirant premier ministre avec ce régime. C'est même notre devoir de citoyen et d'électeur. Car, si voter est un devoir, s'informer en est un aussi. En fait, les deux vont de pair.

On n'a pas le droit de mettre sous le boisseau des questions aussi importantes pour notre avenir national et pour notre démocratie. Il faut les étaler et les discuter pleinement sur la place publique. Pourquoi les journalistes n'en parlent-ils pas davantage ? Par peur ? Par lâcheté ? Par parti pris ? Dans tous les cas, ce serait un grand malheur pour notre démocratie.

Il ne s'agit pas de faire une campagne « sale », mais salutaire. Une campagne salutaire pour notre avenir collectif. Car, si jamais le Parti libéral de Philippe Couillard prenait le pouvoir à Québec, il faudrait remiser nos espoirs d'affirmation nationale pour longtemps, sinon pour toujours.

Je lance ici une autre question : pourquoi donc n'a-t-on pas encore fait extrader Porter ? Il aurait dû l'être depuis longtemps. Le petit Panama n'est pas la Russie, tout de même. Il faut croire que sa présence ici gênerait trop. Et qui, pensez-vous, elle gênerait le plus ? Poser la question c'est y répondre.

Le plus étonnant, c'est que Porter est toujours membre du Conseil privé de la reine. Les membres du CPR sont nommés à vie, mais ils peuvent être révoqués. Pourquoi ne l'a-t-on pas encore fait dans le cas de Porter ? Donc, il a toujours droit au titre d'honorable. Et s'il meurt, au fond de sa prison au Panama, le drapeau sera en berne au Parlement d'Ottawa. Comme il se doit pour tout membre de ce club très sélect des « conseillers privés » de Sa Majesté.

En passant, le Conseil privé de la reine rassemble d'anciens premiers ministres et ministres fédéraux ainsi que des personnalités éminentes, au choix du gouvernement canadien. Paul Desmarais, par exemple, en a fait partie. Of course : à quel siège de pouvoir n'était-il pas assis ? En général, les premiers ministres du Québec n'en ont pas été membres. Sauf, dans les dernières décennies, Lucien Bouchard et Jean Charest. Et si on ajoute Brian Mulroney, Jean Chrétien puis Philippe Couillard, on a une belle flush royale, comme on dit au poker. Pour battre le Québec. Et il reste toujours des atouts cachés, comme Denis Coderre, le maire « anti-référendum » de Montréal, ou, dans les médias, Liza Frulla et Jean Lapierre : tous membres du Conseil privé de la reine. Tous honorables à vie. Comme Porter. On Her Majesty's Service.

Et quand on s'arrête à penser à tout cela, à soupeser tout ce qui se profile, se prépare et grenouille derrière la campagne de Couillard et de ses alliés plus ou moins masqués, on se dit : mais c'est pas vrai, il faut se secouer, il faut secouer le Québec tout entier. On est en train de nous passer le sapin du siècle entre les dents.


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22 commentaires

  • Suzanne Bousquet Répondre

    3 avril 2014

    La Charte de la laïcité était dans son chemin
    Le taureau libéral a vu rouge et les mass médias fédéralistes ont vu à ce qu'il n'y ait aucun débat de fond ni documentaire sur le principe crucial de la laïcité de l'État. Pire, l'enjeu fut écarté de façon cavalière à coups de cornes.
    Philippe Couillard est un maillon dans la chaîne d'expansion de l'intégrisme islamique, un facilitateur très culotté, déterminé à liquider la nation québécoise tant et aussi longtemps que ce sera payant. Les mafias traditionnelles, les gens d'affaires véreux, les affairistes corrompus et les mafias religieuses pourront s'y fier. Our man Couillard.
    Fatima-Houda Pépin n'a pas été chassée du PL pour rien. Elle connait l'ampleur de la menace islamiste intégriste. Les lecteurs intéressés à approfondir ce sujet trouveront une source des plus éclairantes dans l'essai de Sam Salomon et Elias Al Maqdisi, Modern Day Trojan Horse: The Islamic Doctrine of Immigration.
    Certaines notions-clefs de l'islam y sont explicitées, dont celle, très troublante, de la Nécessité, en lien avec ce qui est halal/haram (permis/interdit). Selon cet élément de doctrine, il peut être tout à fait conforme à l'islam (halal) pour une femme d'accepter de travailler sans voile si son employeur l'exige. Pourquoi? Parce qu'une lutte se fera pour obtenir un accommodement ou une dérogation de nature religieuse pour le remettre! L'islam admet que les musulmans dérogent momentanément à des règles ou prescriptions pour s'affranchir à la moindre occasion propice.
    L'intégration des islamistes peut donc sembler réussie vue de l'extérieur, écrit l'auteur, mais il n'en est rien. L'obédience n'est que circonstancielle et temporaire. L'islamisation de l'Occident s'effectue par la somme des divers gains obtenus, les égorgements à froid d'animaux (halal), la ségrégation entre les sexes dans l'espace public et les immolations d'agneaux de l'Aïd dans nos campagnes sont des applications «à la pièce» parmi tant d'autres de la Loi islamique.
    Comme ces jeux de notre enfance où nous joignions des points numérotés sans lien apparents entre eux avec un crayon... Au Royaume-Uni, le «dessein» est de plus en plus clair, avec des tribunaux islamiques opérationnels.

  • Archives de Vigile Répondre

    28 mars 2014

    On a rétrogradé Daniel Breton de Ministre de l’environnement à député pour beaucoup beaucoup moins que tout ce qui est dit sur le passé de Couillard. Il ne devrait même pas avoir le droit de se présenter ni comme 1er Ministre, ni à aucune autre fonction gouvernementale.

  • Archives de Vigile Répondre

    27 mars 2014

    On sait maintenant où le Dr Couillard a caché tout le fric qu'il a fait en Arabie saoudite. Dans un paradis fiscal. Ça s'appelle aussi une évasion fiscale. Tout le monde, dans nos médias alignés, s'est empressé de dire que ce n'était pas illégal. Pas illégal, peut-être, mais parfaitement immoral. Et encore plus de la part de quelqu'un qui veut gouverner le Québec!

  • Archives de Vigile Répondre

    27 mars 2014

    Félicitations monsieur Pelletier
    Le problème c'est que nous les pur québécois seront assimiler voir exterminer
    par ses envahisseur fédéral libéral et les tonnes immigrant forcer a voter libéral ,comme l'on a fait avec les indiens
    on voie très biens la crasse des anglais etc..
    on a aucun support des médias qui appui le PLQ ,tous en faveur de cette merde
    c'est de valeur parce que si il sont élu PLQ ,eu aussi il seront dans la merde qu'il
    auront choisi , cette fois se seras la ruine total ,récession ,misère noir de notre belle province

  • Archives de Vigile Répondre

    27 mars 2014

    À propos des chiens de garde (watch dog) de la démocratie (hi! hi! hi!), monsieur Mario Pelletier se questionne, à raison d'ailleurs: « Pourquoi les journalistes n’en parlent-ils pas davantage ? Par peur ? Par lâcheté ? Par parti pris ?»
    Deux autres réponses possibles: paresse; complaisance. La paresse relève de la facilité à prendre l'extrait du jour, l'éclair qui éblouit l'esprit en lui faisant oublier le reste, soit la capacité de creuser davantage les faits et d'en établir des liens. La complaisance révèle l'orgueil qui anime l'ego de nombre de journalistes. Le politique, comme dans le Corbeau et le Renard, sait en tirer profit. Si bien que les relations étroites qu'entretiennent nombre de journalistes et le politique engendrent cette tendance à la mollesse.

  • Archives de Vigile Répondre

    25 mars 2014

    Il faudrait savoir une fois pour toute, où le 20 milliards $$$$$ en
    2008 . Que Jean Charest et ses acolyte libéral ont refuser de dévoile
    à l'opposition officielle . Quoi, la caisse de dépôt avait acheter avec
    argent. Ont-ils sauver un ami ,quoi. Pour que Jean Charest passe une
    loi. Pour pas que sorte où l'argent était aller . C'est grave si c'est vrai.

  • Archives de Vigile Répondre

    25 mars 2014

    À qui peut-on s'adresser pour avoir des informations sur l'extradition du docteur Porter?
    J'aimerais ça savoir ce qui en est et j'imagine que quelqu'un peut répondre, soit directement soit en vertu de la loi sur l'information!
    Il me semble que l'on devrait s'attaquer à cette question.
    Quant au retard comme tel, est-il possible que l'on attende qu'il soit mort si tant il soit vrai qu'il est atteint d'un cancer? N'oublions pas que Porter pourrait peut-être porter (beau jeu de mot) un coup fatal à Couillard s'il est cité à procès.

  • Archives de Vigile Répondre

    25 mars 2014

    M. Lapointe , votre recherche est vraiment complète, et je peux comprendre votre acharnement sur M. Couillard, qui est un remplaçant à Mme Marois, tel que semble l'indiquer la tendance actuelle des sondages.
    Je ne vous connais autrement que par des réflexions par un très fort partisan péquiste que vous êtes.
    J'aurais deux questions pour vous, et j'aimerais que vous fassiez les même efforts de recherches complètes.
    - Combiens de québécois, médecins, infirmières, comptables, avocats, informaticiens, ingénieurs etc. qui depuis 20 ans ont travaillé en Arabie saoudite? Vous allez constater qu'il y en a plus d'un!
    - Est-ce que toutes ces personnes peuvent être qualifiés de partisan au régime saoudien, de la même façon que vous le reprochez à M. Couillard?

  • Archives de Vigile Répondre

    24 mars 2014

    MErci Monsieur Pelletier! Bravo!!!

  • Archives de Vigile Répondre

    24 mars 2014

    @André Lalonde:
    "N.B. À qui de droit, qu’attentez-vous pour demander l’extradition d’Arthur T. Porter IV, emprisonné au Panama depuis le 27 mai 2013 ? "
    M. Porter conteste son extradition, et utilise tous les recours possible: Porter conteste son extradition à l'ONU.
    Sa conjointe, elle, n'a pas contesté, et elle a été extradé illico presto!

  • Ghislain Girard Répondre

    24 mars 2014

    Les troisième et deuxième paragraphe de la fin de l'article font perdre une bonne partie de l'effet de l'article lui -même.
    Tout l'article démontre avec des faits bien campés, pourquoi on ne veut pas de M.Couillard comme premier ministre du Québec. C'est convainquant.
    Cependant, vers la fin de l'article, en nommant les québécois membres du Conseil privé de la reine et en terminant le paragraphe en disant: " Tous honorables à vie. Comme Porter". Le lecteur se dit: quand même ! Tous ces québécois n'ont pas à être associés de près ou de loin à Porter.
    L'effet de ces deux paragraphes c'est que le lecteur oublie un peu ou bien minimise les liens de M. Couillard avec Porter. Dommage!

  • Archives de Vigile Répondre

    24 mars 2014

    La démocratie du Québec est assiégée par une armée de fraudeurs, de voyous et d'escrocs sans scrupules.
    La liberté des Québécois est assaillie plus que jamais.
    JOURNALISTES, FAITES VOTRE DEVOIR PRÉ ET POST ÉLECTORAL !
    Ce que font les libéraux (fédéralistes) est criminel, dégoutant et scandaleux.
    QUÉBÉCOIS, RÉVEILLEZ-VOUS ! JUSTICE DOIT ÊTRE FAITE.
    Si Mmes Marois et David, M. Legault et les journalistes de tous horizons ne neutralisent pas Panpan Couillard d'ici avril, ils perdront assurément ma confiance à jamais, car JE ME SOUVIENS.
    N.B. À qui de droit, qu'attentez-vous pour demander l'extradition d'Arthur T. Porter IV, emprisonné au Panama depuis le 27 mai 2013? Nous exigeons la vérité, rien que la vérité et toute la vérité, surtout au sujet de ses relations avec Philippe Couillard et de ses liens intimes avec l'Arabie saoudite, par extension: le triangle McGill (SCUM). Pourquoi la Commission Charbonneau et les médias sont-ils soudainement tombés en panne? Pourquoi ne donne-t-on pas suite au magnifique débroussaillage chronologique de Mario Pelletier, courageux chroniqueur de Vigile.net?

  • Archives de Vigile Répondre

    24 mars 2014

    En entrevue avec Radio-Canada, Yvon Cyrenne, fiscaliste associé de la firme Raymond Chabot Grant Thornton, explique les principes de base gouvernant les transferts d'Ottawa aux provinces, et pourquoi le déséquilibre fiscal est bel et bien réel.

    Radio-Canada : Comment l'argent d'Ottawa est-il redistribué aux provinces ?
    Yvon Cyrenne : Le transfert aux provinces se fait principalement par un système de péréquation pour rééquilibrer les champs fiscaux entre les provinces riches et les autres. Les provinces riches sont essentiellement l'Ontario, l'Alberta et la Colombie-Britannique. On choisit 36 champs d'impôt tels que la taxe sur le tabac, les impôts sur le revenu, la taxe sur l'essence, et on regarde la capacité de chaque province de percevoir ces taxes ou ces impôts avec la population qu'elle a et autres données de ce type; après une analyse de ces 36 champs d'impôt, on fait un rééquilibrage, on transfère aux provinces plus pauvres des sommes d'argent très importantes.
    Ce système fonctionnait assez bien jusqu'à 1994, époque à laquelle le gouvernement fédéral a décidé de s'attaquer au déficit. À partir de ce moment-là, il a décidé de réduire substantiellement les transferts, surtout dans le secteur de la santé, où on avait besoin d'argent, et dans le secteur de l'éducation. Donc, après avoir fait ce travail avec la péréquation, il y a, en deuxième lieu, ce qu'on appelle les transferts sociaux, et c'est dans ces transferts que le gouvernement fédéral a beaucoup coupé. Le résultat de ces coupures a été que toutes les provinces ont connu des difficultés financières parce qu'elles n'anticipaient pas de réductions aussi substantielles des transferts fédéraux.
    Aperçu du contentieux fiscal
    Québec-Ottawa

    Cette année, le Québec recevra 9 milliards de dollars d'Ottawa, l'essentiel provenant de deux programmes. Le premier, c'est le transfert canadien en matière de santé et d'aide sociale. Il rapporte 2,96 milliards au Québec. Le montant est déterminé par Ottawa. À son arrivée au pouvoir, le gouvernement Chrétien a sabré dans ces programmes.
    Le deuxième programme est la péréquation. Cette année, le Québec recevra 300 millions de moins. Il recevra tout de même 5 milliards de dollars.
    Le reste provient de différents programmes de transfert.
    En 1983-1984, les transferts fédéraux représentaient 28 % des revenus du gouvernement du Québec. En
    2000-2001, ils ne représentaient plus que 16 % des revenus de la province.
    (source : Le Point)

    R-C : Le Québec est-il particulièrement touché par ces baisses dans les transferts ?
    Y.C. : De façon générale, toutes les provinces — et peut-être le Québec un peu plus —, ont été affectées. C'est un peu la raison pour laquelle aujourd'hui on voit, en ce qui a trait aux transferts sociaux (santé et éducation) que les provinces sont pas mal unies contre le gouvernement fédéral; tout le monde demande plus d'argent et c'est très raisonnable. Il faut se rappeler que, à Ottawa, on n'invente pas l'argent : c'est notre argent qui s'en va là et qui est redistribué.
    R-C : Le fédéral a-t-il raison de parler de mythe, en évoquant le déséquilibre fiscal ?
    Y.C. : Non. Le fédéral encaisse un peu plus que 50 % des impôts. On estime de 30 à 34 milliards de dollars les sommes que les Québécois envoient au fédéral. Et on ne reçoit pas ça en retour. Suivant à qui vous vous adressez, on vous dira qu'il y a un manque à gagner de 5 à 8 milliards. On aborde la troisième sorte de transfert, selon moi, et c'est là où le gouvernement fédéral va choisir ses priorités, dans quel secteur il veut investir. Par exemple, Ottawa a choisi de construire un pont à l'île du Prince-Édouard et cela a coûté un milliard de dollars. Il a aidé à Hibernia et à la recherche de gisements, et il a fait toutes sortes d'autres dépenses à travers le Canada; cela aussi constitue une forme de transfert car, suivant où le gouvernement fédéral met son argent au Canada, cela affecte beaucoup la richesse de la province.
    De ce point de vue, nous, au Québec, nous nous sentons très lésés parce qu'en grande partie, cet argent n'a pas été dépensé dans la province depuis 1994. Je suis toujours surpris de voir que les Québécois acceptent ça et que ça ne semble pas les affecter tellement. Dans le même secteur aussi, il y a des priorités qui ont été données aux usines d'assemblage automobile. On en avait une et on n'en a plus (GM) alors qu'en Ontario, il y en a plus d'une dizaine. Pour voir l'ampleur et puis l'impact de cette politique appuyée par Ottawa, imaginez-vous Montréal aujourd'hui, avec onze usines GM, cela vous donnera une idée de ce que l'économie du Québec et de Montréal aurait l'air. On a beaucoup souffert des ces choix et on va continuer à en souffrir car, à la base du succès de l'économie de l'Ontario, qui est beaucoup plus riche et plus performante, il y a les usines d'assemblage, tout comme en Alberta, où la richesse vient essentiellement du pétrole, ce qu'on n'a pas.
    Un autre exemple de l'iniquité du système actuel : le Québec a accepté de percevoir, pour le gouvernement fédéral, la taxe sur les produits et services (TPS) avec la TVQ, et a accepté de la gérer. Il a reçu des sommes minimes alors que le Nouveau-Brunswick, qui perçoit beaucoup moins que nous, a eu un milliard en un seul paiement, ce qui est beaucoup plus que ce que le Québec a reçu. Encore un exemple dont le résultat est un déséquilibre fiscal : avant, les banques canadiennes étaient généralement assez bien distribuées dans le Canada, avec le Québec et l'Ontario, ce qui faisait que la Banque de Montréal et la Banque royale étaient ici. Ce sont des organismes encadrés par le gouvernement fédéral, et celui-ci pourrait dicter aux banques où leur siège social doit être installé, ce qu'il n'a pas fait. Pour ces deux grandes banques, la majorité des opérations se font de Toronto.
    R-C : Mais existe-t-il une autre forme de déséquilibre fiscal que celui qui oppose Québec à Ottawa, selon vous ?
    Y.C. : Il ne faut pas oublier que les municipalités du Québec se plaignent d'un déséquilibre entre elles et le gouvernement provincial, surtout la région de Montréal, qui a des besoins énormes et qui, principalement depuis la fusion, sera incapable de remplir ses obligations. Le gouvernement provincial a un choix : aider les grandes villes ou, s'il n'en est pas capable, mettre en tutelle certaines de ces villes. Tout ceci peut très bien sortir lors du Forum. Ce forum a été organisé autour de la querelle Québec-Ottawa, mais ça ne restera pas cantonné à ce débat. Je le sens, les villes veulent avoir leur part du gâteau et vont se faire entendre.

    En bout de ligne le Québec a un déficit de 5 à 8 milliards en ce qui regarde le transfert de péréquation, selon un fiscaliste (Yvon Cyrenne)

    En ce qui regarde les employés envoyé au Québec, c'est le Fédéral qui a perçu le régime de retraite de ces employés donc en mettant à la retraire ceux qui sont dû c'est le fédéral qui a perçu ces régimes de retraites qui devra payer ces retraités.

    En ce qui regarde la pension de vieillesse le 5 à 8 milliards perçus en trop par Ottawa cela suffira amplement pour payer la pension de vieillesse aux Québécois.

    En ce qui regarde l'assurance emploi au lieu d'envoyer l'argent perçu aux travailleurs à Ottawa ces argents demeureront au Québec et Ottawa a volé les surplus des travailleurs du Québec. et donc le surplus perçu par Ottawa devra être remboursé au Québec.
    En ce qui regarde radio-canada, télé-Québec pourra prendre la relève sans mal.

    L'argent Canadienne qui ne vaut presque rien soit 80 cent pour un dollar américain pourra être remplacé par de l'argent Québécois qui vaudra a peut près la même valeur.

    En ce qui regarde la défense du Québec nous auront simplement faire comme la Suisse et de ne pas avoir d'armée. Le seul pays qui pourrait nous attaqué serait le Canada.
    En ce qui regarde le passeport il ne vaut même pas la peine d'en parler.

  • Archives de Vigile Répondre

    24 mars 2014

    «Vraiment je suis en colère contre Madame Marois pour avoir déclencher des élections précipitées, il ne maque qu'une tempête de neige. Tout ça pour éviter la commission d'enquête je crois ou d'aller s'expliquer pour le deal?
    Maintenant que les sondages sont en défaveur on cri fort. Est-ce pour le Québec, ou pour conserver son pouvoir à Québec? Je voudrais savoir pourquoi ne pas avoir agit quand c'était le temps pour les 40 milliards de la caisse, de tout ce stratagème des partis politique quand ils en ont probablement bénéficier, quand on a parler de Chevrette ou Boisclair, la PM, elle est presque montée au barricade et discrédité la commission? La sortie de PKP quand nous le peuple on ne parle de rien? La souveraineté doit se faire de façon démocratique et les problèmes d'éthique sont questionnables avec PKP. Le dernier qui m'a parler de souveraineté est Legault et tout d'un coup PKP vient faire la souveraineté surtout dans des temps où rien n'est facile. Je me suis senti trahi par ceux que je soutenais depuis 40 ans et qui semblent avoir choisit les lobbys plutôt que la population. C'est horrible de savoir que les libéraux peuvent prendre le pouvoir et je m'inquiétais de savoir que le PQ avec tous ces lobbys au pouvoir. Je suis de la classe moyenne et la multitude de taxes qui nous attends autant du PLQ que du PQ m'a fait reculer et pour ces raisons je dis au PQ terminus. La souveraineté est devenu un marché payant pour les carriéristes autant à Ottawa qu'à Québec.
    l'alternance de deux partis depuis plus de 30 ans est malsaine voir même complice à certains moments, nous paralysent à choisir une orientation qui nous convient. Je connais même des fédéralistes au sein du PQ, des gens qui ont militer contre la souveraineté dans les médias et que je retrouvent au PQ? Plusieurs députés en qui j'avais confiance ont claqués la porte. Pour la première fois je voterai CAQ au moins peut être respectera t'il ses promesses et nous débarrassera des intrus et des abuseurs de notre système comme des lobbyistes. Je veux bien la souveraineté mais quand le peuple n'en veut pas a plus de 60% pourquoi tout ce tapage pour aller contre la démocratie ou une souveraineté de force? J'ai mal à mon pays, d'avoir réveiller les loups, je dois admettre que ce sont mes enfants ou petits enfants qui feront du Québec un pays.»

  • Archives de Vigile Répondre

    23 mars 2014

    Couillard et le prince Abdullah bin Abdulaziz Al-Rabeeah, ministre de la Santé du royaume saoudien
    Il faut se rappeler que le CUSM, à l'époque de Porter, a conclu une entente secrète avec des pays du Golfe pour que de riches patients se fassent soigner au CUSM...
    Si vous pensez que c’est une coïncidence que l’Université McGill a un nombre anormalement élevé d’étudiants saoudiens à la faculté de médecine...ils sont environ 200 docteurs saoudiens à McGill
    Si vous pensez que le virement de fonds vers des comptes bancaires appartenant à des «amis» des Saoudiens dans les paradis fiscaux ne fait pas partie de la culture saoudienne...
    Si vous pensez que c’est une coïncidence que Couillard ait été nommé à McGill en 2009...alors que Porter était personnage influent...
    Si vous pensez que Philippe Couillard n'a rien à voir avec cette situation étrange des nombreux étudiants saoudiens en médecine...
    Si vous pensez que ce sont de simples coincidences..c'est que vous être très naïfs !!
    https://www.mcgill.ca/channels/fr/news/philippe-couillard-nomm%C3%A9-chercheur-principal-en-droit-de-la-sant%C3%A9-%C3%A0-mcgill-103599
    «Canada has become a popular destination for Saudi students. In fact, the number of Saudi students on the King Abdullah Foreign Scholarship Program has increased by four times in the past three years!
    ...
    According to Dr. Faisal Mohammad Al-Mohanna Abaalkhail, the Saudi Arabian Cultural Attaché in Canada, McGill University has the highest concentration of doctors trained in Canada. “Out of the 800 doctors we have, almost 200 are in McGill,” he said.»
    http://www.arabnews.com/node/379331
    http://www.lapresse.ca/actualites/sante/201301/31/01-4617228-une-koweitienne-operee-au-cusm-des-soins-vip-pour-200-000-.php
    http://www.lapresse.ca/actualites/sante/201302/01/01-4617266-une-initiative-du-controverse-arthur-porter.php

  • Archives de Vigile Répondre

    23 mars 2014

    D abord, felicitations a Mario Pelletier pour son courage, son travail de recherche et sa volonte de le publier !
    Moi aussi, je me demande pourquoi lors du premier debat a la tele, aucun des 3 autres chefs de parti (Marois,Legault,David) n a juge bon de preparer des questions et de les poser publiquement a Couillard.
    Si j etais chef de parti politique au Quebec, je sais que je taperais sur ce clou tous les jours de la campagne et au debat a la tele.
    Duscheneau a fait le grand silence la-dessus et meme affirme qu il etait satisfait du travail de Couillard; vraiment inquietante une telle remarque venant d un ancien chef de police !

  • Archives de Vigile Répondre

    23 mars 2014

    Bravo, monsieur Pelletier!
    Ne pourriez-vous pas offrir ce texte à tous les journaux? Il ne semble y avoir que vigile.net qui présente un autre point de vue. La Presse, le Soleil, même R.-C., surtout à Québec, n'ont de cesse d'écorcher le PQ, la PM ou PKP! Rien de positif à leur sujet! Mais rien de négatif sur le bon docteur! Jamais vu une campagne éloctorale pareille! Désolant!
    Il flotte une étrange atmosphère sur le Québec présentement, quelque chose que je n'arrive pas à saisir. Les journalistes font mal leur travail et/ou manquent d'objectivité. Pourquoi ne posent-ils pas les "vraies questions" au bon Dr Couillard? Pour que tout le monde sache avant qu'il ne soit trop tard!
    Même au débat des chefs, les animateurs n'ont pas "osé" faire taire Couillard lorsqu'il ne laissait pas Marois répondre aux questions que lui-même lui posait! Une tactique pour la déstabiliser comme il avait tenté de l'intimider avant le débat par peur qu'elle ne fasse allusion aux squelettes dans son placard...

  • Jean-Claude Pomerleau Répondre

    23 mars 2014

    Voici les questions que les médias devraient poser au nom du bien publique :
    http://dossiercouillard.com/questions.html
    JCPomelreau

  • Archives de Vigile Répondre

    22 mars 2014

    Oui, bon Dieu...réveillons -nous... ne nous laissons pas embarquer une autre fois...
    on panique à Montréal ... la grosse machine fédérale...est en marche...listes électorales boustées de noms qui sont anglophones ou allophones... votes assurés pour Couillard...
    Si ça continue les autobus de Vancouver remplies de... ON VOUS AIMES ...vont défiler dans les rues de Montréal...
    Oui, réveillons-nous et prenons nos VRAIS AFFAIRES EN MAINS...
    merci M.Mario pour ce moment de vérité...William....

  • Archives de Vigile Répondre

    22 mars 2014

    Félicitations monsieur Pelletier

    Des faits que des faits comme tout votre article rigoureux qui les placent en ordre chronologique
    Vous savez si on avait une presse libre un tel scandale éthique serait commenter dans tout les médias visuels et non seulement discuter dans la presse écrite
    Force est de constater que pas un seul journaliste n'as a date poser de question a P Couillard la dessus durant la campagne en dépit du fait que cette affaire a mainte fois été commenter et soulever dans les médias indépendants de la presse écrite
    Je peut vous dire une chose que si c'était le docteur Réjean Hébert qui avait agit comme P Couillard que déja les journalistes qui refusent systématiquement durant cette campagne électorale de poser la moindre question a P Couillard sur ses liens avec Porter qui lui as fait avoir un poste au SCRAS, une affaire scabreuse de partenariat avec pots de vins offert par des sociétés en génie conseil de mèche avec le parti libéral ou le CUSUM s'est fait voler des millions par son ex associer, que les journalistes auraient déja poser plusieurs questions la dessus au Dr Hébert
    Si c'était le docteur Hébert qui avait tremper dans une affaire aussi sale ,sordide et de corruption aussi nauséabonde que les journalistes auraient assaillis sans relache de questions le dr Hébert durant toute la campagne électorale
    Mais pas une seule question n'as encore été poser par les journalistes a Couillard durant la campagne électorale en cours malgré des faits accablants et dont toute les pièces de ce casse tête réunis ensemble démontre bien qu'Arthur Porter était beaucoup plus qu'un ami ou une simple connaissance de Couillard comme il le dit mais son complice a tout les niveaux de ce scandale qui relie le CSUM ,Porter et Couilard ,les firmes d'ingénieurs conseils libérales qui ont grassement payé Porter avec des pots de vins faramineux
    Tirez vos conclusions sur le rôle de cette médiacratie journaleuse fédéraliste qui protège Couillard sur ce qui est un des plus grand scandale et qui touche l'abscense complète d''éthique de Couillard

  • Archives de Vigile Répondre

    22 mars 2014

    La situation est grave, ne restez pas impassible. Ce texte est à diffuser largement dans vos réseaux.
    JCPomerleau

  • Archives de Vigile Répondre

    22 mars 2014

    Les libéraux préparent, l élection clef a main, comme nous voyons dans la commission CHARBONNEAU .
    LEGAULT attaque PAULINE plutôt d attaquer COUILLARD ,même les journalistes fédéralistes l ont remarqués./il y a des pour parler a dit LEGAULT/
    Les centres de revissions des électeurs/du centre ville de MONTREAL/ sont débordés des nouvelles inscriptions DOUTEUSES, d après un , qui a démissionné dégouté de tout ca.
    IL est temps de dénoncer ses choses plus possible