Voici le lieu du crime. L'accusé n'a pas d'alibi pour le 2 septembre 2003.
http://www.premier-ministre.gouv.qc.ca/premier-ministre/bureau-du-premier-ministre.shtml
Voici le mobile du crime : les dernières nominations libérales, de 2006 à 2010.
http://www.premier-ministre.gouv.qc.ca/salle-de-presse/communiques/2010/septembre/2010-09-22.shtml
Avec la disquette de Bellemare, on est à un cheveux d'un Watergate québécois. Peut-être que la commission Bastarache va découvrir que l'agenda du PM a été trafiqué pour effacer la réunion du 2 septembre 2003. Passionnant!
Si c'est le cas, on devra appeler ça le Bunkergate.
Il est temps de faire intervenir les Experts en criminalistique de CSI.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Experts_(s%C3%A9rie_t%C3%A9l%C3%A9vis%C3%A9e)
Comme Al Capone qui s'est fait prendre sur ses impôts, si on n'arrive pas à prendre John James Charest sur corruption, on peut le pendre pour parjure (oups, une faute d'orthographe).
Afficher, afficher, il en restera toujours quelque chose.
Rhéal Mathieu.
Le Bunkergate
Commission Bastarache
Rhéal Mathieu73 articles
Ex-felquiste.
Accusé faussement des attentats de la BAF. (Voir Le Journal le Québécois, numéro 3, 2008).
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1 commentaire
Archives de Vigile Répondre
28 septembre 2010Oui, Affichez, Affichez, comme dans affichez votre écoeurement
http://www.facebook.com/group.php?gid=148591528511227