Réplique à André Pratte - "La manière Marois"

Le baiser de la mort

Chronique de Richard Le Hir

Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais pour ma part, comme chef du Parti Québécois, je ressentirais un endossement d’André Pratte, aussi réservé soit-il, comme un baiser de la mort.
Auteur : Richard Le Hir


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2 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    5 juillet 2010

    Lecteur de la TL de Vigile depuis dix ans, c’est la première fois que je vois un billet qui fait la promotion de l’anglophone, Sir Andrew Pratt of Geska, en 3 lignes. Étonnant !
    Cela dit, c'est mal connaître les souverainistes et indépendantistes. Vous souvenez-vous de ces articles...
    Stéphane Dion félicite Pauline Marois
    La Presse - Le jeudi 06 mars 2008
    Un virage majeur
    Allan Dubuc
    La Presse - Le vendredi 07 mars 2008

    Ces deux articles se trouvent dans ce billet...
    Une cheffe d'alliances canadian...
    De ces alliances canadians le résultat a été, qu'à l'élection de novembre 2008, Pauline n'a pas fait pire que André Boisclair. Elle a plutôt récolté 16 205 votes de plus.
    Il ne lui manquait que «le tour du chapeau». L'approbation de l'employé anglophone, votre éditorialiste favori, Sir Andrew Pratt. Ce qu'elle vient d'obtenir.
    Prédiction...
    Votre point de vue ?... Erroné.
    Vous avez mal lu l'identité bâââlingue et l'appartenance canadian, des souverainistes et indépendantistes. Tout de même nationalistes.
    Cet éditorial et votre billet vont plutôt accroître la popularité de Pauline. En plus d'accroître le lectorat souverainiste et indépendantiste qui contribue, chaque jour et chaque semaine, par la notoriété, aux succès de Sir Pratt ov Geska. Et la prospérité financière de la Pesse ov Geska.
    Un jour, sur les ondes de la Radiocan, Pratt a dit, en d’autres mots, que la Presse de Geska est financée à la moitié par ses adversaires et ennemis, lecteurs souverainistes et indépendantistes.
    Il est impossible de croire que l'éditorialiste favori des souverainistes et indépendantistes, peut se tromper en « endossant » la cheffe canadienne Pauline, du PQ.
    SP

  • Archives de Vigile Répondre

    26 juin 2010

    Comme Pratte dit ; tant qu'elle écoute ce qu'on lui dit de faire, Power Corp (et La Presse) sera derrière elle.
    De toutes façons, les bureaucrates fédéralistes de la haute fonction publique décideront pour elle comme ils l'ont fait pour le gouvernement péquiste de 1996 à 2003.
    Seule une déclaration unilatérale d'indépendance peut nous sortir de ce vortex vers l'abîme.