par Leandra Bernstein
Depuis fort longtemps, l’action et l’argent de George Soros sont devenus des instruments pour démanteler la souveraineté nationale des Etats, en remplissant les caisses d’organisations « philanthropiques » ou « droitdelhommistes ». Nous examinons brièvement ici un des aspects de cette opération.
Au moment de la première enquête au pénal intentée contre lui pour manipulation des cours boursiers en 1979, George Soros lança le Open Society Fund, destiné à « ouvrir des sociétés fermées ».
Aujourd’hui, il est actif dans 29 pays. Affirmant que « les Etats ont des intérêts, mais pas de principes », Soros explique qu’une société ouverte idéale supprimerait les intérêts nationaux spécifiques, tandis qu’une structure politique et financière internationale prendrait la responsabilité de la défense du bien des gens. [1]
Plutôt misanthrope que philanthrope
Dans ce but, Soros dote ses organisations philanthropiques de liquidités financières, qui « achètent » ensuite d’importants secteurs de la population, qui se déchaîne à son tour pour faire tomber tout gouvernement qui essaie de maintenir une « société fermée ». [2]
Si une nation souhaite contrôler ses propres ressources naturelles, c’est une société fermée. Si une nation souhaite développer son économie et sa force de travail à l’aide de tarifs douaniers et de régulations, c’est une société fermée. Toute nation qui rejette la mondialisation (c’est-à-dire l’impérialisme du libre-échange) est condamnée au même titre et fera l’objet d’attaques de la part des organisations de Soros et de son organisation secrète.
Parmi les organisations de renseignement de style britannique sous la supervision de Soros, on trouve l’Open Society Institute (OSI), Human Rights Watch, la Fondation Soros, et l’Initiative relative à la transparence des industries extractives.
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À lire:
Carlyle Group, Bush, Soros, Desmarais, Sarkozy
Le Carlyle Group, une affaire d’initiés
par Réseau Voltaire
Soros, Fabian Society, NPD, Bob et John Rae, Desmarais
Douglas-Coldwell Foundation wikipedia
The Foundation was named for and inspired by Tommy Douglas, the first federal leader of the New Democratic Party from 1961 to 1971, and M. J. Coldwell, leader of its predecessor Co-operative Commonwealth Federation from 1942 to 1960. Both had desired a Canadian counterpart to the Fabian Society.
En anglais seulement mais exhaustif
George Soros' Philosophy - Selection and comments by Peter Myers (1997)
George Soros as Rothschild Agent - Selections by Peter Myers (2008)
Soros, parrain d'Obama
La guerre secrète du misanthrope George Soros
Le capitalisme au service du communisme
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