L’auteur est directeur du Réseau francophone de recherche sur les opérations de paix et professeur invité au GERSI et au CERIUM de l’Université de Montréal.
S'il faut savoir raison garder, il faut aussi être vigilant. Les bouleversements de la dernière année ont libéré des forces longtemps brimées. Le meilleur comme le pire peut en surgir.
Un compromis semble se dessiner afin de relancer les négociations israélo-palestiniennes et d'éviter que le président Abbas retourne bredouille dans son pays.
Le 11-Septembre a provoqué la peur, le repli et la crainte des autres. Il semble que cela sera difficile d'en sortir
Vraiment, la mort annoncée du Québec à Ottawa et au sein du Canada m'apparaît, comme disait l'autre, très prématurée.
Scandale des écoutes