Sur la base de ses décisisions récentes

Harper ne reconnaitrera jamais un référendum gagnant

Indépendance — Une conjoncture favorable

Il est évident qu'Harper ne reconnaitrerait pas un référendum gagnant. En le voyant comment il traite même le parti libéral du Québec, Jean Charest, le sauveur du Canada, il démontre qu'il n'aura aucune écoute pour une décision québécoise en ce sens.
Toutes ces actions le démontre: augmentation du budget militaire, loi criminelle contre les intérêts du Québec, baillons ici et là, loi spéciale, renforcement de l'identité britannique au Canada, démontration de force militaire en Afghanistan. Il démontre qu'il fera la même chose pour le dossier du Québec. D'ailleurs nous voyons que même la France avec Sarkozy n'appuie pas le Québec dans sa démarche. Vous pensez que ce que Trudeau a fait en 1970 ne peut se reproduire? Si vous croyez cela c'est que vous êtes naif.
Charest le sait très bien et il ne le dit pas ouvertement de peur que les Québécois réalisent qu'ils n'ont pas le choix qu'on prétend qu'ils ont.
Si les gens pensent qu'il n'y a qu'en Syrie où le gouvernement tire sur les civils, vous allez voir qu'au Canada nous sommes pris avec un gouvernement qui est prêt à utiliser la force pour empêcher les Québécois pour se séparer.
Pourquoi pensez-vous qu'il se fout si les Québécois se sentent aliénés et que la souveraineté remonte?
C'est parce qu'il utilisera la loi sur la clarté et la force en dernier recours et évidemment il ne dira jamais sauf si c'est nécessaire au nom de tous les anglo qui vivent au Québec et qui veulent rester dans le Canada. Il nous le démontre à tous les jours. Même Marissal est boulerversé de voir agir ce gouvernement. Je crois que Marissal commence à ouvrir les yeux: nous sommes dans une dictature.
Harper sait très bien que les Québécois ne se battront jamais pour leur indépendance donc la question est réglée ! C’est pour cette raison qu’il agit ainsi avec le Québec.
Ne vous faites pas d'illusions chers nationalistes, nous sommes pris au piège dans le Canada.


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16 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    15 mars 2012

    Vous écrivez:"Qu’a -t-on fait en 1837, 1970 ? On a laissé les nôtres se battre sans les défendre."
    Un référendum gagnant pour l'indépendance du Québec n'est pas comparable à une lutte armée ( 1837 ) et à une riposte au terrorisme ( 1970 ), deux évènements violents qui ne sont pas comparables à un vote démocratique.
    Jamais la communauté internationale ne soutiendrait une riposte armée de la part du Canada.
    Pour ce qui est du "trou" que le Québec ferait dans le Canada en pensant aux provinces maritimes séparées du ROC par un Québec pays, cela pourrait se comparer aux États-Unis versus l'Alaska..aucun problème si il y a libre circulation des biens et des personnes.

  • Archives de Vigile Répondre

    15 mars 2012

    L'armée canadienne?
    Je pourrais raconter des choses qui vous feraient tomber par terre, à propos de cette armée-là...
    Que ce soit ce lieutenant qui savait à peine utiliser une boussole; ou ce jeune fantassin qui m'a dit «heille, c'est «runné» par des cabochons, cette armée-là»; le gaspillage de ressources et l'incompétence dont font régulièrement preuve des idiots élevés artificiellement et précipitamment au rang de «colonel», qui dirigent plusieurs bases...
    Et puis, comprenons-nous bien: si les choses venaient à «brasser», le téléphone sonnerait assez vite dans le bureau de notre ami Stephen, et la voix du président des États-Unis d'Amérique lui dirait qu'il ne tolérerait aucun grabuge, aux abords des fontières de plusieurs de leurs états, comme New York, le New Hampshire, le Maine et le Vermont.

  • Archives de Vigile Répondre

    15 mars 2012

    Lionel Groulx n'écrivait-il pas dans les années vingt que
    « les Canadiens français étaient des nouilles et les politiciens des suiveux.» Source : Au tour de l'histoire, canal Vox.
    La « révolution !!! » tranquille !!! sociale nous a-t-elle changés ? Non, elle a amélioré notre situation économique et financière seulement.
    Et ce ne sont pas les séances de « résolutions de conflits » qu'on pratique dans les écoles élémentaire et secondaires qui amélioreront la situation. Nous formons présentement des générations de bien-pensants ouverts et tolérants, pour ne pas dire des chiffes molles.
    C'est Jean Chrétien qui doit être content.

  • Archives de Vigile Répondre

    15 mars 2012

    «Harper ne reconnaitrera jamais un référendum gagnant»
    Monsieur Tremblay, tous le savent déjà!
    Vous semblez croire que tous les québécois sont naïfs et qu'ils oublient l'intervention musclée des anglais. Vous semblez croire aussi que les anglais gagnerons toujours. C'est vous qui faites une erreur ici. D'emblée vous tomber dans le piège du défaitisme de l'Art-Peur que nous tendent ces mêmes anglais et leurs sbires anglomanes fédéralistes qui souffrent du syndrome de Stockholm. Tous ceux qui ont vécu 1970 au Québec n'ont pas oublié et l'ont transmis aux plus jeunes. Ceci dit, 1970 fut de très courte durée et attisa le patriotisme québécois.
    Votre réaction démontre un manque de conviction dans vos intentions politiques. Vous présumé trop de ce qui se passera alors que nous n'y sommes même pas rendu. Vous jouez le jeu du message fédéraliste et, ce faisant, vous vous affaiblissez vous même. Détendez-vous pour le moment, bonyenne !
    Les descendants des français fondateurs du Québec se souviennent et ils forment un peuple plus fort et plus intelligent que celui que vous décrivez. Vous devriez en être fier et vous impliquer pour l'indépendance du Québec.
    Ma Patrie n'est pas l'Angleterre ou le Canada. Ma Patrie c'est le Québec français et sa mère naturelle est la France. Le Canada avec sa Constitution symbolique n'a aucune légitimité ici au Québec.
    Cordialement

  • Archives de Vigile Répondre

    14 mars 2012

    Ça me fait penser monsieur Tremblay qu'aussi longtemps que le trouble n'est pas arrivé, les gens n'y croient pas.
    Par exemple, pour eux la guerre c'est toujours ailleurs, jamais ici.
    Ça me fait penser à un article sur Vigile de monsieur Oscar Fortin qui connaît bien l'Amérique latine. Monsieur Fortin dit ceci dans son article:
    "dans les pays émergents de l’Amérique latine, comme l’Équateur, la Bolivie, le Venezuela et certains autres, le premier geste posé par les nouveaux élus, fut celui de doter l’État d’une constitution, discutée et votée par le peuple. Une démarche, donnant ainsi à la démocratie ses lettres de noblesse. C’est la voie ouverte à ce qu’ils appellent la démocratie participative."
    http://www.vigile.net/L-Etat-le-Prive-le-Bien-commun-les
    Force est d'admettre qu'en Amérique du Nord et en particulier au Canada et au Québec, nous ne sommes pas rendus à ce niveau de civilisation que nous démontre l'Amérique latine par ses politiques progressistes.
    Voilà, monsieur Tremblay, ce qui donne du poids à votre mise en garde.

  • Archives de Vigile Répondre

    14 mars 2012


    Je suis étonné de constater que les gens ne croient pas que le Canada utilisera la force si nécessaire pour se défendre. Je crois que penser autrement, c'est très naif et c'est penser que tout le monde est gentil.
    Ils l'ont fait en 1760, ils l'ont fait en 1837, ils l'ont fait en 1970 . Pourquoi arrêteraient-ils quand la patrie est en jeu?
    Faire respecter un oui à un référendum va demander du courage car le Canada va utiliser des moyens pour l'empêcher. La loi sur la clarté, le fait qu'au moins 40 à 50% des habitants du Québec veulent garder le lien avec le Canada, etc...
    C'est bien beau la désobissance civile mais est-ce que les québécois sont assez forts pour aller jusqu'au bout? J'en doute. Ce qui compte pour l'ensemble des Québécois, c'est d'écouter Star Académie ou Occupation double.
    Je ne suis pas peureux, j'essaie d'être réaliste ce qui ne m'empêche pas de croire que c'est possible mais on doit être conscient des obstacles. Le fait qu'Harper se soucie si peu de l'unité nationale , c'est qu'il a un plan pour contrer le démantelement du Canada qu'il est entrain de causer. Ce plan c'est d'utiliser la force, diviser le territoire du Québec ou faire son propre référendum dans tout le Canada.

  • Archives de Vigile Répondre

    14 mars 2012

    Si cela peut vous rassurer, M. Tremblay, Option nationale est conscient de la réaction extrême que la décision du Québec provoquera chez les canadiens. Mais ne vous en faites pas. O.N. connait très bien notre rapport de force et jamais les dirigeants du Canada n’oseront aller plus loin que l’intimidation et la menace. Une action illégale qui irait à l’encontre du droit international couperait toute possibilité de procéder à une séparation contrôlée. Il en va du niveau de vie de tous les canadiens. Je n’ai pas l’intention de vous expliquer ici en détail pourquoi mais SOYEZ CONSCIENT que nous avons les moyens de mettre le Canada en faillite si nous le décidons. Alors informez-vous et soyez attentif à ce qu’Option nationale propose.

  • Archives de Vigile Répondre

    14 mars 2012

    Après l'épouvantail des prétentions partitionnistes dressé ces jours-ci, voilà qu'arrive le spectre de l'occupation du territoire québécois par la canadian army! Ne reste plus qu'à évoquer la perte des pensions de vieillesse ou la fermeture des bureaux des postes, voire de ceux de l'assurance-chômage. Ou le départ de nos chers anglos du West Island vers le sud ontarien ou la Colombie britannique. Ou des camions de la Brinks. Un peu de sérieux, de grâce!

  • Archives de Vigile Répondre

    14 mars 2012


    Certains m'accusent d'essayer de faire peur. Loin de cette idée. Je serais le premier à défendre mes convictions qu'il manque un pays dans ce pays. Mais on doit être conscient que nos adversaires se gardent des as dans leur jeu et il faut être conscient que les Anglais n'ont jamais joué franc-jeu et qu'ils sont prêts à utiliser la force si nécessaire. Harper le démontre amplement actuellement qu'on pense à la Libye, l'Afghanistan et la Syrie sûrement si nécessaire.
    Je pense qu'on serait bien naif de croire que les Anglais laisserait briser leur pays. Je crois que Bourassa savait cela et c'est pour cette raison qu'il n'a pas osé déclarer l'indépendance du Québec. Je me suis toujours demandé pourquoi il disait souvent: " on doit avoir la politique de notre géographie".
    Aujourd'hui je comprends qu'il voulait dire que le ROC ne laisserait jamais séparé le Canada avec un trou dans le milieu. Ça ne sera jamais acceptable pour les Anglais. Pour cette raison le Canada ne laissera jamais faire le Québec dans son projet d'indépendance à moins qu'on soit prêt à aller jusqu'au bout. Même avec la crainte de perdre leur pays, ils n'ont pas bronché une seconde malgré lebluff de Bourassa. C'est pour cette raison que Bourassa ne voulait pas amené le Québec si loin car il savait la réaction violente que cela provoquerait et les conséquences économiques que cela pourrait entrainer.
    Je suis certain qu'Harper est un conservateur extrémiste et qu'il ne laisserait pas faire une telle chose. Il invoquerait toutes sortes de raisons: les anglo-québécois, les peuples amérindiens, la partition du Québec, la géographie du Canada complètement amputée au centre, etc...
    Ce que je dis c'est qu'il faut en être conscient et que si on veut vraiment l'indépendance, elle ne se fera sans une aide extérieure majeure comme un appui de la France ou d'une autre superpuissance.
    Il va falloir mettre plus que seulement un x dans une case pour y arriver. Mais sommes-nous prêts à aller au bout?
    C'est là que j'ai un doute. Lorsqu'on sait comment le peuple de Québec a agit lorsque Wolfe bombardait Québec. Les citoyens ont aussitôt réagi en disant à Montcalm de se rendre. Je ne suis pas sûr si on a le goût de souffrir pour être ce que nous sommes. Dites-moi que je me trompe. Qu'a -t-on fait en 1837, 1970? On a laissé les nôtres se battre sans les défendre.
    je crois qu'Harper le sait et c'est pour cette raison qu'il se fout maintenant du Québec en plus qu'il peut diriger le Canada sans nos votes. Il est mort de rire. La démocratie d'Harper: chiâle tant que tu veux, c'est moi qui mène, sinon viens te battre!
    Comme Falardeau disait: " si on s'énerve un peu ils n'hésiteront pas à faire venir l'armée. Ils n'ont pas de problème avec ça."

  • Archives de Vigile Répondre

    14 mars 2012

    Pas exactement.
    Il s'agit d'un rapport de force. L'armée, les institutions, la police ne peuvent rien faire si la population décide de ne plus participer et provoque l'arrêt du pays. Le Canada, membre de l'Otan ne peut se permettre de massacrer une population au nord de la frontière de l'Oncle Sam...
    Donc il est nécessaire d'obtenir une large volonté populaire et le désir, contre vents et marées d'aller jusqu'au bout quelque en soit le prix économique, en s'apprêtant a résister de manière pacifique jusqu'au bout. Ghandi n'a pas fait autrement...Le recours à la violence armée est la porte ouverte à une répression de masse, surtout en ces temps ou le terrorisme, pas celui du système capitaliste, est la sauce commune de nombreux gouvernements. Rester chez soi et ne plus participer à aucune activité non essentielle, paralyser le système, ne permet pas à celui-ci de résister trop longtemps.
    Que restera t-il de la structure économique et industrielle du Canada si les controleurs aériens ne se rendent plus a leur travail, que les employés des postes ne livrent plus le courrier, que les gens chargés du fonctionnement de la voie maritime partent a la pêche à la ligne, que les employés des ports de Montréal et de Québec cessent de décharger des navires, que les stations service ne possèdent rapidement plus de carburant à distribuer, etc....
    Rien, très vite il faudra remettre tout ceci en route, donc négocier...
    La population est-elle prête a ceci ?
    J'ai toujours été convaicu que de toute facon, qu'une reconnaissance internationale, ne pourra se mettre en place qu'après une période de négociation avec le gouvernement du Canada. Il est donc vital d'arriver a cette étape de négociation, non pas pour négocier cette séparation, mais pour en décider les termes et les modalités.
    C'est pour cela que la question doit être sans ambiguité et la majorité décisive. Il n'y a pas de place ici, pour des demi-mesures.
    Si la population n'est pas déterminée à aller jusqu'au bout, peu importe le score, le risque de ne pouvoir tenir suite a ce vote est là, il ne faut pas l'ignorer.

  • Raymond Poulin Répondre

    14 mars 2012

    Se convaincre de la pire éventualité est la manière la plus certaine non seulement d’échouer mais encore de régresser constamment, ce que nous n’avons d’ailleurs pas cessé de vivre collectivement depuis bientôt 17 ans. La prudence est une chose; la démission en est une autre, et qui se rapproche dangereusement de la résignation définitive à n’importe quel sort. Par ailleurs, vous affirmez que nous vivons dans une dictature : s’il fallait que tous les humains qui vivent ou croient vivre dans une dictature s’y résignent à jamais, quel sort pour l’humanité!..

  • Archives de Vigile Répondre

    14 mars 2012

    Monsieur Tremblay,
    moi aussi je pense que les québécois ne se battrons jamais pour leur indépendance au sens où se battre voudrait dire prendre les armes. Moi aussi j'ai peur quand je pense à la très possible réaction violente du pouvoir fédéral avec sa police et son armée, comme lors de la Crise d'Octobre.J'ai vécu l'incarcération en 1970 et j'en garde un très mauvais
    souvenir! Cela dit, tant qu'elle n'est pas faite, l'Indépendance reste à faire. A faire politiquement. A faire pacifiquement. Avec détermination et intelligence... et tout faire pour qu'un gouvernement indépendantiste remplace celui de monsieur Charest aux prochaines élections.
    Imaginez si ce nouveau gouvernement, probablement un gouvernement PQ-Marois, intégrait à son Conseil des ministres des personnalités (elles aussi élues) comme Amir Khadir, Françoise David, Jean-Martin Aussant, Jean-François Lisée! L'indépendance se ferait au premier mandat et sa confirmation entérinée par référendum au second mandat.C'est ce scénario qu'il faut avoir en tête quand on décide de faire de la politique et de militer pour l'Indépendance du Québec.

  • Archives de Vigile Répondre

    14 mars 2012

    Le Québec forme une nation dans un Canada uni(sic)...et le Canada forme une nation unie hors du Québec. Il est sage que le PQ n' élabore pas trop sur sa stratégie, pour l'instant. L'indépendance n'est pas un mandat de parti politique, c'est un mandat pour le peuple...La gouvernance souverainiste opposera deux légitimités gouvernementales , une gouvernance à Québec et l'autre à Ottawa...Plus le PQ sera élu fort ,plus il avancera avec assurance vers l' objectif d' abolir la gouvernance fédérale sur notre territoire , et aussi loin que le peuple voudra (par engouement) aller, le PQ ira ...jusqu'à l'indépendance , j'espère .Peut-être même , sans référendum . Stratégie pour 'adulte' , lisez entre les lignes et surtout n' affaiblissez pas le mandat péquiste avec les niaiseries d' un jeunot politicien , tranquillement plus pressé , lui donnant le temps de finir par comprendre , comment ça marche... Vive la Patrie , Vive le peuple du Québec , Vive la Liberté , ça presse .

  • Archives de Vigile Répondre

    14 mars 2012

    Bien analysé monsieur Tremblay,
    Les riches élites capitalistes internationales de la finance et des affaires que représente Harper ne veulent pas d'un Québec souverain; donc ça n'arrivera jamais.
    Et on l'a vu au cours des dernières années, ces élites n'hésitent pas à recourir aux forces de l'Otan en cas de besoin.
    Quel Québécois croit assez à la souveraineté pour se dire prêt à faire face aux forces de l'Otan?
    Il vaut mieux pour les souverainistes qu'ils se tiennent tranquilles.
    Il y a quelque temps, un auteur sur Vigile dont je ne me rappelle pas le nom suggérait de ne plus aller voter car les dés sont pipés d'avance.
    Je me demande si on n'est pas rendu là, autant au niveau provincial que fédéral.

  • Archives de Vigile Répondre

    14 mars 2012

    Pôôôôôôôvre M. Tremblay ! ON sent très bien que vous avez peur. ON vous sent souffrir. C’est normal certains sont plus vulnérable que d’autres. Parfois, la peur nous assaille, elle vous prend à la gorge et vous paralyse. Beaucoup la camoufle ou tentent de la calmer en imaginant toutes sortes de scénarios tordues comme la "gouvernance souverainiste", la « souveraineté-association" ou que sais-je encore. La peur est un sentiment normal surtout chez un peuple conquis et qui souffre d’une déficience majeur : le manque de confiance en soi. ON est conscient de cette situation et ON est parfaitement outillé pour la neutraliser.
    C’est bien que vous puissiez exprimer cette peur, M. Tremblay. Vous avez quelques choix à votre disposition. UN, vous avez le courage requis pour surmonter cette peur, assumer la perspective d'une confrontation politique avec le Canada et vous rejoignez le camp des "VRAIS". DEUX, vous êtes incapable de vous dominer vous-même et vous continuez à accepter de vivre dans votre sentiment de dominé et de colonisé et alors vous adhérer au PLQ, au PQ ou à la CAQ. TROIS, malgré cette opinion, vous ne faites rien. Dans ce cas, nous serions très heureux que vous nous lâchiez les "baskets" avec vos histoires de loup garou.

  • Archives de Vigile Répondre

    14 mars 2012

    "Un peuple uni jamais ne sera vaincu". Qu'il l'envoit son armée après un oui à 50%+1. Harper va se ridiculiser à l'international. À une armée d,occupation les Québécois n'auront qu'a lui opposer une armée humaine de résistants passifs. Vous croyez que les soldats vont rester longtemps a se promener inutilement dans les rue de Montréal? Il faut se mettre dans la tête qu,un vote majoritaire de 50% + 1 c'est la naissance d'un nouveau pays.