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Présentation de l’IRQ
Fondé en 2002, l’Institut de recherche sur le Québec (IRQ) a pour
mission de susciter, de soutenir et de diffuser des recherches et des textes
d’opinion sur des sujets touchant le développement du Québec, la
défense de ses intérêts vitaux et de l’identité qu’ils traduisent. Lieu
d’échanges, de concertation et de débats entre les groupes et les individus
qui réfléchissent et agissent pour bâtir le Québec, l’IRQ se situe au
carrefour de l’observation et de l’action.
Table des matières
1 Institut de recherche sur le Québec
Introduction 2
Laïcité et multiculturalisme 3
Créer une citoyenneté québécoise 3
Promouvoir une laïcité respectueuse de l’héritage culturel
québécois 4
Soustraire le Québec au multiculturalisme 4
Abolir le cours Éthique et culture religieuse 5
Mémoire et identité nationales 6
Renforcer la place de l’histoire nationale à l’université 6
Renforcer l’enseignement de l’histoire nationale dans les cursus
scolaires 6
Adopter une politique de commémorations nationales et
historiques 7
Le français, langue commune des Québécois 8
Mettre fin aux écoles passerelles 8
Faire du français la langue normale de l’enseignement collégial 9
Faire de la connaissance du français un critère obligatoire dans la
sélection des immigrants 9
Appliquer la Charte de la langue française aux petites et
moyennes entreprises 10
Réclamer l’application de la Charte de la langue française
aux entreprises sous juridiction fédérale 11
Conclusion 12
Douze idées pour renforcer la défense et la promotion de l’identité québécoise
Texte publié dans le cadre de la campagne électorale québécoise 2012
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2 commentaires
Marc Bélanger Répondre
16 août 2012Mme Cristal De Paix Bravo !!! et ainsi ,pas besoin pour moi de commenter ce sujet puisque vous l’avez quasi écrit à mon nom !!! Vous visez vraiment juste ...Encore Bravo !
Archives de Vigile Répondre
16 août 2012Il me semble que 3 points sont omis dans cette table des matières sur l’identité québécoise en développement:
1- Cours dans les écoles anglaises:
Pourquoi les écoles anglophones n’offrent pas de cours obligatoires de français comme nous avons des cours d’anglais obligatoires dans les écoles francophones? Ce serait une manière naturelle de faire une passerelle interculturelle, chaque culture faisant son bout de chemin.
C’est peut-être là que nous sommes mous, non pas religieusement, puisque la laïcité, voie de coexistence assurée, demande une fermeté face à nos réactionnaires régressifs catholiques.
La mollesse, c’est aussi de ne pas sanctionner le maire Jean Tremblay de Saguenay dont la xénophobie au bord du racisme fait honte à l’identité québécoise, l’accueil et l’ouverture à l’autre étant des qualités positives reconnues à notre peuple, et la peur (réflexe de colonisé) une tare conduisant au fanatisme.
2- Les autochtones :
Les autochtones sont oubliés. Or une politique d’alliance et d’intégration au territoire québécois passe par la langue et le respect des lois pour tous.
Les langues des autochtones et leur culture sont peut-être plus menacées par l’anglais et l’invasion fédérale, que si le français et des ponts interculturels étaient développés dans le cadre des projets du Plan Nord; ces projets doivent avoir pour but au-delà de l’économie, de partager le développement sur tous les plans vers une unité du territoire du Québec.
L’application des lois en territoire mohawk par rapport au tabac et les casinos exigent notre fermeté (et celle des élus), pas qu’en interventions policières, mais en aménagement de vrais programmes de communication et d’intégration appuyés du système juridique.
3- L’immigration :
Gérer l’immigration non comme une réflexe économique (vision simpliste d’un problème humain) et automatique d’entrée annuelle au portillon. L’immigration mal intégrée à la culture québécoise française nuit à la préservation et au développement de la nation québécoise dans son identité même.Il me semble que dans la définition en marche d'un pays indépendantiste, l'immigration devrait être réduite, contrôlée et modérée.