Filtrer l'immigration pour un environnement sans fumée

Des hordes d'immigrants gros fumeurs, alcooliques, malades chroniques?

qui engorgeront le système de santé

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Tribune libre

Voulons-nous d'un pays qui se remplit d'immigrants issus de pays où l'on fume comme des cheminées?



Ceux-là même qui finiront par engorger nos hôpitaux à nos frais, retardant les soins qui reviennent aux nôtres, nous faisant reculer encore plus loin sur les interminables listes d'attente?



Les pays occidentaux redoublent d'efforts pour que les gens mènent un vie santé: tabagisme, alcool, drogues, malbouffe, exercice, santé mentale, qui font l'objet de campagnes en tout genre.



Mais un problème majeur surgit suite à l'arrivée massive d'étrangers issus de sociétés trop retardées pour avoir de telles préoccupations, qui n'en n'ont que faire, et qui n'ont aucunement l'intention de les mettre en pratique. Ce ne sera jamais dans leur mentalité de le faire.



C'est pourquoi il devient essentiel et prioritaire de filtrer préalablement les immigrants selon leurs vices et tares, comme cela tombe sous le sens. Et en commençant par filtrer les amateurs de bout filtre!



Prenons l'exemple de la Chine: Il y a plus de 300 millions de fumeurs en Chine, soit près d'un tiers du total mondial. Plus de la moitié des hommes adultes sont des fumeurs actuels de tabac. Environ une cigarette sur trois fumées dans le monde est fumée en Chine.1 million de Chinois meurent de la cigarette chaque année. Le gouvernement est incapable d'enrayer le fléau.



Toutes sortes de catégories de travers et maladies sont à considérer si on veut éviter d'empirer les choses ici-même en surchargeant indûment le système.



Certaines catégories d'immigrants à problème doivent être évitées à tout prix:


 


1- les fumeurs à la chaîne


 


2- les alcooliques invétérés


 


3- les drogués


 


4- les sidatiques et porteurs d’autres maladies transmissibles sexuellement (variole du singe)


 


5- maladies chroniques qui nécessitent des soins coûteux à vie (dialyse, opérations, greffes, physiothérapie)


 


6- cancéreux nécessitant un suivi et des soins constants


 


7- troubles graves de santé mentale incurables


 


8- déficience intellectuelle profonde


 


9- obésité morbide


 


10- toutes les conditions médicales qui nécessitent une médication coûteuse à vie


 


En voyez-vous d'autres?


 


Bref, on filtre tout ce qui risque de contaminer la population, ou de coûter cher à la société en soins permanents.



Tous ces immigrants mal sélectionnés finiront par coûter plus cher qu'ils ne rapporteront jamais à la société.



On a l'impression qu'on ne tient absolument pas compte d'aucune de ces raisons valables de refus dans l'analyse des dossiers.



Notre système de santé doit être réservé prioritairement à notre usage, pas à celui des millions de miséreux du monde entier qui affluent et qui voudraient bien se faire soigner gratis par notre médecine de pointe.



Pour cette raison, tout immigrant ne devrait avoir accès aux soins de santé qu'après avoir travaillé 10 ans au pays, et après avoir payé 50 000$ en impôts. Entretemps, il devra défrayer le coût d'une assurance obligatoire.



Cessons de se faire exploiter par l'immigrant profiteur qui connaît toutes les entourloupettes pour se prévaloir de tout sans jamais rien payer.


On se rappelle tous le cas de cette étrangère maghrébine musulmane qui, à peine débarquée depuis une semaine à Montréal, découvre "avec étonnement" que son enfant a une malformation cardiaque qui doit être opérée sans délai pour une valeur de 150 000$ de soins hospitaliers, plus un suivi à vie.



Même munis de la loi sur l'accès à l'information, les journalistes ne semblent pas être en mesure d'obtenir les chiffres réels du coût total des soins de santé accordés aux immigrés installés au pays depuis moins de 15 ans.



Si ce chiffre exact était révélé, il jouerait certainement dans les milliards de dollars, somme colossale qui aurait pu être mieux employée à soigner les nôtres plutôt que de parfaits étrangers à qui nous ne devons strictement rien.



Qui veut d'un environnement sans fumée? Levez la main!


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Réjean Labrie812 articles

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Réjean Labrie est natif de Québec. Il a fait une partie de sa carrière dans la fonction publique provinciale.

Il tire la plus grande fierté d’être un enraciné de la 11ème génération en sol natal. Son élan nationaliste se porte sur la valorisation de la culture québécoise et sur la préservation de l'identité culturelle québécoise et de sa démographie historique.

Il se considère comme un simple citoyen libre-penseur sans ligne de parti à suivre ni carcan idéologique dont il se méfie comme des beaux parleurs de la bien-pensance officielle.

L'auteur se donne pour mission de pourfendre les tenants de la pensée unique, du politiquement correct, de la bien-pensance vertueuse, toutes ces petites cliques élitistes qui méprisent le bon peuple.

Plus de 810 articles publiés en ligne ont été lus un million 400 000 fois par tous ceux qui ont voulu partager une réflexion s'étendant sur une période de plus de 14 ans. À preuve que l'intérêt pour une identité nationale québécoise affirmée ne se dément pas, quoi qu'on en dise.





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1 commentaire

  • Réjean Labrie Répondre

    19 juillet 2022

    On pourrait reformuler le titre en y ajoutant un autre terme:


    Des hordes d'immigrants gros fumeurs, cracheurs, alcooliques, malades chroniques?


    En effet, le crachat est une pratique généralisée chez les Chinois, qu'aucune campagne gouvernementale n'arrive à enrayer.


    En Chine, on crache comme on respire.



    On peut lire:


    Alors, oui, déjà le chinois crache. Beaucoup. Et fort. Paul Théroux, dans son livre « La Chine à petite vapeur » décrit d’ailleurs très bien le phénomène :


    « Les Chinois passent leur temps à cracher. Ils se raclent la gorge si bruyamment que la conversation devient inaudible — on dirait le son d’un motoculteur ou de quelqu’un qui nettoie une gouttière, ou encore les derniers litres d’eau d’un jacuzzi en train de se vider. Ils aspirent avec leurs joues : Kurrrkh ! puis ils grimacent, mettent leurs dents en position et se penchent. Vous vous attendez à un jet d’au moins cinq mètres, comme un cow-boy dans la pampa, mais non, ils ne lui impriment aucune force. Ils crachent rarement à plus de de quelques centimètres. Ils ne crachent pas juste et loin, ils crachent vers le bas ; voilà la différence culturelle essentielle que je mis un an à découvrir en Chine. Ce n’est pas un tir net en plein dans le crachoir, c’est une dégoulinade qui coule à l’extérieur de ce répugnant réceptacle. Ils se plient en deux lorsqu’ils crachent, avec une flexion des genoux et une courbure de l’échine en guise de préliminaire. Il n’y a rien d’agressif. C’est presque silencieux. Ils laissent tomber le glaviot et poursuivent leur chemin. »


    Cela fait réfléchir sur certaines pratiques que nous importons avec les importés. Ça vient avec. Mais en veut-on vraiment?


    Source: En Chine, on crache comme on respire