Vous êtes invités à commenter l'éditorial "Un gros «si»" d'André Pratte.
Un gros «si» - André Pratte
Des commentaires
Un gros «si» - André Pratte
Vous êtes invités à commenter l'éditorial "Un gros «si»" d'André Pratte.
Réplique à Philippe Navarro
Alain Dubuc, la CBC et « Le Panthéon des auteurs et des compositeurs canadiens »
Un spectaculaire effort de symétrie bancale fondée sur des incomparables dans la plus grande des confusions sophistiques
Alain Dubuc et TQS
Que doit-on supposer à la base de cette déclaration de Pauline Marois?
Rabaska - "Le débat sans fin" - Alain Dubuc
Que doit-on supposer à la base de cette déclaration de Pauline Marois?
Alain Dubuc et TQS
Rabaska - "Le débat sans fin" - Alain Dubuc
Alain Dubuc, la CBC et « Le Panthéon des auteurs et des compositeurs canadiens »
Un spectaculaire effort de symétrie bancale fondée sur des incomparables dans la plus grande des confusions sophistiques
Que doit-on supposer à la base de cette déclaration de Pauline Marois?
Rabaska - "Le débat sans fin" - Alain Dubuc
Réplique à Philippe Navarro
Chronique de Jean-Jacques Nantel
Au Canada, toutes les provinces sont égales devant la loi
Et pourquoi le Québec ne s'allie-t-il pas avec le Nunavut et l'Alberta?
Chronique de Rémi Hugues
MOYEN-ORIENT
Leçon de théorie politique tirée du Printemps arabe
Chronique de Pierre Gouin
Le pouvoir du peuple
Justice ou charité
Chronique de Gilles Verrier
LA GRANDE ALLIANCE
La relation exemplaire franco-amérindienne
Chronique de Rodrigue Tremblay
ÉCONOMIE
Conflit Russie/Ukraine
Je rêve depuis plus de cinquante ans…
Islam: menace et incompatibilité totale
La résistance internationale s'organise enfin
Lisette Lapointe nous parle de son amoureux...
Élection partielle dans Arthabaska
La médiation au service des conflits de travail
Ils ne réussiront pas à nous faire taire
Immigration massive, diversité, mondialisation, criminalité ethnique, islamisme
Uniquement des Québécois de souche doivent être nommés
ou lorsqu'on concède aux indiens le pouvoir de nous mener par le bout du nez
Des dictionnaires « 2026 » qui sortent plus de sept mois avant 2026
Au Canada, toutes les provinces sont égales devant la loi
Et pourquoi le Québec ne s'allie-t-il pas avec le Nunavut et l'Alberta?
La question de l'immigration est vitale
Pour le Bloc, le wokisme passe avant l'indépendance.
École, travail, espace public, partout
Les immigrants ont le devoir d'adopter nos usages
On punit l'acte, pas l'état mental, le passé négatif ou la motivation
Abolir le "non criminellement responsable"
Le gouvernement n'avait plus le choix
L'islam, opposé à nos valeurs les plus élevées
Des solutions pratiques existent
Mettre fin à cet illogisme
Au sujet de la pluriparentalité
Confusion des idées
Le Canada doit rompre tout lien avec la monarchie britannique
Confusion des idées
Le Canada doit rompre tout lien avec la monarchie britannique
On punit l'acte, pas l'état mental, le passé négatif ou la motivation
Abolir le "non criminellement responsable"
Relation canado-américaine
Critères de performance : miser sur la quantité ou la qualité?
Relations de travail
Réaction à l’article de Benoît Melançon paru dans Le Devoir du 16 mai sous le titre « Maurice Richard n’est pas mort ».
Le gouvernement n'avait plus le choix
L'islam, opposé à nos valeurs les plus élevées
École, travail, espace public, partout
Les immigrants ont le devoir d'adopter nos usages
Laissez un commentaire Votre adresse courriel ne sera pas publiée.
Veuillez vous connecter afin de laisser un commentaire.
3 commentaires
Raymond Poulin Répondre
30 janvier 2008Une guerre injustifiée et injustifiable —ce que devrait savoir un homme aussi renseigné qu'André Pratte — demeure telle même si on améliore la stratégie et augmente le nombre des combattants. Par ailleurs, le gouvernement canadien, étourdiment ou délibérément, a exposé et expose encore ses soldats par son incurie à les doter d'un matériel pertinent au théâtre d'opération: absence d'hélicoptères et de drones depuis le début, achat inconsidéré de chars Leopard, qui ne conviennent pas au terrain, d'autant plus que tout char d'assaut est aujourd'hui une proie facile et, contrairement à l'opinion répandue, fragile — canarder les chenilles ou les faire sauter équivaut à un coup de massue dans les testicules — et dispendieux à entretenir et approvisionner (chenilles, électronique, essence et huile, munitions). On ne s'étonnera donc pas que, proportionnellement au nombre de soldats que nous avons sur place, nos pertes soient trois fois plus élevées que celles des autres contingents. Nos stratèges à la noix semblent également oublier qu'aucun envahisseur n'a pu se maintenir en Afghanistan, encore moins l'occuper entièrement.
Archives de Vigile Répondre
30 janvier 2008Parfait la solution Manley d'utiliser 1 000 soldats de l'OTAN pour aider les nôtres qui sont débordés même si bien équipés.
Suggestion : On fait marcher les soldats de l'OTAN en avant de nos soldats quand ils vont faire des tours de reconnaissance à la ville ou dans la campagne ensablée du sud afghan. Ils seront les premiers à s'apercevoir de la présence de mines par un léger déclic et...Kaboum à Kandahar ! Un ou deux soldats de l'Otan de moins et un ou deux soldat canadien de plus à ne pas revenir les pieds devant».
M. Harper cherche maintenant un pays volontaire.
Archives de Vigile Répondre
29 janvier 2008Quant à moi, les positions d'André Pratte sont aussi prévisibles que celles de Jean Chrétien si on lui demandait ce qu'il pense de la Souveraineté du Québec, où encore ce que dirait un chat à poil noir, si on lui demandait s'il n'aimerait pas mieux être un chat à poil blanc...
Comme dit quelqu'un sur un autre blogue, Money Talk. Et puisque nous ne sommes plus depuis longtemps en démocratie mais bien en oligarchie, il n'est que normal que des ténors de la pensée confortant le pouvoir prennent toute la place.
Je connais beaucoup de gens qui achètent la Presse, mais très peu qui lisent les élucubrations d'André Pratte, s'y réfèrent et s'en inspirent pour former leur pensée politique. Sorry, i don't think Pratte...
Cette guerre d'agression est une horreur quoiqu'en pensent les philosophes du Comité Manley, relayés maintenant par des olibrius du genre de Pratte.
Les ti gars qui laissent leur vie sur les routes d'Afghanistan, ne sauront jamais vraiment pourquoi ils sont morts. Pratte lui, le sait. Mais il ne l'avouera jamais. C'est pourquoi son argumentaire resemble davantage à un mécanisme de défense bien connu, la rationalisation, plutôt qu'un argumentaire crédible qui ne convainc pas grand monde. Pas moi en tout cas.