Auprès de qui le Québec est-il endetté?

Tribune libre

On nous rabâche les oreilles sans cesse sur le fait que le Québec est endetté, qu'il faut se serrer la ceinture, couper dans les services publics, travailler davantage, etc. Il en est de même pour tous les pays de la planète, qui sont tous endettés de milliards de dollars.
La Grèce et l'Espagne ont soi-disant été sauvées de la faillite. De ce fait, des plans d'austérité sont établis un peu partout en Europe où on demande aux populations, elles-aussi de se serrer la ceinture, d'accepter des diminutions de salaire, de travailler plus longtemps, etc. Sous couvert de sauver les pays concernés de la faillite, ne serait-ce pas plutôt les banques et les banquiers qui ont été sauvés de perdre des milliards de dollars? Ne serait-ce pas pour renflouer ces banquiers que les populations européennes doivent se serrer la ceinture?
Mes questions sont les suivantes et j'aimerais bien, si un lecteur a les réponses, qu'il y réponde: auprès de qui le Québec, comme tous les pays de la planète, est-il endetté? Qui sont les individus ou banques, qui prêtent aux États des sommes aussi colossales et d'où leur vient cet argent? Les dettes qu'on doit à ces banques, individus, etc., leur confère-t-il du pouvoir sur les politiques de nos États? Ont-ils intérêt à déclencher des guerres entre États lorsqu'un chef de gouvernement est récalcitrant ou menace de ne pas payer?
Ce que je constate et je crois, c'est qu'une poignée d'individus mène le monde et a une influence démesurée sur la politique mondiale, sur nos modes de vie et sur le fait qu'on s'en va tout droit au bord du gouffre.
Merci de bien vouloir m'éclairer!


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12 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    11 mars 2015

    la réponse est très simple, les obligations d'épargne du Québec achetés par 72% des Québécois et oui...le reste est par des étrangés ....pourquoi le déficit zéro..parce que les intérêts vont être trop élevé.

  • Archives de Vigile Répondre

    3 février 2013

    La banque du canada est gouvernemental depuis 1938.Elle fut fondé en 1934 et sous une entreprise privé. La FED par contre, toujours sous emprise privé.Quelques minutes de recherche suffira a confirmé le tout!

  • Archives de Vigile Répondre

    2 mars 2011

    Bonjours je suis militant d'Émancipation Québec un mouvement politique qui défend le protectionisme éducateur (a la DeGaule, Roosevelt ou JFK (Artisan des 30 glorieuses)) Nous luttons contre l'instrument d'asservissement national qu'est la théorie des valeurs de Smith. (sur laquelle repose l'universalité du soi-disant "libre échange" de l'empire financier monétariste).
    Leurs contrôles passent par la monnaie et pour cela ils envoient leurs productions là où la main-d'œuvre est la moins dispendieuse (ils payent les salaires les plus bas possible). Dans les zones franches, ils utilisent même des travailleurs comme quasi esclaves. Ce qui est certain c’est que le bien-être des gens est le dernier de leurs soucis. Ce néolibéralisme ne construit pas d’État-nation qui augmente le niveau de vie des gens. Ce néolibéralisme c’est la croissance de la richesse des plus puissante « accumulation de capital » et la décroissance du reste de l’humanité. Ceci est la doctrine monétariste, du marché ultra libéral que nous avons subi depuis plus de 40 ans; depuis les déréglementations du Breton Wood.
    Nous sommes d'avis que la renaissance de la civilisation québécoise doit se faire par la jonction entre libéralisme authentique et socialisme actif, moins d'États plus de république, moins de salariats, plus d'entrepreneurs. Moins de casinos et de virtuel, plus d'innovations et de croissance du territoire.
    Le Québec et le Canada; comme toutes les nations de la planète doivent revenir à un système de crédit sous contrôle public dirigé vers les infrastructures pour le bien commun et la créativité humaine! Une banque d’État doit pouvoir faire une création monétaire à bas taux d'intérêt et diriger l’économie vers une productivité physique accrue et une économie réelle qui augmentent la capacité de l'humanité à supporter la vie humaine dans toute sa dignité. Nous devons impérativement donner les outils à notre pays pour retrouver nos capacités industrielles. (liquidé par le monétarisme mondialisé)

    Gabriel Claveau
    Émancipation Québec
    http://emancipationquebec.over-blog.com/#

  • Archives de Vigile Répondre

    10 février 2011

    Merci Mr. Richard pour ce texte. Il est un complément de la vidéo : l'argent dette (tapper sur google, vous le trouverez).
    Je me demandais si il y avait des différences marquantes entre la banque du Canada et celle des USA. Sans trop de surprise, je constate qu'il n'y en a pas.

  • Archives de Vigile Répondre

    8 février 2011

    Et un autre. et après la lecture de celui-ci, j'inviterais les Vigiles Qui Se Souviennent de se rappeler que durant un certain temps, à l'époque de la colonie française, nous avons utilisé avec un succès documenté une monnaie de remplacement basée sur... des cartes à jouer, faute de papier!
    Source : http://www.centpapiers.com/la-dictature-au-canada-et-au-quebec/58967/comment-page-1
    La dictature au Canada et au Québec
    Nicolas Beaudin - 5 février 2011
    Pour ceux et celles qui croient encore que nous vivons en démocratie, dans cet article je présenterai les preuves de cette illusion. Nous verrons que le système politique québécois est illégal, que les systèmes judiciaires du Canada et du Québec sont illégaux, que le système bancaire canadien, la TPS et l’impôt canadien sont illégaux et que la SQ et les polices municipales sont illégales. Quand nos politiciens ne respectent pas la Constitution de leur pays, alors nous sommes en dictature.
    Tout d’abord il est important de comprendre que la Constitution d’un pays est La loi des lois, c’est-à-dire que toutes les lois qui sont votées par les pouvoirs législatifs doivent être en accord avec la Constitution du pays, sinon elles sont inconstitutionnelles, donc illégales. La Constitution présentement en vigueur au Canada est l’Acte de l’Amérique du Nord Britannique de 1867. Or, il est très clairement indiqué à l’article 71 de cette constitution que : « Il y aura, pour Québec, une législature composée du lieutenant-gouverneur et de deux chambres appelées le conseil législatif de Québec et l’assemblée législative de Québec. » Comme nous le savons, depuis 1968 l’assemblée législative est devenue l’assemblée nationale et le conseil législatif a été abolit, certains affirmeront qu’il était permis de changer la constitution des provinces selon l’article 92(1), ce qui est vrai, « sauf les dispositions relatives à la charge de lieutenant-gouverneur », or la disposition relative à la charge de lieutenant-gouverneur décrite à l’article 72, qui lui assigne de nommer les membres du conseil législatif, a donc elle aussi été abolie en contrevenant à l’article 92(1) de la Constitution. Ceci démontre que le système politique québécois ne respecte plus la Constitution canadienne depuis 1968 avec le mensonge et la complicité de nos élus. Ce qui en découle est que toutes les lois du Québec et des municipalités (qui sont assujetties à une loi du Québec) sont illégales. Tous nos élus, sauf au fédéral, sont donc illégaux et criminels par le fait même. On voit présentement que la corruption est très répandue dans le monde politique, en fait le système est corrompu dans son principe même et touche tous les élus provinciaux et municipaux sans exception. Ce n’est pas Québec solidaire plus que les autres qui va dénoncer ça. Il en découle aussi qu’une grande partie du système judiciaire québécois est illégale, car tous les juges nommés par le ministre de la justice du Québec sont illégaux, ainsi que toutes les décisions qui se basent sur des lois ou de la jurisprudence québécoises.
    Concernant le système judiciaire canadien, ce qui explique son illégalité est que les juges proviennent du conseil canadien de la magistrature et du conseil de la magistrature du Québec, alors que le Gouverneur-Général est supposé choisir ses propres juges sans séparation des pouvoirs. Le pouvoir judiciaire n’est pas une institution indépendante du pouvoir législatif et du pouvoir exécutif, il appartient à la Reine par son représentant le Gouverneur-Général. Pourtant les juges sont choisis par le ministre de la justice à l’intérieur des choix offerts par le conseil de la magistrature du Canada ou du Québec, contrevenant ainsi à l’article 96 de la constitution.
    Maintenant examinons le système bancaire canadien. Ce système fonctionne comme celui des États-Unis et de plusieurs pays dans le monde. Il est la cause de la pauvreté et des guerres artificiellement créées dans le monde, ce qui permet l’exploitation, la famine et la misère sous toutes ses formes. Tout d’abord il est important de souligner l’article 91 de la Constitution qui établit les pouvoirs exclusifs du gouvernement fédéral. L’article 91(29) stipule que les pouvoirs législatifs du gouvernement fédéral ne peuvent en aucun cas tomber dans la catégorie des matières d’une nature locale ou privée. Il lui est donc interdit de transférer ses pouvoirs.
    L’article 91(15) énonce le pouvoir législatifs exclusif du fédéral concernant ceci : « Les banques, l’incorporation des banques et l’émission du papier-monnaie. » Ceci signifie que c’est lui qui fait les lois concernant l’émission de l’argent en circulation dans le pays, donc la masse monétaire. Ce qui est une fraude, car le gouvernement fédéral a donné le pouvoir d’émettre l’argent en circulation à une institution privée, la Banque du Canada (qui décide donc les politiques monétaires et la quantité d’argent émise), et il lui emprunte une partie de cet argent avec intérêt. Un pouvoir exclusif du fédéral a donc été transféré à une institution privée à l’encontre de l’article 91(29) de la Constitution. On pourrait prétendre que le pouvoir du fédéral est de faire des lois concernant les sujets énumérés à l’article 91, donc qu’il peut faire une loi qui donnerait le droit à une institution privée d’émettre l’argent en circulation. Mais même dans cette optique le système bancaire canadien serait illégal, car en faisant cela le gouvernement cause un préjudice aux citoyens canadiens étant donné qu’il crée artificiellement une dette, alors que s’il émettait lui-même l’argent en circulation il n’aurait pas de dette. De plus, il perd le contrôle sur les politiques monétaires. Le fait de permettre à une Banque privée d’émettre l’argent en circulation contrevient donc au préambule de l’article 91 qui stipule « de faire des lois pour la paix, l’ordre et le bon gouvernement du Canada ».
    Certains diront que la Banque du Canada est publique comme c’est inscrit dans sa charte. Je ne m’intéresse pas aux fausses théories, mais plutôt à la réalité concrète, à la pratique véritable. Si la Banque du Canada était publique, alors le gouvernement n’aurait pas de dette, car comme le prônaient les créditistes, s’il avait besoin d’argent il en émettrait plus, plutôt que de l’emprunter à une banque privée (sous forme de dette et avec des intérêts), ce qui ne causerait pas plus d’inflation, car que l’argent soit émis par une banque privée ou le gouvernement, la quantité émise serait la même. Je vous assure que si j’avais le pouvoir d’imprimer l’argent, je n’aurais aucune dette. La Banque du Canada est donc privée dans les faits, ce qui est corroboré par le bottin téléphonique qui inscrit la Banque du Canada dans les pages blanches sous la rubrique « affaire » et non dans les pages bleues des organismes gouvernementaux. De plus, sur le site officiel de la Banque du Canada on peut constater que tous les membres du C.A. proviennent tous et toutes du privé et ils n’ont aucun compte à rendre au gouvernement. Il est d’ailleurs écrit dans les Statuts et Règlements que « le seul représentant du gouvernement est le sous-ministre des finances et n’a pas droit de vote ».
    « Fait intéressant, le principal actionnaire de la Banque du Canada (à 95%) est la Réserve Fédéral, la banque centrale des USA, qui est aussi un cartel de banques privées. Selon le chercheur Eustache Mullins : « Tout l’Empire Rockefeller fut financé par les Rothschild. Aujourd’hui, les Rothschild sont propriétaires d’environ 53% de la Banque fédérale de réserve des États-Unis » Les principaux actionnaires de la Réserve Fédéral américaine (et donc de la Banque du Canada) sont : Rothschild (Banque de Berlin), Rothschild (Banque d’Angleterre), Frères Lazard (Banque de Paris), Israël Moses Seiff (Banque d’Italie), Warburg (Banque de Hambourg et d’Amsterdam), Kuhn Loeb (Banque de New York), Chase Manhattan (Banque de New York), Goldman Sachs (Banque de New York). »[1]
    La Banque du Canada et les autres banques privées créent de l’argent à partir de rien et chargent des intérêts impossible à rembourser collectivement parce que cet argent des intérêts n’a pas été mis en circulation, il n’a pas été imprimé. Cette pratique des banquiers remonte à loin, au moins au moyen-âge. À cette époque les orfèvres entreposaient l’or de leurs clients (qui avaient peur de se faire voler) en échange de reçus en papier. Voyant que c’était plus pratique d’échanger des papiers que de l’or, alors il n’y avait pas plus de 10% des gens qui venaient demander leur or à l’orfèvre. Celui-ci compris donc qu’il pouvait faire beaucoup d’argent en émettant 90% plus de reçus que ce qu’il avait d’or, puisque les gens ne reviennent pas chercher leur or à plus que 10% à la fois. Ainsi, si l’orfèvre a pour 10 000$ en or, alors il émettra pour 100 000$ en reçus. Il crée donc 90 000$ à partir de rien.
    Les banques fonctionnent encore de cette façon aujourd’hui, sauf qu’elles n’ont plus besoin de réserve d’or, ni de 10% de l’argent en circulation. Si elles manquent d’argent la Banque centrale en émettra plus pour combler leur besoin en mettant ça sur le compte du gouvernement, donc du peuple, comme nous l’avons vu depuis 2 ans aux États-Unis, en Europe et au Canada. Les banques qui font faillites ne sont pas dans les bonnes grâces de l’élite financière qui veut les éliminer. Maintenant les Banques centrales peuvent émettre autant d’argent qu’elles veulent, de façon illimitée, et les autres banques aussi, en autant qu’elles sont appuyées par leur Banque centrale en cas de forte demande de liquidité. Si vous faites un chèque sans fonds vous aurez des problèmes, mais si vous êtes une banque alors vous vous enrichirez grandement et rapidement en toute impunité. Le problème n’est pas la création de l’argent à partir de rien en tant que tel, mais plutôt le fait que ce pouvoir appartienne à une petite élite privée au détriment du peuple et que cet argent soit émis sous forme de dette plutôt que répartit également seulement pour faciliter les échanges. Il ne devrait donc pas y avoir de dette pour l’argent émis à chacun au départ dans le but de faciliter les échanges, autrement dit on ne devrait pas devoir aux banques l’argent qui est en circulation, car il n’est qu’un moyen de comptabiliser les échanges. Si le gouvernement émettait lui-même l’argent en circulation de façon équitable ça servirait le peuple, mais une petite gang qui s’imprime des milliers de milliards est un danger pour le reste de la population. Créer de l’argent pour des projets sociaux approuvés par la population n’est pas la même chose que créer de l’argent pour fomenter des guerres à son avantage. Voici ce qu’en dit l’avocat Jean Dury :
    « Jamais, en 1867, il n’a été prévu dans la Constitution canadienne que le gouvernement fédéral pouvait transférer son pouvoir de frapper la monnaie à une corporation privée, la Banque du canada. Ce regroupement de banquiers issu d’un cartel déjà établi bien avant 1913, date de la fondation de ladite banque, a fomenter en privé le plus grand crime contre l’humanité de l’histoire terrestre, soit la création de la monnaie à partir d’absolument rien. La fraude est définie au Code criminel comme étant une supercherie, un mensonge ou autres moyens frauduleux qui cause ou qui risque de causer un préjudice à autrui. Le mensonge est de nous faire croire que ce papier mis sur le marché vaut de l’argent (métal précieux), et le préjudice est que la Banque centrale n’a jamais mis en circulation l’argent pour payer les intérêts du capital.
    De plus, le cartel bancaire mondial est la cause primordiale de toutes les guerres sur notre infortunée planète et ce, depuis fort longtemps. Le soi-disant argent qu’on réclame aux citoyens ne sert qu’à entretenir cette fraude manifeste contre le peuple, avec la complicité du gouvernement fédéral. Où est la conformité du fédéral à veiller à tout ce qu’il faut pour la paix, l’ordre et le bon gouvernement, tel qu’édicté à l’introduction de l’article 91 de l’Acte constitutionnel de 1867? »[2]
    Quand les banques émettent un prêt en créant l’argent à partir de rien, elles chargent aussi un intérêt. Le problème est qu’elles n’ont pas créé l’argent de l’intérêt. Voici une petite histoire qui permet de bien comprendre cela. Il y a 5 personnes qui font naufrage sur une île déserte. Pour survivre il y a un cultivateur, un bâtisseur, un chasseur, un pêcheur et un bûcheron. Ils font donc du troc pour échanger leurs produits et services. Cela leur cause certains inconvénients, car quand le bûcheron apporte du bois au cultivateur, ses légumes ne sont pas toujours prêt à être échanger, etc. C’est alors qu’un 6e individu arrive sur l’île, et ayant eu écho du problème s’amène avec une solution. Il dit qu’il est banquier et qu’il peut régler leur problème d’échange de produits et services. Il fabrique des billets qu’il appelle argent. Il donne 200$ à chaque personne et prend bien soin de leur dire que cet argent lui appartient, donc que chacun d’eux lui doit cet argent. De plus, il leur charge 10% d’intérêt sur cet argent. Les 5 travailleurs sont contents et apprécient la facilité d’échange qu’ils ont acquis grâce au banquier. Ils le remercient donc avec joie. Par contre après un certain temps l’un d’eux commence à flairer une arnaque. Il organise une réunion des travailleurs et leur explique sa découverte. Il leur dit : « les gars on s’est fait avoir comme des enfants. Le banquier nous a prêté 1000$ en tout, c’est l’argent que nous avons tous ensemble et que nous devons lui remettre, mais en plus il nous charge 10% d’intérêt, donc nous devons lui remettre 1100$ à nous tous. Mais le problème c’est que nous n’avons que 1000$ d’imprimé, il nous est donc impossible de rembourser notre dette collectivement. »
    Voilà pourquoi les peuples sont collectivement dans l’esclavage économique de l’endettement, sans aucune chance de s’en sortir et de pouvoir payer. Voilà pourquoi la culture, l’école et les médias formatent une société individualiste, car c’est le seul moyen de maintenir ce système qui avantage seulement une minorité. Voilà pourquoi les intérêts sont usuraires. Le banquier Mayer Rothschild disait : « donnez-moi le contrôle de l’émission de l’argent et peu m’importe qui fait les lois. » Nous ne sommes pas dans une démocratie, mais bel et bien dans une dictature politique, économique, judiciaire et policière. Il aurait simplement suffit aux travailleurs d’inscrire 200 sur une feuille de papier et de déduire 10 pour un et ajouter 10 à l’autre lors d’un échange de 10$. Une autre solution aurait été que les travailleurs se fabriquent eux-mêmes leur monnaie, ce qui n’aurait créé aucune dette, ni intérêt. Les monnaies locales sont basées sur ce principe.
    Concernant l’impôt fédéral et la TPS, ils sont illégaux selon l’article 92(2) de la Constitution qui stipule que la taxation directe est un pouvoir EXCLUSIF aux provinces. L’impôt provincial et la TVQ sont aussi illégaux, car comme expliqué plus haut, tout le système politique québécois est illégal. Ce qui signifie que la SQ et toutes les polices municipales sont illégales, non seulement parce que le système politique québécois est criminel, mais aussi parce que la police est un pouvoir EXCLUSIF au fédéral, car revient au fédéral tout pouvoir qui n’est pas nommé nulle part dans la Constitution, selon l’article 91(29).
    En conclusion, il est important de diffuser ces informations afin que les gens cessent graduellement d’alimenter ces systèmes politiques, économico-capitalistes, judiciaires et policiers diaboliques. Le but est d’en arriver à n’utiliser qu’une monnaie locale juste et équitable, à ne plus voter ni payer l’impôt, ne plus faire affaire avec les institutions financières, les assurances, les multinationales, la bourse et les placements de toutes sortes. Les politiciens sont tous et toutes complices de cela, même quand c’est par naïveté ils ne veulent jamais entendre raison devant l’évidence des faits. Sortons du système et formons des communautés en retournant vers la nature. Le système de santé sert à nous rendre malade et non à nous soigner. Le système d’éducation est du lavage de cerveau. Le système judiciaire est un système de vengeance qui sert les riches. Le système économique crée artificiellement la pauvreté, les guerres, les famines, la misère, l’exploitation et la violence. Il sert une minorité au détriment de l’immense majorité. Le système politique est une dictature au service de l’argent. Cessons de contribuer à notre autodestruction.
    [1] GHIS, Madame Ghis, évasion en prison, 2008, p. 219.
    [2] Ibid., p. 230.
    * Vers une nouvelle lecture de Le Corbusier à Ronchamp (0)
    * Comment se suicider ? MAJ (10)
    * Internautes à la recherche de moyens pour se suicider (92)
    * Chicane sur le blogue : Martin Petit, humoriste VS Pierre Cayouette de L’actualité (0)
    * Télémarketing : fraude canadienne envers les américains (1)

  • Archives de Vigile Répondre

    8 février 2011

    Voici de l'information supplémentaire à ce sujet, soumis par un contact Facebook :
    Source (blog) : http://www.banqueduquebec.ca/p/banque-du-quebec-au-service-du-bien.html
    Bienvenue sur le site Pour une Banque du Québec
    Cliquez sur les liens ci-contre, à gauche, pour naviguer dans nos pages thématiques. Au bas de chacune de ces pages, vous retrouverez les articles publiés récemment ainsi que les commentaires qu’ils auront suscités. Vos commentaires sont les bienvenus.
    Les idées proposées sur ce site Internet reflètent l’opinion de leurs auteurs uniquement et ne représentent pas une politique officielle du Parti Québécois.
    Tous les documents écrits et vidéo, ainsi que les opinions des lecteurs, visent à alimenter une vaste réflexion centrée sur la nécessité de mettre sur pieds une Banque du Québec, propriété exclusive du Gouvernement du Québec.
    Les prochains mois d’échanges et de réflexion permettront de formuler une proposition concrète qui sera ultimement soumise au vote des délégués lors du prochain Congrès National du Parti Québécois en avril 2011.
    Une Banque du Québec au service du bien commun
    Pour une banque centrale au service du bien commun
    Notre Banque du Canada est indépendante… de qui ?
    Si vous visitez le site du Ministère des finances du Canada, en cliquant ce lien, vous allez pouvoir lire une Déclaration au Conseil d'administration de la Banque du Canada, faite en l’an 2000 par l'honorable Paul Martin, ministre des Finances du Canada. Vous pourrez y lire :
    «L'indépendance de la Banque du Canada et de son gouverneur est un principe important de notre système. La séparation explicite des politiques financière et monétaire est essentielle au fonctionnement adéquat de l'économie canadienne».
    Notre ancien ministre des finances a omis de spécifier de qui, au juste, la Banque du Canada est «indépendante » ? Vous connaissez la réponse, n’est-ce-pas ? Il s’agit de nous, bien sûr, les citoyens canadiens. Les conséquences de cette «indépendance » sont catastrophiques et expliquent presque tous nos problèmes budgétaires. Voici un exemple. Dans un rapport au gouvernement, publié en 1993, le Vérificateur général déclare :
    « Les frais d'emprunt et l'effet de l'intérêt composé ont des répercussions considérables sur les déficits annuels du Canada. Depuis la Confédération jusqu'en 1991-1992, l'administration fédérale a cumulé une dette nette de 423 milliards de dollars, dont 37 milliards de dollars représentent le manque à gagner pour couvrir le coût des programmes gouvernementaux mis en œuvre pendant toute cette période. Le reste, 386 milliards de dollars, représente le montant que le gouvernement a emprunté pour couvrir le service de la dette créée par les manques à gagner des années précédentes».
    En résumé, sur la dette de 423 milliards que nous avions en 1992, seulement 37 de ces milliards avaient servi à des dépenses gouvernementales ! Il est certainement légitime de demander pourquoi notre gouvernement a emprunté, en notre nom, auprès de banques privées et d’individus, au lieu d’emprunter auprès de la Banque du Canada ? Il est important de savoir que les frais d’intérêt payés à la Banque du Canada sont ensuite versés au Gouvernement du Canada… Cette orgie de frais de financement inutiles ne faisait que commencer : entre 1995 et 2002, nous avons payé $600 milliards en frais d’intérêts sur nos dettes publiques au Canada ! Un pays, dont les gouvernements successifs gaspillent ainsi les impôts de ses contribuables, est-il un pays souverain? Sommes-nous maîtres de la politique monétaire de notre pays? La question est loin d’être farfelue et mérite d’être posée. Depuis plus de 20 ans, des gens curieux et compétents exigent, en vain, des réponses de nos élus.
    Investissements productifs à faibles taux d’intérêts
    Nous allons étudier comment une banque nationale, sous la responsabilité des élus, peut procéder à une création monétaire à faibles taux d’intérêts, sans entraîner d’inflation monétaire. Nous verrons comment cet épouvantail de l’inflation est toujours utilisé pour continuer de prétendre que la création monétaire doit toujours être associée à un endettement porteur d’intérêts élevés… et privés, bien sûr. Plusieurs vont tenter d’associer le concept de crédits productifs à bas taux d’intérêt à la philosophie créditiste. Cette association est toujours fausse et souvent de mauvaise foi. Les tenants du crédit social voulaient accorder du crédit à la consommation presque illimité à très faibles taux d’intérêt. Cette proposition aurait en effet entraîné une forte augmentation de la quantité de monnaie en circulation sans nécessairement engendrer la création de richesses utiles dans une même proportion. Si la quantité d’argent créée est plus grande que la valeur des nouveaux biens utiles produits, les dollars disponibles pour acheter un certain bien sont de plus en plus nombreux, ce qui entraîne effectivement une inflation monétaire. Cette inflation fait en sorte que les salariés veulent que leurs salaires augmentent aussi vite que les prix à la consommation, ce qui cause souvent des mouvements de grèves à répétition avec tous les désordres sociaux qu’on peut imaginer. Sous cet éclairage, les propositions des créditistes ne semblent pas efficaces pour diminuer la pauvreté. Un accès facile à du crédit ne signifie pas qu’une société réussit à réduire les coûts sociaux de la production industrielle. Il est important d’étudier le défi de l’enrichissement sous le bon angle.
    (La suite du texte disponible bientôt)

  • Stéphane Martel Répondre

    8 février 2011

    Merci pour ces précieuses informations, elles corroborent certaines des lectures que j'ai faites ces dernières années.
    C'est tout de même mystérieux que nous soyons si peu informés sur l'identité de nos créanciers.
    Stéphane Martel

  • Archives de Vigile Répondre

    8 février 2011

    Je faisais référence à M. Leo-Paul Lauzon, et non "Jean-Claude Lauzon", bien évidemment. Je m'excuse humblement de la méprise.

  • Archives de Vigile Répondre

    7 février 2011

    Voici sur le genre de sources sur lesquelles j'ai basé mes connaissances que j'ai brièvement énumérées plus haut, plus bien entendu un minimum de vérification des sources. Mais au vu des noms cités dans ce documentaire de vulgarisation sur le sujet de la monnaie et des banques, le discours en lui-même semble plus que crédible et défendable.
    Qu'est-ce que l'Argent dette? : http://www.youtube.com/watch?v=hudu8SBNLWQ&feature=player_embedded
    Remarquez bien que les auteurs de ce vidéo d'environ 52 minutes conviennent qu'il s'agit là d'une question complexe, et ne peut qu'offrir des débuts de pistes de solutions alternatives viables à long terme.
    L'apport de Vigiles ayant des connaissances appropriées en la matière pouvant permettre de faire avancer le débat sont invités à contribuer en ce sens. Je pense également à un homme comme Jacques Parizeau, qui est sans doutes l'une des personnes encore vivantes à cet effet à s'être penché sur la question, et ce depuis les tous débuts du mouvement nationaliste Québécois. Les Lumières d'un homme comme Yves Michaud, où encore Jean-Claude Lauzon, pour ne nommer que ceux-ci, seraient à mon avis inestimables. Ceci dit sans oublier M. Jacques Noël qui a savamment démontré le potentiel économique du Québec dans sa récente série d'articles qui déboulonne le mythe du Québec pauvre.

  • Archives de Vigile Répondre

    7 février 2011

    Il est également intéressant de se questionner sur la provenance actuelle de l'argent que nous utilisons et/ou utiliserons, et avec lequel on compte bien rembourser cette dette un jour.
    Et c'est là que me manque cruellement des connaissances sur les rouages bancaires canadiens, dont le statut de la Banque du Canada, seule institution bancaire au Canada autorisée à émettre de la monnaie, donc de contrôler sa valeur par l'émission de billets et de monnaie et par le contrôle du taux préférentiel.
    Si je reviens au cas de la création de la Federal Reserve, les regrets de Woodrow Wilson, qui fut au départ porté au pouvoir par ce même cartel de banquiers, étaient relatifs qu'à partir de ce jour (ou fut-ce plus tard lorsque que la monnaie ne fut plus basée sur les réserves d'or, mais devint seulement un "legal tender", un "billet à cours légal"? Ces deux événements furent-ils simultanés? Ma mémoire est floue sur ce point), le système monétaire et de création de richesse en tant que tel était désormais basé sur un système d'endettement perpétuel via l'émission de monnaie à taux d'intérêts, et que justement le contrôle d'un tel système se retrouvait désormais aux mains d'un club très sélect de particuliers.
    Pour expliquer simplement le phénomène, nous nous retrouvons en face d'un État-Nation, qui possède le droit constitutionnel de contrôler toutes les politiques concernant sa monnaie et d'en contrôler l'émission et la circulation elle-même, lêgant ce droit à un cartel de banquiers privés "indépendants du gouvernement" instituant un système monétaire dans lequel l'argent qui y est mis en circulation (j'allais dire "imprimé", mais ce concept est de plus en plus périmé), au nom et en place de ce même État-Nation, et ce avec taux d'intérêt.
    L'état-Nation en question se retrouve donc à devoir à sa banque centrale un montant d'argent X, plus intérêts. Il ne faut pas grands calculs scientifiques pour réaliser que si même tout l'argent était remboursé par l'État-Nation afin de régler sa dette, même sur le champs, on se retrouve rapidement devant deux problèmes :
    1) Il n'y a plus d'argent en circulation pour qu'une économie digne de ce nom puisse se maintenir;
    2) Il manque d'argent pour payer complètement la dette, puisqu'il reste toujours la part d'intérêt faut également rembourser.
    Pour pallier à ce problème, la Banque Centrale met en circulation encore plus d'argent, toujours avec taux d'intérêt, ce qui n'en vient qu'à empirer le problème dans un cercle perpétuel d'État-Nation qui s'auto-endette avec son propre argent. Si ce n'est l'infime détail, au final, que c'est en réalité une certaine élite financière qui en profite par voie de propriété privée de ce qui devrait être au départ collectif, au même titre par exemple que notre Caisse de Dépot.
    Et les problèmes liés à "l'argent virtuel" n'ont fait que commencer à partir de cette époque, on n'a qu'a voir comment les choses ont évoluées avec la création des marchés boursiers et l'infestation des marchés avec des produits financiers toxiques comme les papiers commerciaux, ainsi que la question de toutes les transactions électroniques que nous effectuons, que ce soit sur Internet ou par carte de débit ou de... crédit. Beaucoup de gens sous-estime également le volume énorme de capitaux qui transitent chaque jour sur Internet dans ce qu'on appelle dans le jargon anglophone le b-2-b e-commerce, que je traduirais par commerce électronique spécifiquement entre entreprises (en comparaison à celui orienté vers les consommateurs). Tout ceci représente des volumes de capitaux "virtuels" qui transitent chaque jour même au Québec, et ce sans qu'aucun billet de banque ou pièce de monnaie ne soit manipulé.
    Bref, ces questions sont assez complexes et importantes, et je suis content que M. Martel ait soulevé ces questions, car j'avoue bien humblement que même si j'aurais des suggestions à faire en réformes de l'économie, je concède humblement que d'autres personnes, telles M. Noël ici présent pour ne nommer que celui-ci, peuvent contribuer de leurs connaissances sur la question afin d'alimenter nos connaissances générales sur le sujet. Se pencher sur ces questions qui devront être posées tôt ou tard dans un contexte de Québec indépendant.
    À ce sujet, le dernier référendum en Islande, étrangement très peu médiatisé par nos médias qui préfèrent se concentrer exclusivement sur l'Afrique du Nord, nous force également à songer sérieusement à réfléchir sérieusement à ces questions.
    http://www.latribune.fr/entreprises-finance/banques-finance/20100307trib000484757/referendum-islandais-sur-la-banque-icesave-non-a-plus-de-93.html
    Je terminerais en disant que finalement, la "piasse à Lévesque" aurait peut-être pas été une si mauvaise chose que ça.
    A. R.

  • Archives de Vigile Répondre

    7 février 2011

    La dette du Québec appartient à tous ceux qui ont acheté des obligations d'épargne du Québec
    http://www.epq.gouv.qc.ca/principal.jsp#
    J'ai pas de données mais je crois que c'est surtout une dette canadienne, une dette détenue, en majorité, par des Canadiens et institutions canadiennes.
    Les Américains doivent aussi en détenir une partie. Les Européens et les Japonais le reste.

  • Archives de Vigile Répondre

    7 février 2011

    M. Martel,
    D'autres que moi parmi les vigiles sauront probablement vous répondre de manière plus précise et documentée que moi. Je vais tout de même tenter de répondre aux interrogations, très légitimes, que vous soulevez actuellement. Je ne suis point expert dans ce domaine, mais je considère m'être suffisamment informé sur le sujet pour au moins vous offrir des éléments de réponses.
    Sans pouvoir vous certifiez que ce que je décris ici est effectivement la situation dans tous les pays du monde, je crois quand même pouvoir affirmer avec assez d'aisance que ce que nous appelons le "système bancaire mondial", principalement formé d'institutions telles que, mais pas seulement elles, le Fonds Monétaire International, l'Organisation Mondiale du Commerce et la Banque Mondiale est principalement constituée de banques privées qui sont effectivement détenues par un très petit nombre de gens.
    Ces systèmes banquier mondial est intimement liée aux politiques des nations et des banques nationales de ces pays, par l'entremise des jeux de capitaux, de dettes, de taux d'intérêts, et ce dans le but à forcer sur ces nations des plans d'austérité dans les finances publiques et pour la privatisation des ressources naturelles et des biens publics. D'ailleurs, dans bien des cas, ces même Banques Nationales n'ont souvent de "National" que le nom, étant également des propriétés privées, bien souvent propriétaires des mêmes noms dans les hautes instances "mondiales".
    À titre d'exemple, la Réserve Fédérale des États-Unis est "indépendante du gouvernement", car contrôlée par douze banques "régionales". Au final, on en revient toujours aux premières banques privées qui ont imposé la signature du Federal Reserve Act à Woodrow Wilson lors d'une rencontre tenue secrète en 1913, chose que Woodrow à admis avoir regretté vers la fin de sa vie. Les noms dont je me souviens de mémoire devraient déjà vous paraitre familiers, et sont des début de réponse envers vos questionnements? Ceux-ci sont Rothschild, Rockefeller, JP Morgan Chase. Il y en a d'autres, mais je n'ai pas le temps de courir après ces infos.
    Wikipedia peut être une source de part intéressante pour enrichir le sujet :
    http://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9serve_f%C3%A9d%C3%A9rale_des_%C3%89tats-Unis
    Réserve fédérale des États-Unis
    (extraits)
    La Réserve fédérale (Federal Reserve System), appelée souvent Federal Reserve ou, plus court encore, Fed, est la banque centrale des États-Unis. Elle a été créée le 23 décembre 1913 par le Federal Reserve Act dit aussi Owen-Glass Act.
    La Réserve fédérale :
    * décide de la politique monétaire des États-Unis
    o avec un double objectif de stabilité des prix et de plein emploi,
    o et l'obligation de faciliter la croissance économique,
    * supervise le système bancaire américain,
    * publie des rapports, tels que le livre beige, relatifs à l'économie américaine
    * agit comme prêteur de dernier ressort,
    * peut agir sur la valeur externe de la monnaie, le dollar américain notamment à travers l'utilisation de ses taux directeurs (rémunération des prêteurs) pour motiver la venue ou la fuite de capitaux, et donc influer sur la masse monétaire et la croissance économique des États-Unis (exemple du protectionnisme déguisé qui entraîne par la suite une dévaluation du dollar et donc une meilleure compétitivité-prix),
    * est indépendante des institutions politiques
    Oppositions à la Fed[modifier]
    Politiques[modifier]
    Charles August Lindbergh, un représentant du Minnesota à la Chambre des représentants des États-Unis, s'opposa au système de la Réserve Fédérale dès sa création en 1913 dans un essai qu'il publia la même année[5]. Le 10 juin 1932, Louis Thomas McFadden, un représentant de Pennsylvanie, fit un discours de 25 minutes devant la Chambre des représentants des États-Unis, durant lequel il accusa la Réserve fédérale d'avoir délibérément provoqué la Grande dépression[6]. Le 15 juin 2007, Ron Paul, un représentant du Texas à la Chambre des représentants des États-Unis, a déposé un amendement visant à supprimer la Réserve fédérale[7].
    Médiatiques[modifier]
    G. Edward Griffin dans son livre qui fut un bestseller populaire[8],[9] ainsi que dans les milieux des affaires[10],[11] The Creature from Jekyll Island: A Second Look at the Federal Reserve et qui en est à sa sixième édition, va dénoncer « les banques privées qui possèdent effectivement la Réserve Fédérale »[12].
    Plusieurs films développent la même théorie, défendue également par le sénateur Ron Paul, candidat aux élections en 2008. The Fiat Empire[13] et Zeitgeist [14].
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Famille_Rothschild
    Famille Rothschild
    La famille Rothschild est une famille aux origines juives ashkénazes allemandes et aux nationalités multiples (allemande, française, britannique, israélienne, etc.). Les Rothschild se sont fait connaître depuis le XIVe siècle dans les domaines de la banque et de la finance mais également par leurs nombreuses œuvres philanthropiques, et, à partir de la fin du XIXe siècle, par leur soutien au sionisme.
    Sommaire
    [masquer]
    * 1 Histoire
    * 2 Les différentes branches
    * 3 Généalogie
    o 3.1 Le fondateur et ses enfants
    o 3.2 Branche « von Worms » (non porteuse du nom Rothschild)
    o 3.3 Branche dite « de Vienne »
    o 3.4 Branche dite « de Londres »
    o 3.5 Branche dite « de Naples »
    o 3.6 Branche dite « de Paris »
    * 4 Notes et références
    * 5 Voir aussi
    o 5.1 Liens externes
    Bref, je vous laisse le soin d'éplucher la question selon votre gré. Ce qu'il faut retenir ici, c'est que la Federal Reserve est à peu près aussi "Federal" que Federal Express.
    En ce qui concerne la Banque du Canada, j'avoue être moins au courant des différences entre notre système bancaire et celui de nos voisins américains. Je sais cependant que des différences existent, je n'ai simplement pas encore trouvé le temps d'étudier la question personnellement.
    Ce que je sais, par contre, c'est que le système bancaire Japonais est l'un des rares systèmes bancaire nationaux au monde qui n'est pas sous l'emprise de la pieuvre à trois bras FMI/OMC/BM, et ce n'est pas sans surprise que le Japon soit le théâtre d'innovations technologiques telles que le moteur magnétique Minato, qui est présentement à l'essai à grande échelle dans des systèmes de réfrigération pour les super-marchés.
    Je sais que cette réponse n'est que partielle, mais c'est le mieux que je peux rapidement livrer dans le peu de temps que j'ai actuellement. J'ose espérer que d'autres Vigiles mieux informés et documentés que moi seront en mesure d'apporter des précisions supplémentaires, car si le Québec se devait d'un jour devenir souverain, dans un contexte ou un autre, il s'agit là de questions cruciales concernant l'avenir d'une nation.
    Woodrow Wilson a regretté la signature de la Federal Reserve Act plus tard. Il a dit que ce jour là, il avait vendu les intérêts de la nation à une poignée de particuliers.
    "Donnez-moi le contrôle sur la monnaie d'une nation, et je n'aurai pas à m'occuper de ceux qui font ses lois" (Meyer Anselm Rothschild, banquier).
    Citations sur le système bancaire : http://eu-es.facebook.com/topic.php?uid=18050361465&topic=5941
    J'espère que ce début de réponse aura su vous éclairer, tel que vous le demandiez.
    Bien à vous.
    Adam Richard