Conclusion de M. Claude Picher
1 mars 2011
Il faut faire attention de bien faire la différence: ne pas vouloir que l'école québécoise se fasse en anglais ne signifie pas de prôner l'unilinguisme.
Le mandat de l'école québécoise n'est pas d'apprendre l'anglais aux Québécois, mais plutôt de leur apprendre la seule et unique langue officielle du Québec: le français. L'école peut dispenser des cours de langue seconde, mais elle ne doit pas se faire uniquement en anglais comme le prône le gouvernement de John James Charest.
Si les individus veulent perfectionner leur langue seconde davantage que ce que permet les cours dispensés par l'école québécoise, alors c'est à eux-mêmes à faire les efforts et les démarches en ce sens. Notre école ne doit pas devenir une école anglaise.
S. Martel