Le triste refrain d'Alain Dubuc
Désuétude, servitude et «québécitude»
Alain Dubuc pourra bien continuer encore longtemps à vomir sur notre projet d’ouverture et de modernité. C’est son droit et il est payé pour ça.
Le triste refrain d'Alain Dubuc
Alain Dubuc pourra bien continuer encore longtemps à vomir sur notre projet d’ouverture et de modernité. C’est son droit et il est payé pour ça.
Dors en paix Pierre Falardeau, ton œuvre te survivra longtemps, des bouffons bien vivants se chargent de la perpétuer !
Où est Radio-Canada?
On attend bien sagement dans nos médias que la dictature élimine le Président Zelaya. On ne dénonce pas ce siège de l’ambassade brésilienne où l’on ne respecte pas les droits les plus élémentaires de cette résidence diplomatique et où l’on met en péril la vie de 62 personnes qui résistent à la dictature.