PLQ - le parti du Canada... anglais, du West-Island, des fédéralistes purzédurs

Anglophones are citizens, too



It's a sad commentary on the state of Quebec democracy that Liberal stalwart [John Parisella felt compelled this week to use the opinion page of Le Devoir->auteur1400] to defend his party's success at attracting the loyal support of the overwhelming majority of anglophone voters. Parisella, who served as chief of staff for Liberal premiers Robert Bourassa and Daniel Johnson, complained that there's a tendency on the...

Réplique à Michel David

Le Parti du Québec ?



Je me méfie toujours des titres affirmatifs, sans nuances, comme celui associé à la chronique de mon ami Michel David, qui décrit le PLQ comme le [«parti du Canada»->6311]. Il s'agit d'une affirmation somme toute simpliste qui ne rend pas justice au rôle historique du PLQ, et ce, particulièrement depuis la Révolution tranquille. Certes, Michel David reconnaît l'inestimable apport du PLQ au progrès du Québec au...

Le parti du Canada



Les anglophones ont parfaitement le droit de partager la vision canadienne du PLQ , mais constater qu'elle ne correspond pas à celle de la majorité des francophones ne constitue ni un signe de mépris ni un accroc à la démocratie.

Le parti des Anglais?



Historique! Sans précédent! Le nouveau Conseil des ministres de Jean Charest a suscité de nombreuses réactions fort positives et méritées. Régime minceur, 18 ministres et équilibre hommes-femmes: encore une fois le Québec est à l'avant-garde. Conforme à ses valeurs libérales, le Parti libéral du Québec (PLQ) innove, fait preuve d'audace, poursuit l'avancée sociale et reconnaît la juste place qui revient aux femm...

Le scénario de l'apocalypse

L'apocalypse serait donc celle de Jean Charest et du Parti libéral du Québec


Résultat de ce scénario d'apocalypse: Mario Dumont premier ministre, André Boisclair chef de l'opposition officielle, et le Parti libéral réduit au rang de tiers parti. Ce ne sera pas forcément fatal pour le PLQ, mais cela sauvera pour un temps la tête d'André Boisclair...

Le calcul de Jean Charest



Les états d'âme du Parti québécois remplissent les pages des journaux. Normal : les journalistes adorent couvrir ce parti qui est issu grosso modo du même milieu, celui des communications, de l'enseignement et des métiers de la parole - ce que les Anglais appellent la «chattering class». Et les péquistes, de leur côté, n'ont jamais vu un micro dans lequel ils n'ont pas eu envie de déverser leurs opinions et leurs an...

Parti libéral du Québec

Le parti des Anglais ?



Selon des chiffres de Léger Marketing obtenu par Radio-Canada, plus de 75 % des francophones ont boudé le Parti libéral (PLQ) aux élections provinciales du 26 mars dernier. « 24 % des votes francophones, c'est le plus faible taux d'appui, pour le Parti libéral, depuis la Confédération », dit Jean-Marc Léger, président de Léger Marketing. En 2003, le Parti ...

English Quebec angered by axing of MNAs - Rookie replacement



English-speaking Quebecers have long complained about being the doormat on which the provincial Liberal Party wipes its boots on the way to office. But their sense of disenfranchisement and underappreciation seems to have reached a new high in the wake of Premier Jean Charest's decision last week to trim anglophone representation from his 18-member Cabinet and dump two veteran Englishspeaking MNAs in favour of ...

L'anglo manquant



Si la composition du nouveau Conseil des ministres de Jean Charest a été généralement bien accueillie, ce ne fut pas le cas au sein de la communauté anglophone. Lorsque les libéraux sont au pouvoir, les Québécois de langue anglaise comptent généralement trois ou quatre représentants au sein du gouvernement. Cette fois-ci, il n'y en a qu'un : la jeune ministre de l'Immigration et des Communautés culturelles Yola...

Anglo love

It's the love that dare not speak its name


It's not that Jean Charest doesn't like anglophones. Hell, he loves us. So much so that he's even chosen to live in Westmount, whose more affluent residents might be the only people left in Quebec among whom he feels comfortable. In the National Assembly he's the member for Sherbrooke, but he's really the member from Above Sherbrooke. And he's the very opposite of Jacques Parizeau; he loves our money and ...

La fureur anglophone

Le PLQ les tient une fois de plus pour acquis, se désole la mairesse de Westmount. Allons donc, que va-t-elle encore imaginer?


Il faudra «faire en sorte que les Québécois francophones voient en nous le reflet de leurs aspirations», a déclaré le premier ministre Jean Charest à Bernard Derome jeudi soir. C'était la première fois que M. Charest reconnaissait aussi explicitement que son parti avait un problème avec les francophones. Jusqu'à présent, il avait toujours joué l'autruche, préférant y voir une affaire de «régions», sans se soucier du...

La communauté juive déçue



Pelchat, Martin - Pour la première fois en 37 ans, un gouvernement libéral du Québec ne compte aucun ministre provenant de la communauté juive. Et B'nai Brith, qui se présente comme le principal organisme de défense de ses droits, ne le digère pas. "C'est très loin d'être un Conseil des ministres représentatif de la population", déplorait hier Steven Slimovitch, avocat-conseil pour cette organisation. "C'est grav...

Les anglophones se sentent trahis

Jean Charest a nommé une seule des leurs au conseil des ministres


Québec -- La communauté anglophone est très mécontente du peu de place que le premier ministre Jean Charest a réservé aux élus anglophones au sein de son dernier conseil des ministres. Les anglophones, qui ont voté massivement pour les libéraux le 26 mars dernier, comme à leur habitude, ne sont représentés que par Yolande James, une jeune ministre sans grande expérience, alors qu'au dernier remaniement de février 2005,...

An insult to anglos and to Montreal

If this is the way Charest treats his friends, Mario Dumont is looking better all the time.


It would have been too much to expect, we suppose, that Yolande James could have refused the opportunity given to her yesterday. By accepting cabinet office, however, the 29-year-old James has allowed herself to become the instrument by which Jean Charest delivers a contemptuous slap to the anglophones and allophones who kept him in office in last month's election. The Liberals came a poor third among francopho...