Fête nationale 24 juin 2009

Agression sauvage contre des sympathisants du RRQ en Outaouais



Le Bureau politique du RRQ a été mis au courant il y a peu d'une agression sauvage contre sept de ses sympathisants en Outaouais. Le RRQ tient à dénoncer publiquement cette agression et à affirmer qu’il compte soutenir vigoureusement tous ses sympathisants victimes de la mentalité néocoloniale secrétée et entretenue par le système fédéral. Le 24 juin dernier, tôt le matin, Samuelle, Élyse, Alexandre, Roland, Pa...

L'opinion de Bernard Landry #20

De quoi fêter

Nous avons de bonnes raisons de célébrer dans la joie notre fête nationale.


Notre appartenance au Canada complique d'ailleurs énormément nos devoirs d'accueil et d'intégration des nouveaux arrivants. Plusieurs statistiques récentes sont angoissantes. La constitution canadienne imposée au Québec contre sa volonté signifie à l'immigrant qu'il arrive dans un pays "bilingue et multiculturel". Comme il parle souvent déjà l'anglais, il se met spontanément à vivre en anglais à Montréal.

Fête nationale et nation civique



Le problème demeure autant à Montréal qu’en Outaouais, deux modèles culturels aux moyens très inégaux s’affrontent quotidiennement. En ce sens, ça ne prend pas des statisticiens et des analystes pointus pour comprendre que le danger pour le français, c’est précisément l’anglais et la question demeure à savoir si on lui laisse encore plus de place ou si on priorise finalement la nôtre, censée être la langue nationale ? Qui vivra verra.

Le frêle discours de la soumission

Lettre à Suzanne Clément

Vous m’avez envoyé l’image d’un Québec qui s’enlise de plus en plus dans un chauvinisme dérisoire et dans l’inconscience.


Je ne voulais pas regarder le spectacle de la Fête nationale 2009 à la télévision parce que, contrairement à vous, Madame Clément, je ne pense pas que nous ayons beaucoup de raisons de fêter notre nation en voie d'assimilation. Le Québec vit des jours trè...

La déclaration de monsieur Harper à l'occasion de la Fête nationale du Québec

As usual: Opportunisme politique et hypocrisie à la canadienne!


En déclarant, de la façon dont il l'a fait lors de la fête nationale du Québec et de la Saint-Jean Baptiste, qu'il était disposé à remetre au Québec la propriété des terrains où se trouvent l'Assemblée nationale, monsieur Harper vient de confirmer officiellement ce que bien des Québécois ont compris depuis longtemps: À savoir que, contrairement aux autres provinces, le Québec a toujours été considéré par le Canada comm...

Une fête plus rock et plus engagée

Le spectacle du parc Maisonneuve s'est déroulé sans anicroche, linguistique ou autre


«Je suis souverainiste, a clamé Lepage dans une de ses premières interventions, et avant tout Québécois. Et si le Québec n'est pas encore un pays, c'est définitivement une nation. C'est sûr, même Stephen Harper l'a dit.» Sur un ton badin, il a mentionné croire que M. Harper était un «espion séparatiste qui a infiltré le gouvernement du Canada» et qu'il faisait beaucoup, par ses agissements, pour «la cause souverainiste».

Une célébration aux mille visages



Isabelle Paré - Cent quartiers, cent visages. On trouvait de tout hier, dans les quartiers de la métropole, pour marquer la Fête nationale du Québec. Mais le bleu royal des fleurdelisés a parfois été déserté au profit du bleu des piscines qui, d'un bout à l'autre de la ville, ont été prises d'assaut par les urbains en quête de fraîcheur. De Rose...

Des géants sous le soleil



«Il y a des machines qui veulent empêcher les crapauds de chanter la liberté. Malgré tout, les crapauds, comme le disait Félix Leclerc, vont chanter inlassablement la liberté parce que le Québec est une nation insoumise», a lancé avec emphase M. Khadir.

L'opinion de Bernard Landry #19

Le nom d'un saint...



Le temps est venu pour nous tous d'appeler le 24 juin par son vrai nom: la fête nationale. Que les catholiques célèbrent pieusement la fête de saint Jean-Baptiste selon le calendrier liturgique, les regarde, et cela mérite le plus grand respect. Cependant, la nation québécoise ne se définit plus maintenant par un périmètre religieux. Plusieurs des nôtres ont cessé d'être catholiques, plusieurs ne l'ont jamais été, et l'immigration aidant, la diversité religieuse est devenue la règle.

Montréal - On célébrera le Québec au parc Maisonneuve

«La Saint-Jean est essentiellement un party, mais elle se doit d'être politique»


Guy A. Lepage, un souverainiste avoué, entend-il faire du spectacle du 24 juin un événement plus politisé? «La Saint-Jean est essentiellement un party, mais elle se doit d'être politique, sans tomber dans la partisanerie, répond-il. Comme je suis animateur et que j'ai un certain sens de la synthèse, c'est certain que je vais essayer de passer quelques messages pour rappeler que notre identité est distincte et qu'il faut la préserver!»

Diaporama

L'histoire de la Fête nationale du Québec, de ses origines à nos jours



Voici une présentation qui fait l'histoire de la Fête nationale du Québec de ses origines à nos jours et que vous pourriez mettre sur Vigile. Je vous l'envoie en trois parties. Bonne fête nationale ! Jean-François Vallée

Du sang neuf pour la Fête nationale



Guy A. Lepage Photo: Ivanoh Demers, La Presse *** Émilie Côté - La Saint-Jean-Baptiste a beau fêter son 175e annivers...

Même un miroir réfléchit mieux...

Fête nationale ou fête indépendantiste?



Ça y est, le débat sur la signification de la Fête Nationale est relancé! Selon Guy A. Lepage, qui animera le spectacle du parc Maisonneuve, la St-Jean n'est pas seulement un gros show mis sur pied pour célébrer la culture québécoise, c'est une fête politique qui appuie clairement la cause indépendantiste. Est-ce à dire que les fédéralistes (ou les agnostiques de sempiternelle "question nationale") ne sont pas ...

Notre langue pour se tenir debout



Pourquoi dans une fête nationale les « autres », ici les anglos, ne viendraient-ils pas chanter en français ? À l’occasion de la Fête nationale, ne faut-il pas d’abord avoir une langue en partage, ici le français ? Le contraire serait un manque d’ouverture ? C’est cette logique que je conteste avec conviction car elle sous-tend une peur d’être soi-même, la peur de s’affirmer collectivement.

Cette langue que j’aime tant…



On te craint pour tes accents, On te craint pour tes accords, On te redoute pour tes féminins, On te déteste pour tes masculins, Moi je t’adore pour toutes ces singularités. Je t’ai apprise à l’école dès l’âge de cinq ans, On m’a punie pour que tu sois mienne dans la cour de l’école, On m’a frappée pour la maîtrise de ton orthographe, On m’a terrassée pour l’enrichissement de mon vocabulair...