La Presse grande castratrice de la révolution tranquille (2e partie)
La grande frousse de l'Autre Canada
Au début, le Canada anglais s’était réjouis de la fin de ce que, par dérision, on appelait la “priest-ridden society”. Mais commencèrent à s’inquiéter certains milieux huppés de Bay Street. « Et si c’était mieux avant avec les curés ? », chuchotait-on derrière des portes closes. Traduction libre : « Mais qu’est-ce que c’est que cette nationalisation des entreprises hydro-électriques se faisant sans notre accord ?...