En marche pour la cité...
Alors qu’en est-il de l’indépendance? Elle m’apparaît être la résultante de la souveraineté du peuple telle que présentée.
En marche pour la cité… Adieu! veau, vache, cochon, couvée… Elle a perdu pied, le pot s’est fracassé, le rêve s’est brisé… Inachevé, inabouti… Je pense que des “indépendantistes” de Vigile, ainsi se nomment-ils pour se distinguer, font l’impasse sur le fondamental, i.e. la souveraineté. La griserie de l’indépendance court-circuite l’établissement laborieux de l’essence. Les rugissements de l’impatience ...