Clans musulmans dominants à l’École Bedford: tous les autres enseignants maghrébins du Québec doivent être enquêtés
6 décembre 2024
Le portrait de l'entrisme islamique s'enlaidit de jour en jour au rythme des dénonciations de Québécois outrés devant de tels actes abominables perpétrés dans nos écoles, et partout dans la société.
La dernière en date: l’école secondaire Saint-Maxime, à Laval.
Voyez l'horreur de l'infiltration musulmane:
Des prières en classe. Des membres du personnel qui se parlent entre eux et s’adressent aux élèves en arabe.
L’établissement a aussi été le théâtre de fortes réticences d’élèves aussitôt qu’il est question de sexualité dans les cours ou les activités en milieu scolaire.
Le témoignage du dénonciateur initial, que La Presse a obtenu, fait état de nombreux enjeux liés à la laïcité dans cette école qui compte une forte présence maghrébine. Cet ancien employé de l’école y a travaillé pendant plusieurs années. Il ne travaille plus à Saint-Maxime.
« Ces évènements m’amènent à vouloir briser ce silence en dénonçant une série de faits et de gestes qui suscitent de l’inquiétude et du désarroi, pour ne pas dire de la colère, face à des comportements et de la promotion de croyances et de valeurs qui ne sont pas du tout en accord avec les principes de la laïcité, de nos valeurs et de nos règles de vie en société », écrit-il dans sa plainte.
Des prières dans les classes
Premier point : la prière à l’école. À Saint-Maxime, des élèves utilisent les salles de classe ou les corridors pour prier. « Certains enseignants maghrébins laissent des élèves faire la prière dans leur classe pendant la période de leur cours. Il n’y avait pas vraiment d’intervention. La direction, si elle intervenait, s’adressait directement au prof… mais ça recommençait de plus belle », indique la source A.
« Un enseignant s’est déjà fait rencontrer par la direction parce qu’il priait dans les pauses avec ses élèves. C’est une surveillante qui avait surpris une dizaine de jeunes qui priaient avec le prof, dans la classe », confirme notre second informateur.
Il y avait des ablutions qui se faisaient dans les toilettes, ils cherchaient des coins isolés dans les corridors pour faire leurs prières. Aussitôt qu’on les arrêtait, la gang nous sautait dessus. Monsieur, vous ne pouvez pas arrêter ça, c’est la prière, c’est Dieu.
Des retards motivés pour aller à la mosquée
Certains élèves qui se rendaient prier à la mosquée le vendredi voyaient d’ailleurs leurs retards motivés systématiquement par certains membres du personnel.
Des membres du personnel qui se parlent en arabe
« Des professeurs maghrébins se parlent en arabe dans la salle des enseignants, devant les autres professeurs non maghrébins », indique la source A.
Chaque année, la direction de l’école demandait, en assemblée générale, de parler français pour le respect de tous, mais cette demande est ignorée par ces enseignants.
La source A
La source B confirme que la direction est intervenue plus d’une fois pour établir que le français était la langue commune à l’école.
Mais il arrive également que du personnel d’origine maghrébine s’adresse aussi aux élèves en arabe, témoigne la source A. Elle dit avoir vu des enseignants s’adresser à leurs élèves en classe en arabe. « Une secrétaire de direction parlait aux parents en arabe, même lorsque nous étions là en intervention avec les parents et/ou l’élève », relate cette même source, qui indique que ces échanges, dont il ne pouvait saisir la teneur, compliquaient son travail.
Réfractaires à l’éducation sexuelle
En avril 2023, la troupe de théâtre Parminou s’est rendue à Saint-Maxime pour y présenter la pièce de théâtre Embrasse-moi si tu veux. La pièce, un projet financé par le ministère de la Santé et des services sociaux, aborde les thèmes de la prévention des ITSS et des grossesses, des relations amoureuses saines et du consentement.
La seconde représentation a été interrompue à plusieurs reprises par un groupe d’élèves maghrébins qui étaient heurtés par les thèmes abordés. « J’ai été témoin du brouhaha », dit la source A, qui indique qu’un « gros groupe » d’élèves maghrébins « lançait des pétards, criait, faisait sonner des alarmes. C’était la débandade totale. »
« Les élèves arabes criaient tout le long. Je ne sais pas ce qu’ils criaient ou comment ils criaient, mais c’est sûr que ça a été une représentation très problématique ».
Intolérance face à l’homosexualité
Par ailleurs, plusieurs élèves ont des problèmes avec les cours d’éducation sexuelle, notamment sur le thème de l’homosexualité, indique la source B. Elle raconte avoir déjà croisé un jeune qui avait quitté précipitamment sa classe, effaré de ce qu’il entendait. « Il est sorti de la classe, il disait qu’il devait aller se purifier parce qu’il avait entendu des choses qui n’avaient pas d’allure dans sa classe », raconte la source.
L’homosexualité faisait beaucoup réagir les élèves, poursuit la source B. « Un élève m’a déjà dit : je peux accepter de parler français. Mais vous ne me ferez jamais accepter l’homosexualité », dit la source. Des affiches de prévention de l’homophobie étaient régulièrement arrachées ou vandalisées, ajoute la source A. « Il y a beaucoup de propos homophobes de la part des élèves. »
(fin des citations)
Source: Des musulmans islamistes rejettent nos valeurs
Des élèves qui prient en plein cours: «C’est pas notre Québec ça!» - Bernard Drainville
Les valeurs de l’islam sont enseignées dans une école publique de Montréal
Comme on le voit, les musulmans islamistes rejettent nos valeurs et notre mode de vie. Ils cherchent à implanter avec entêtement leurs mauvaises valeurs condamnables, bien qu'on leur dise que c'est mal. Ils continuent à vouloir répandre ce mal. L'islam est incompatible avec le monde occidental. Il doit être combattu et éliminé. Faisons appliquer nos lois sans exception. Que ceux qui les refusent quittent. On n'en veut pas ici.
Qu'en pense le député immigré étranger marocian musulman de QS Haroune Bouzazzi?