Toujours plus de Canadiens à Montréal et de moins en moins de Québécois

Le Canada implante de futurs Canadiens au Québec

Ces nouveaux Canadiens qui ne se voudront jamais Québécois

Canada-sans-le-Québec


Illustration: bienvenue au Québec avec le drapeau du Canada!
La langue anglaise gagne du terrain à Montréal au rythme des atterrissages migratoires. Mais n'est-ce pas là l'objectif premier de l'immigration canadienne qui vise à établir toujours plus de Canadiens au Québec et de moins en moins de descendants des Canadiens-français en proportion?


C'est manifestement une stratégie d'élimination concertée de la nation canadienne-française à noyer dans le nombre grandissant d'étrangers qui viennent occuper notre territoire dans un flux constant et qui s'intègrent de facto à l'idéologie fédérale multiculturaliste plutôt qu'à la nôtre.


On peut affirmer sans l'ombre d'un doute que la grande majorité de ces arrivants deviendront Canadiens sans jamais devenir vraiment Québécois. Et le gouvernement canadien les implante par dizaine de milliers dans un afflux continu, ayant même entrepris d'étendre leur toile d'araignée tentaculaire en tentant d'en installer en région, à l'image de la flaque d'huile qui cherche à se répandre jusqu'à étouffer toute vie.


Photo: l'endoctrinement commence jeune
Si on laisse faire, il y aura bientôt les Mille-îles de Montréal réparties à travers le Québec tout entier, avec des enclaves multi-ethniques délimitées et grandissantes. Où que nous allions, l'image traditionnelle de la nation fondatrice historique se verra altérée pour le pire, amoindrie, voire éventuellement anéantie.


Maintenant que maintes études ont démontré l'inutilité pour ne pas dire la nuisance de l'immigration de haut volume de candidats incompatibles avec la nation hôte, il serait temps de fermer les vannes de cette hécatombe qui nous mènera tout droit à la tombe, voire à la fosse commune en tant que peuple.

Chaque nation distincte comme la nôtre est un atout pour la diversité mondiale et doit à ce titre être protégée de l'érosion diluante qui fragmente les identités locales. Quand donc un gouvernement provincial prendra-t-il les mesures nécessaires à la défense et à la préservation de ce que nous sommes fondamentalement et historiquement?

Réjean Labrie, de Québec, capitale nationale.

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Réjean Labrie est natif de Québec. Il a fait une partie de sa carrière dans la fonction publique provinciale.

Il tire la plus grande fierté d’être un enraciné de la 11ème génération en sol natal. Son élan nationaliste se porte sur la valorisation de la culture québécoise et sur la préservation de l'identité culturelle québécoise et de sa démographie historique.

Il se considère comme un simple citoyen libre-penseur sans ligne de parti à suivre ni carcan idéologique dont il se méfie comme des beaux parleurs de la bien-pensance officielle.

L'auteur se donne pour mission de pourfendre les tenants de la pensée unique, du politiquement correct, de la bien-pensance vertueuse, toutes ces petites cliques élitistes qui méprisent le bon peuple.

Près de 900 articles publiés en ligne ont été lus un million et demi de fois par tous ceux qui ont voulu partager une réflexion s'étendant sur une période dépassant 15 ans. À preuve que l'intérêt pour une identité nationale québécoise affirmée ne se dément pas, quoi qu'on en dise.





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1 commentaire

  • Archives de Vigile Répondre

    20 août 2011

    texte publié ailleurs mais plus pertinent ici:
    Une action que nous pouvons poser auprès des nouveaux arrivants, c’est de connaître notre Histoire et la leur faire connaître.
    Pour une fois que Cyberpresse nous fournit un outil, ne négligeons pas ce reportage, ce week end, sur les actuelles fouilles archéologiques au musée d’Histoire de Montréal : Montréal une brève capitale fédérale.
    http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/201108/20/01-4427526-montreal-une-breve-capitale-federale.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B42_acc-manchettes-dimanche_369233_accueil_POS1
    Pour tous ceux qui ne comprennent pas bien les différends entre anglais et français au Québec, voici une page d’histoire authentique que même les plus purs boomers n’avions pas apprise dans nos cours académiques.
    Voilà, relaté dans un style bien dégagé, le récit de cette hargne du conquérant, alimentée jadis par le journal The Gazette, qui poussa des fanatiques anglos à incendier notre « bibliothèque d’Alexandrie », ce Parlement fédéral abritant toutes archives, site du gouvernement qui s’apprêtait, dix ans plus tard, à dédommager les familles des victimes de la révolte de 1837.
    En deux pages bien aérées Karim Benessaieh résume ces liens incontournables : Harcèlement de la colonie française et conquête militaire par l’Empire britannique en 1759; exclusion et minorisation des conquis et révolte des Patriotes en 1837, brutalement écrasée; réponse de Lord Durham, assimilation par l’Acte d’Union en 1840; intolérance des anglo-montréalais dans cet incendie terroriste en 1849 qui se solda par le transfert du Palement canadien de Montréal , Québec, à Ottawa, Ontario.
    Ceci est l’histoire immédiate de la préparation de cette confédération canadienne signée en 1867, sans l’avis du Québec.
    En deux minutes, nous voilà équipés pour répondre au nouvel arrivant, dans une épluchette de blé d’Inde, qui nous demande ce que nous avons de travers contre le pluss meilleur pays du monde qui les accueille si généreusement.