À Montréal, pour entendre moins d'anglais, ça va prendre moins d'anglos
5 novembre 2021
Le pdg d'Air Canada, Michael Rousseau, de mère francophone mais assimilé totalement à l'anglais, continue de susciter une grogne bien méritée.
Il déclare avec fierté et arrogance: «J'ai été capable de vivre à Montréal sans parler français, ce qu'affirme celui qui vit pourtant à Montréal depuis 2007. De plus, Michael Rousseau n’a pas été en mesure de répondre à de simples questions en français de la part des journalistes.
«Ça envoie le message aux nouveaux arrivants que c'est possible de faire sa vie en anglais à Montréal. Ça envoie le message aux jeunes anglophones que c'est possible de faire sa vie en anglais seulement», s’est inquiété le député péquiste Pascal Bérubé selon qui le projet de loi 96 du gouvernement pour renforcer la loi 101 «ne fait pas peur à ces gens-là».
Comme on le voit, la francisation des anglos et de bon nombre d'allophones est chose impossible.
Le titre de l'article indique la marche à suivre, la seule vraiment efficace pour diminuer la présence de la langue anglaise au Québec:
À Montréal, pour entendre moins d'anglais, ça va prendre moins d'anglos.
Par la relocalisation ailleurs au Canada.