Les milliers de pseudo-demandeurs d'asile coûtent un demi-milliard par an aux Québécois
16 juin 2024
Le premier ministre du Québec François Legault a récemment affirmé sans ambages au micro de Paul Arcand que l’immigration massive déstabilisait la société québécoise.
François Legault n'a fait que rappeler le simple bon sens: l’immigration exerce une pression démesurée sur l’école, sur l’hôpital, sur les services sociaux, sur le marché du logement.
J'ai été l'un des premiers il y a 2 ans à dénoncer la pression sur les listes d'attente dans les hôpitaux et les soins retardés pour les nôtres, avant que l'opinion publique ne s'en rende compte.
À lire: Immigrés récents: voleurs de logements et de soins médicaux?
et: TOUT DÉBORDE: LOGEMENTS, HÔPITAUX, AIDE SOCIALE, ÉCOLES, Garderies, INSÉCURITÉ
Le premier ministre Legault avait aussi raison de dire que cette immigration incontrôlée n’était pas sans lien avec l’insécurité grandissante qui monte à Montréal, notamment quand il est question des «demandeurs d’asile». Tout le monde le sait, d’ailleurs.
Mais la plupart des médias biaisés cherchent toujours à en atténuer les conséquences néfastes pourtant si évidentes. Si Montréal se détériore si rapidement, c'est à cause de la présence grandissante du tiers-monde sous-civilisé qui l'ensauvage.
Les surplus actuels doivent être élagués sans délai, en les envoyant dans d'autres provinces ou, encore mieux, en les renvoyant chez eux.