Tant d'opportunisme en période de crise désole et fait frissonner. Voilà de la petitesse.
Le PQ, dans sa fuite identitaire qui veut rameuter les indépendantistes aigris pour faire oublier sa « conversation nationale », adopte cette thèse : une langue québécoise.
Notre société est effectivement en crise, mais il ne faut pas exagérer. Ce dont elle manque, ce ne sont pas des règles idiotes décrétées par des vieillards peureux réunis en conclave mais des engagements collectifs, des choix sociétaux qui privilégient le partage.
M. Charest a bien besoin de conseils et d'idées fraîches, autant pour lui, le mal-aimé, que pour son parti fossilisé