Vitalité économique: Montréal fait piètre figure

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Coderre ne fait pas sa job

Montréal fait piètre figure dans une nouvelle étude de l'Institut de la statistique du Québec sur la vitalité économique. Bien qu'elle soit la principale ville de la province, la métropole arrive en queue de peloton, avec Trois-Rivières, parmi les 10 grandes villes.
Le ministère des Affaires municipales a demandé à l'Institut de la statistique du Québec de produire un indice pour mesurer de façon régulière la vitalité économique des 1100 villes québécoises. Québec compte se servir de cet indice pour répartir son aide aux régions dévitalisées. Trois indicateurs ont été utilisés, soit le taux de travailleurs de 25 à 64 ans, le revenu médian et l'accroissement de la population.
«Bien qu'elle soit de loin la municipalité la plus populeuse au Québec, Montréal se classe à l'avant-dernier rang parmi les grandes villes, conclut l'ISQ. Il faut dire que la métropole présente un revenu médian des particuliers et un taux de travailleurs relativement faible par rapport aux autres grandes villes québécoises.»
C'est Lévis qui affiche la meilleure vitalité économique, selon les données de l'ISQ. Elle est suivie de près par Terrebonne.
Si Montréal traine de la patte, les villes qui l'entourent font bonne figure, terminant pour la majorité dans le premier quintile.
C'est en Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine et au Bas-Saint-Laurent où l'on trouve la plus forte concentration de municipalité affichant une faible vitalité économique. C'est Rivière-à-Claude qui arrive en queue de peloton.
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