Livrer les grandes lignes de Vigile en 140 caractères ou moins,
serait une façon simple et efficace de multiplier et rajeunir le lectorat
de Vigile.
Ce nouveau média d'information rapide, ne requiert que peu d'investissement
de l'éditeur.
"Marie-Claude Beaucage et Jérôme Lussier nous présentent leurs vidéos
d'introduction à Twitter.
Voici les trois étapes de Twitter pour les nuls."
Le lien sur Radio-Canada
http://www.radio-canada.ca/emissions/christiane_charette/2009-2010/chronique.asp?idChronique=111992
et le lien raccourci par bit.ly
http://bit.ly/d3vc08
Auteur : Merlebleu
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8 commentaires
Serge Charbonneau Répondre
15 juin 2010Mon cher anonyme O.
Vous ne semblez pas comprendre mes commentaires.
Je dis que Twitter favorise la surface et habitue au manque de profondeur.
Vous semblez le constater vous-mêmes, vous dites:
«des longues pages lyriques sur écran, seuls les avocats lisent ça maintenant».
La pensée en est le reflet. On manque de profondeur.
Pour l'insulte, cher O, vous avez la sensibilité à fleur de peau. Je vous ai dit mon opinion concernant l'anonymat, c'est tout.
Je n'ai pas voulu vous insulter cher ami, mais je persiste à dire qu'il faut au moins avoir le courage de son opinion.
Il n'est pas question d'en faire tout un drame, ni de l'anonymat, ni de twitter, comme vous dites: "Ce n'est pas la bombe atomique" et effectivement je parle aussi des communications "modernes".
Comme je disais, nous verrons avec l'usage.
Serge Charbonneau
Québec
Archives de Vigile Répondre
15 juin 2010M. Charbonneau,
Soyons calme. On ne parle pas ici de l’usage de la bombe atomique. On parle de communications modernes. On propose à Vigile un moyen d’information que favorisent les jeunes de corps ou d’esprit. Merlebleu vous l’apprend, Gébé vous en confirme l’utilité : comme un fil de presse instantané. La manchette connue, vous pouvez aller lire le texte… pas de quoi paniquer : vous l’adoptez ou l’ignorez, selon votre évolution dans la technologie. Vous choisissez de répéter encore : « Je crois qu’on juge rapidement et radicalement et je crois que les outils tels Twitter favorisent la surface et le jugement rapide. » Sans retenir qu’on parle seulement de TITRES. Sans accepter non plus que des longues pages lyriques sur écran, seuls les avocats lisent ça maintenant, ça justifie la facture.
Pas nécessaire d’insulter les utilisateurs de pseudonymes qui vous ont contacté poliment. Quel « courage » y a-t-il à signer Jean De La Durantaye, illustre inconnu, au lieu de Ouhgo, abrégé en O, participant s’étant déjà exprimé dans 80 articles sur Tribune libre ? Si vous vous croyez lésé, contactez l’éditeur M. Frappier, qui connaît mes coordonnées et peut me sanctionner. En attendant, cette identification est jugée respectable sur Vigile.net. Un nom est un nom, une convention. Mais oubliez Twitter, por favor…
Serge Charbonneau Répondre
14 juin 2010Il semble que j'ai tort de considérer Twitter comme un outil d'aiguillage.
Je constate cependant que les courts messages font en général de courtes analyses et de rapides conclusions.
Je crois qu'on juge rapidement et radicalement et je crois que les outils tels Twitter favorisent la surface et le jugement rapide.
J'ai peut-être tort.
L'anonyme O parle de promotion de l'Indépendance par Twitter... Je doute de l'efficacité. Je crois que Twitter peut être utilisé plus efficacement par les adversaires de l'Indépendance parce qu'il est plus facile de véhiculer du clicher en quelques mots que de faire comprendre le bien-fondé de la souveraineté.
Twitter crée des courants et est un outil d'entraînement de masse indéniable. Si on cherche à faire suivre un troupeau, c'est le bon outil, mais si on cherche à faire réfléchir les gens... je ne suis pas sûr.
Nous jugerons à l'utilisation.
Twitter, un outil de conscientisation ??
Un outil de politisation ??
Moi, j'ai des doutes.
Serge Charbonneau
Québec
P.S.: Lorsque vous m'adressez un message, vous savez à qui vous parlez, j'aimerais bien en dire autant. Ce serait bien que vous signiez vos commentaires. Nous avons droits à nos opinions, nous avons la liberté de parole et de pensée, je crois qu'il faut l'utiliser. Nous utiliserons les pseudonymes et l'anonymat lorsque nous aurons un régime totalitaire et que l'expression de nos idées nous mettra en danger. Pour l'instant, je crois que le moindre des courages c'est celui de signer ses textes. La liberté d'expression peut se perdre si elle n'est pas utilisée.
Archives de Vigile Répondre
14 juin 2010Le commentaire de Merlebleu s'adressait à M.Charbonneau
Archives de Vigile Répondre
14 juin 2010I est vrai que Twitter n'est pas pour tous. Votre façon de juger les utilisateurs de ce média est plutôt réductrice. Vous écrivez un article, vous incluez le lien où trouver l'article, vous le "tweeter" et oh! surprise, le voilà disponible instantanément pour être lu par des milliers d'usagers. Vue sous cet angle, l'information devient accessible à un plus grand nombre de lecteurs pour analyse et réponse privée à l'auteur ou réponse grand public.
Les longues et souvent oiseuses dissertations de certains auteurs sont facilement écartées pas le lecteur qui préfère une information concise lui permettanrt d'appronfondir à son gré les recherches et analyses sur le sujet.
Sans compter le loisir de "poster" n'importe quel lien qui semble pertinent aux propos avancés. Imaginez un peu : accès à tous les médias écrits, audios, vidéos, blogues et autres sites qui vous intéressent, que ce soit Vigile, Bloc Québécois, Parti Québécois, Cyberpresse, Le Devoir, Le Monde, Le Figaro, etc. Imaginez : en un clic, d'un coup d'œil vous avez les grandes lignes de tous ces sites. De là, si vous n'êtes pas "twit", vous allez lire, approfondir, enrichir votre information tout en ayant le loisir de répondre, d'analyser de faire voir votre point de vue.
Twitter n'est pas un réseau social "d'amis", c'est un réseau d'information et de recherche pour qui est ouvert aux outils de communication de pointe.
Comme le dit si bien O : "Attention à notre premier réflexe, qui peut facilement être jugé d’une autre époque !"
Archives de Vigile Répondre
14 juin 2010"Il est difficile de contrecarrer la propagande médiatique de masse en utilisant Twitter. Dans un journal, le titre fait la moitié (sinon plus) de l’impact de la nouvelle."(Serge Charbonneau)
En effet, c'est toute une contradiction. Vous n'avez pas compris le principe de Twitter, M. Charbonneau. Il est pourtant simple.
Twitter, bien utilisé, peut être un formidable outil de diffusion et de réseautage. Il faut capter l'attention et l'intérêt qui ammène l'autre à vouloir en savoir plus (vers Vigile).
Archives de Vigile Répondre
14 juin 2010Monsieur Charbonneau,
Analysons votre raisonnement : « Il est difficile de contrecarrer la propagande médiatique de masse en utilisant Twitter. Dans un journal, le titre fait la moitié (sinon plus) de l’impact de la nouvelle. »
N’y a-t-il pas là contradiction ? Si la propagande de masse se trouve en majorité dans le titre… On peut la confronter en utilisant 140 caractères !
Notre premier réflexe peut bien être que « c’est dommage » que les gens ne prennent plus le temps de lire… que… « On se préoccupe fort peu de connaître le fond des histoires et des dossiers. On nous habitue plutôt à juger rapidement et "radicalement". »
Mais ensuite, que faire ??????? De la prédication en faveur de la lecture studieuse d’antan ??????? Ou bien s’a d a p t e r ?…
Voulons-nous dire L’INDÉPENDANCE EN MARCHE à 2,000 lecteurs convertis ou en informer d’un clin d’œil 2 millions de personnes qui se font dire L’INDÉPENDANCE EST DÉPASSÉE par la Gescacratie ?
Les adeptes de Twitter sont vites : une idée semée, ils peuvent la faire germer, en se référant aux volumes de base. Et ils communiquent instantanément, lisent dans la paume de la main, et répondent aussi vite.
Attention à notre premier réflexe, qui peut facilement être jugé d’une autre époque !
Serge Charbonneau Répondre
14 juin 2010Il est dommage de constater que de plus en plus de gens ne peuvent lire plus de 140 caractères.
La profondeur se perd et le jugement "importé" prend de l'ampleur.
Twitter favorise la surface et est un outil efficace pour diriger le peuple mouton.
Il est difficile de contrecarrer la propagande médiatique de masse en utilisant Twitter. Dans un journal, le titre fait la moitié (sinon plus) de l'impact de la nouvelle.
On se préoccupe fort peu de connaître le fond des histoires et des dossiers. On nous habitue plutôt à juger rapidement et "radicalement".
Twitter, un outil terrible pour aiguiller.
Serge Charbonneau
Québec