On a beau savoir que campagne électorale oblige, on n'en reste pas moins étonné de la réaction des médias et des partis politiques à l'annonce de la candidature de Pierre-Karl Péladeau pour le PQ aux prochaines élections générales.
Bien sûr, il y avait ces démentis, mais tout bon journaliste affecté à la couverture ou à l'analyse de l'actualité politique devrait connaître le besoin pour les politiciens de demeurer les maîtres de leur agenda et de ne pas se laisser imposer celui des adversaires, et à plus forte raison lorsqu'ils ont à négocier des passages difficiles comme l'était assurément celui de PKP.
Si sur Vigile nous sommes parvenus à déceler dès avril 2013 le sens profond et la portée de son engagement lorsqu'il a renoncé à la direction de Québecor, son entreprise familiale devenue un géant des communications, pour offrir modestement ses services au gouvernement du Parti Québécois, d'autres étaient à même d'en faire autant.
Pour mémoire, voici comment Vigile avait rapporté les événements dans un article intitulé « Un tournant majeur pour le gouvernement Marois et le Québec » :La nouvelle est tombée comme un coup de tonnerre ce matin. Pierre-Karl Péladeau, grand patron de Québecor jusqu’à ces dernières semaines, et toujours actionnaire de contrôle de celle-ci, est nommé par le gouvernement Marois à la présidence du conseil d’administration d’Hydro-Québec.
Pour comprendre ce qui se cache derrière cette nomination, il suffit de lire le compte-rendu qu’en font chacun de leur côté QMI et La Presse.
Dans l’article de QMI, vous trouverez les mots « servir l’État québécois » (et gratuitement par surcroît), alors que La Presse ne fait allusion qu’au désir de PKP de « servir ». Rien ne saurait mieux illustrer la différence de perspective des deux médias et de leurs deux propriétaires.
Pour l'un, l'État québécois est une réalité qui existe, pour l'autre l'État québécois est une réalité dont il ne faut surtout pas reconnaître l'existence.
Qui plus est, il n’y aura que des aveugles et des gens de très mauvaise foi pour ne pas voir que c’est au PQ que PKP offre de servir le Québec, et non au PLQ ou à la CAQ. Est-il pour autant un partisan inconditionnel ? Certainement pas. Dans sa situation, on n’a pas besoin de l’être. Une sensibilité commune suffit.
Et cette sensibilité qu’a Pierre-Karl Péladeau, c’est à l’intérêt collectif des Québécois qu’il l’a. Autrement dit, il a le coeur accroché à la bonne place, ce qui va trancher singulièrement sur ces prédateurs du genre Desmarais ou Sirois qui s’étaient positionnés derrière le PLQ et la CAQ pour faire main basse sur le Québec.
Son arrivée constitue donc un tournant majeur, autant pour le gouvernement Marois qui va pouvoir compter sur un allié de taille pour mettre en place une nouvelle stratégie de développement du potentiel hydro-électrique du Québec à fortes retombées industrielles et économiques avec des projets rapidement structurants comme l’établissement de liaisons interurbaines de transport par monorail sur le territoire québécois, que pour le Québec et les Québécois qui vont en être les bénéficiaires autant comme usagers que comme travailleurs et contribuables.
Avouez que c’est une perspective autrement plus stimulante que le démantèlement à la pièce et en douce d’Hydro-Québec au bénéfice d’intérêts particuliers, comme cherchent à le faire les intérêts qui manipulent le PLQ et la CAQ.
Et puis, avez-vous pensé un seul instant à ce qu’il advient des critiques adressées au PQ pour ses nominations partisanes après celle de PKP ? Vous souvenez-vous d’une seule nomination de Jean Charest et de son PLQ de merde pendant son règne qui ait été aussi prestigieuse et désintéressée ?
Les lecteurs qui voudront bien se donner la peine de retourner à cet article auront la surprise de retrouver dans les commentaires les mêmes réactions que celles dont nous sommes témoins depuis dimanche, ce qui m'amène à suggérer, non sans un brin de malice taquine, que Vigile est en avance d'un an sur le reste du Québec !
L'intensité de ces réactions m'avaient d'ailleurs amené à intervenir dans le débat en commentant les commentaires de la façon suivante :
Le plus sérieux du monde
18 avril 2013, par @ Richard Le HirVous êtes plusieurs à me faire part de votre incrédulité, de votre scepticisme, voire même de votre grande déception devant ma réaction très favorable à la nomination de PKP à la présidence du conseil d’administration d’Hydro-Québec.
Je commencerai donc par vous inviter à relire attentivement mon texte dont je comprends qu’il puisse être en dissonance totale avec certaines de vos perceptions les plus ancrées.
Sachez d’abord que ma réaction n’est pas fondée sur des impressions mais sur la certitude de ce que j’avance. Pour l’avoir côtoyer et lui avoir parlé à quelques reprises au fil des années, je sais qu’il est effectivement un homme de coeur et qu’il est très profondément et très sincèrement attaché au Québec.
Plusieurs d’entre vous semblent ignorer qu’il était présent aux funérailles de Pierre Falardeau. Ce n’est pas le genre de geste qu’on pose pour la galerie. Et discrètement, par le fonds qu’il a établi à cette fin, il contribue à des causes dont le caractère authentiquement québécois ne fait aucun doute.
Vous êtes également plusieurs à penser que c’est un anti-syndicaliste primaire et un tenant des thèses néolibérales les plus répressives. Là encore, vous êtes dans l’erreur.
D’une part PKP a reçu une éducation humaniste et a fait, comme son père, des études supérieures en philosophie et en droit, ce qui le met à l’abri des dérives simplistes du genre de celles de Charles Sirois et de François Legault comme je les ai décrites dans la conclusion de mon dernier livre qui leur est justement consacré , et d’autre part, vous vous faites une fausse idée de la façon dont on dirige un empire comme celui qu’est devenu Québécor.
Au décès de son père, PKP a dû reprendre en main un navire en pleine tempête. On oublie trop souvent qu’en l’espace de dix-huit mois, l’industrie des médias s’est trouvée profondément bouleversée par l’avènement des nouvelles technologies. Et Québecor, qui avait lourdement investi dans le papier et les imprimeries, a vu la valeur de ses actifs fondre à vue d’oeil.
Il lui fallait rapidement se retourner et se repositionner en misant non seulement sur les nouvelles technologies mais sur l’exploitation du potentiel de convergences qu’elles se trouvaient à permettre. Sous l’impulsion de PKP, Québecor a brillamment réussi ce virage.
Mais l’entreprise se retrouvait lourdement endettée, et sa rentabilité immédiate devenait une question de vie ou de mort. Si le chef d’une grande entreprise comme la sienne doit agir de façon correcte et responsable avec ses employés, ceux-ci ne sont pas les seuls envers qui il a des obligations.
Il doit se soucier également de ses actionnaires, de ses créanciers, de ses clients et de ses fournisseurs, pour s’en tenir aux groupes les plus importants.
Parmi les actionnaires, il y a des petits porteurs qui détiennent quelques centaines d’actions, mais aussi de plus gros qu’on appelle les investisseurs institutionnels,compagnies d’assurance,fonds de retraite ou même gros fonds comme la Caisse de dépôt et de placement du Québec qui intervient à la fois comme gestionnaire de fonds de retraite et comme banque d’investissement.
La Caisse, c’est vous et moi. On comprend donc que les conséquences pour une entreprise comme Québecor de ne pas dégager les profits nécessaires à lui permettre de rencontrer ses obligations envers tant ses employés que ses actionnaires, ses créanciers, ses clients et ses fournisseurs risque d’avoir des répercussions systémiques majeures.
En dirigeant responsable, PKP a dû prendre des décisions qui n’ont pas été au goût de tous, mais il était dans une situation qui ne lui laissait pas le choix de faire autrement.
Cela dit, en cours de route et dans le feu de l’action, il a pu commettre des erreurs, mais le navire s’est rendu à bon port, comme le démontre son retrait partiel de l’entreprise.
Et lorsqu’il se retire de la sorte, c’est pour aussitôt se mettre au service de l’État québécois dans un geste sans beaucoup de précédents.
Chapeau !
S’il peut faire profiter la société québécoise dans son ensemble de son amour sincère pour le Québec, de ses talents, de son expérience, et de son sens de la responsabilité et du leadership, nous en serons tous plus riches, et pas seulement sur le plan financier.
Ce texte répond si bien aux questions que l'on se pose aujourd'hui dans certaines officines médiatiques ou politiques, qu'il faut se demander comment il se fait qu'elles n'aient pas été soulevées dès ce moment-là. Toutes les réponses possibles logent à l'enseigne de la paresse ou à celle de la tartufferie.
PKP candidat du PQ
Vigile savait dès avril 2013
Au service de l'État québécois
L'affrontement de deux visions de l'avenir du Québec
Richard Le Hir673 articles
Avocat et conseiller en gestion, ministre délégué à la Restructuration dans le cabinet Parizeau (1994-95)
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12 commentaires
Archives de Vigile Répondre
7 avril 2014M.Richard le Hir,
Même si les libéraux entrent au pouvoir,ce soir, malgré ma colère et ma déception, mille mercis pour ce que vous faites pour mon Pays,le Québec..À vous,tout l'amour et le bonheur du monde!
Je veux vous dire ceci: ¨Il ne faut qu'un homme comme vous,M.Le Hir pour changer mon Pays,à moi,depuis toujours! C'est en pleurant ,à quatre vingts ans. que je vous écris ces mots.Je suis tellement déçu!
Vous êtes notre Mahatma Ghandi,notre Churchill; Ces hommes,heureusement que le monde les a eus ,ils ont rendu le monde plus libres.Ne lâchez surtout pas. Un jour,vous allez rendre mon Québec,mon Pays,plus libre.
Au Paradis,je veillerai surtout sur vous. Je vous serre profondément sur mon coeur et vous avez toute mon énergie et ma reconnaissance. Vous êtes tout pour moi: un ami,un frère,un père.Vous serez éternellement dans mon coeur pour tout ce que vous faites pour mon Pays,le Québec. Romuald Simard
Archives de Vigile Répondre
11 mars 2014Merci Monsieur Le Hir avec M. Pierre Karl Péladeau une nouvelle page de notre histoire vient de s'ouvrir
Merci R.G
Archives de Vigile Répondre
11 mars 2014Monsieur Péladeau et son statut d’initié selon la loi québécoise des valeurs mobilières.
La loi des valeurs mobilières du Québec administrée par l’Autorité des marchés financiers du Québec comprend au chapitre IV les modalités des déclarations d’initiés de propriétaires de plus de 10% d’une valeur mobilière. Ci-bas les articles pertinents, dont le chapitre 92 qui décrit bien l’aliénation d’une valeur mobilière.
Or ces obligations s’appliquent au portefeuille de titres détenus par monsieur Péladeau et tous ceux qui voudraient qu’il y contrevienne le font par ignorance ou par calcul politique. Imaginons pour un instant les répercussions électorales si l’Autorité des marchés financiers devait faire une remontrance à l’ancien président de Québecor.
Heureusement ses conseillers juridiques l’en ont protégé jusqu’ici.
De par son passé d’actionnaire fondateur de Air Transit dont il a par la suite démissionné, monsieur Legault connaît bien ces obligations imposées aux investisseurs qui ont, comme lui l’avait, le statut d’initiés. Insister pour que monsieur Péladeau vende immédiatement son entreprise est une insulte à l’intelligence.
La déclaration initiale de conserver ses titres placés dans une fiducie sans droit de regard respecte l’esprit de la loi de plus faite après la fermeture des bourses.
En déclarant, le lendemain, après la fermeture des bourses, qu’il acceptait de respecter la décision du commissaire à l’éthique à l’intérieur de six mois après son élection, s’il est élu, injecterait une dose de spéculation sur les titres de Québecor. Quelle sera la décision du commissaire à l’éthique se demandera le marché? On peut déjà prévoir la montée aux barricades de la Commission des valeurs mobilières de Toronto qui veut la disparition de sa petite soeur québécoise. De toute évidence il ne faut pas vendre et faire confiance au commissaire à l'éthique et à la déontologie qui fut choisi à l'unanimité par l'Assemblée Nationale.
Est-ce bien dans l’intérêt collectif du Québec de rendre ainsi vulnérable un de ses plus beaux fleurons?
Suggérons que pour ces raisons l’AMF et la CED placent ce sujet sub-judice et donc interdit de discussion pendant la campagne électorale
Jean-Yves Papineau
Loi des valeurs mobilières du Québec CHAPITRE IV
DÉCLARATIONS DES INITIÉS (partie)
89. Est un initié:
3° la personne qui exerce une emprise sur plus de 10% des droits de vote rattachés à l'ensemble des titres avec droit de vote de l'émetteur qui sont en circulation, à l'exclusion des titres pris ferme pendant la durée du placement;
92. Toute personne qui acquiert ou aliène un instrument financier lié sur les titres de l'émetteur assujetti à l'égard duquel elle est initiée est réputée modifier son emprise sur la valeur en cause. Il en est de même en cas d'acquisition ou d'aliénation d'un dérivé au sens de la Loi sur les instruments dérivés (chapitre I-14.01) dont le sous-jacent est un titre d'un émetteur assujetti à l'égard duquel la personne est initiée.
Archives de Vigile Répondre
11 mars 2014Permettez moi de rectifier
En ce qui concerne la nomination de Couillard il s'agit plutot du CSARS que du scrs
Le CSARS as pour mandat de surveiller les activités du SCRS
Michel Juneau-Katsuya considère aussi que les nominations au CSARS d'Arthur Porter, représentant de la Sierra Leone et proche d'Ari Ben Menashe, marchand d'armes ayant des accointances avec les services secrets israéliens, et de Philippe Couillard, qui travaillait alors pour le gouvernement de l'Arabie saoudite, sont des «dérogations à la sécurité nationale, des gaffes monumentales
On a perdu l'esprit originel du CSARS, on a perdu sa neutralité. Le chien de garde est devenu un chien de poche. On traite la sécurité nationale comme une business pour les amis......et j'ajouterais Porter qui as certainement suggérer le nom de son ami personnel P Couillard
C'est un hazard presqu'impossible que ce ne soit pas le cas selon Michel Juneau-Katsuya qui est un expert dans le domaine des services secrets
Un ex-haut responsable des services secrets français a aussi fait part à La Presse de sa stupéfaction de voir des personnes liées à des États étrangers, en particulier l'Arabie saoudite - montrée du doigt pour son financement de la mouvance islamiste radicale -, obtenir un tel poste permettant l'accès aux plus grands secrets du Canada. «Vous plaisantez?», s'est-il exclamé.
Malheurement ce type aspire a diriger le Québec ..quel honte
Publié le 15 mars 2013 à 06h28
Philippe Couillard au CSARS: «Il n'y a absolument aucun hasard»
http://www.lapresse.ca/actualites/politique/politique-quebecoise/201303/15/01-4631215-philippe-couillard-au-csars-il-ny-a-absolument-aucun-hasard.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_vous_suggere_4632931_article_POS2
Archives de Vigile Répondre
11 mars 2014@Marcel Bernier
Vous dresser un portrait très juste de la stratégie de P. Couillard
Péladeau, un de ses adversaires politiques les plus importants, de le châtrer, de l’émasculer en quelque sorte, quant à l’expression de sa vision politique, en lui demandant de vendre ses actions dans Québecor et en l’obligeant à taire toute influence qu’il aurait, est complètement farfelue et signe son impuissance à faire accepter ses propres idées
Mais PKP en as déja vu d'autre de ce genre de Schtroumpfs et il sais a qui il as affaire
Il as affaire a un des pire fossoyeur de notre identité comme québécois ,a quelqu'un qui s'est proposé de signer a genou la constitution de Trudeau dans le désohonneur le plus complet et l'indignité la plus totale
@cjpolitic
Exactement
Un Couillard :
Acoquiné en affaire avec Porter ,un bandit qui as pris le large avec des millions appartenant au CUSUM
Acoquiné avec les services secret du SCRS alors qu'il fréquentait assidument Porter qui était siégait lui aussi au SCRS
Acoquiné comme conseiller médical du royaume d'Arabie Saoudite reconnu pour être un des régimes les plus brutals de la planete
Acoquiné avec le PLQ , un parti politique fédéraliste ultra corrompu au service d'un régime néo colonial qui ne reconnait pas l'existence de la nation québécoise
Couillard as un faible pour servir les régimes despotiques,corrompus et répressif ainsi que servir les services secrets
Ce n'est pas de ça que les québécois veulent pour les représenter
Cette réputation vas le suivre partout sur la planète et il vas nous faire terriblement honte comme québécois si par malheur ce fossoyeur canadian de nos aspirations nationales était élu premier ministre du Québec
Ce que disait Raymond Bachand a propos de Couillard au congres ou il s'est fait élire:
Le samedi 26 janvier, 45 minutes après le début du débat en anglais, à l’Université Concordia, Raymond Bachand dégaine. Philippe Couillard vient d’affirmer que la commission Charbonneau aurait dû être mise sur pied plus rapidement. L’ancien ministre des Finances lance: «Pendant que Pierre et moi combattions la corruption, tu faisais des affaires avec Arthur Porter!»
Dans l’auditorium, des murmures et quelques huées se font entendre. Les conseillers de Couillard s’envoient des textos
Les hués des libéraux envers Raymond Bachand qui venaient de dire la vérité a Couillard en disent long sur les intentions de cette maffia rouge
Marcel Bernier Répondre
11 mars 2014Compte tenu que Radio-Canada-CBC et La Presse-Gesca sont nettement du côté des fédéralistes, notamment et principalement libéraux, et ce, depuis de nombreuses années, il est pertinent que le Journal de Montréal, le Journal de Québec et TVA, en autres, se dotent maintenant d’une ligne éditoriale qui reflète une vision souverainiste et indépendantiste, dans le droit fil de la pensée de son fondateur et de celle de son actuel actionnaire majoritaire. Cette pratique est juste et bonne, dans une démocratie digne de ce nom, afin de refléter la réalité politique d’ici.
L’idée de Couillard de vouloir bâillonner monsieur Péladeau, un de ses adversaires politiques les plus importants, de le châtrer, de l’émasculer en quelque sorte, quant à l’expression de sa vision politique, en lui demandant de vendre ses actions dans Québecor et en l’obligeant à taire toute influence qu’il aurait, est complètement farfelue et signe son impuissance à faire accepter ses propres idées – malgré les sondages-bidon, les émissions de politique biaisées et les éditoriaux de ses petits amis – du fait bien simple qu’elles ne rencontrent pas les aspirations profondes de la majorité de la population.
Archives de Vigile Répondre
11 mars 2014Bravo M. Le Hir. PKP avait semble-t-il eu des problemes avec les banques canadiennes qui s'étaient liguées contre lui dans ses efforts d'obtenir des prêts. Il s'était senti trahi. Le ROC va maintenant redoubler d'efforts pour boycotter les produits québécois et ainsi saper l'économie du Québec.
Serge Jean Répondre
11 mars 2014Merci à vous monsieur Richard Le Hir, encore une fois de me libérer personnellement des glaces de l'ignorance sur beaucoup d'aspects; vous faites un travail remarquable de vulgarisation instructive et libérateur. Merci
Je ne séduis pas, et je ne me laisse pas séduire non plus, je remets avec mon jugement, ce qui revient aux libérateurs de la vérité dont notre peuple a si tant besoin.
Serge Jean
Carole Jean Répondre
11 mars 2014M. Couillard devrait retourner à la médecine.
Un grand bravo à M. Pierre-Karl Péladeau pour son patriotisme et son engagement.
Alors que M. Péladeau arrive avec son expérience et sa probité, je pense que M. Couillard quant à lui, devrait retourner à la médecine.
Il est vraiment scandaleux que sitôt dans la campange, M. Couillard ressorte les mêmes vieilles rengaines :
1-« On n’est pas capable! »;
2-« On est né pour un petit pain! »;
3-Le milliardaire PKP « veut détruire le Canada » alors que M. Péladeau a des investissements partout à travers le monde !
4-Il faut « signer la Constitution de 1982 », laquelle fut imposée de force au Québec! ;…etc.
M. Couillard a travaillé pour le gouvernement exécrable de l’Arabie saoudite, qui écrase les droits des femmes, et qui utilise les hôpitaux pour blesser les personnes qui ont enfreint la Charia, ce qui est contraire au serment d’Hippocrate que tous les médecins doivent prêter.
Il s’est associé avec son grand ami Arthur Porter et siégé avec lui sur le conseil des services secrets canadiens. Remarquez que M. Porter est recherché pour détournement de fonds dans le projet de l’hôpital universitaire de l’U. McGill.
Est-ce que M. Couillard représente autre chose que le système de corruption que son parti a mis en place au cours des 10 années quand le PLQ était au pouvoir ?
M. Couillard est un médecin qui ne connaît rien à l’économie et qui se mêle d’en montrer à M. Pierre-Karl Péladeau. Sa promesse à la Bourassa de 250k nouvelles jobs, c’est du vent.
Il faudrait que M. Couillard arrête d’en mettre; la cour est pleine !
Archives de Vigile Répondre
11 mars 2014Ma question est...est ce que Mme Marois et le PQ sauront gérer toutes ces divas gui formeront un conseil des ministers. Du travail sur la planche pour cette dame.
Hommes d` Affaires et journalistes tous habitués a être au centre de la photo, ils aiment la caméra.
Marcel Haché Répondre
11 mars 2014Je n’ai jamais douté de vous, Richard Le Hir, ni en 1995 ni lorsque vous êtes venu sur Vigile. Je suis fier de la venue officielle de P.K. Péladeau à notre Cause.
Je crois avec vous que quelque chose de Grand se prépare. La recette est complexe et demande beaucoup de doigté. Elle exige aussi, impérativement, une bonne dose de détermination, ce qui est ici la volonté farouche de réussir.
La volonté farouche de réussir vient avec le cœur, avec la fidélité dont nous entretient si magnifiquement Andrée Ferretti,fidèle exemplaire.
Je ne doute pas. Je ne doute plus de Nous. Nous n’avons jamais été des losers. Nous Nous préparions…
Archives de Vigile Répondre
11 mars 2014Bonjour monsieur Le Hir
Vous étiez encore une fois dans le mille et comme vous le dites en avance de quelque longueur
Vous écrivez :
Sachez d’abord que ma réaction n’est pas fondée sur des impressions mais sur la certitude de ce que j’avance. Pour l’avoir côtoyer et lui avoir parlé à quelques reprises au fil des années, je sais qu’il est effectivement un homme de coeur et qu’il est très profondément et très sincèrement attaché au Québec.
Ce qui tranche radicalement avec le parti libéral de Couillard qui est un formation politique vouée et attachée exclusivement a la défence des seuls intérets financiers et politiques des Desmarais et de ceux du roc
Des intérets qui ne visent qu'as éradiquer notre droit a exister comme peuple et de vivre dans un pays qui nous ressemble et nous appartient