Propulser notre économie pour réussir

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L'État québécois, principal levier de notre développement économique

Comme chef du Parti Québécois, j’entends démontrer comment l’État du Québec
doit mieux appuyer l’économie, les entrepreneurs et les régions afin de
créer des emplois et propulser notre économie nationale. J’ai l’intention de promouvoir
un Québec qui sera plus riche et dont l’État aura les moyens d’assurer l’égalité des chances. Et je tiens à convaincre que l’État du Québec sera plus juste et efficace avec les nouveaux moyens qu’offrira l’indépendance nationale. Nous ne saurions convaincre nos concitoyens d’entériner ce choix déterminant pour notre nation autrement qu’en leur démontrant que le Québec sera plus riche, plus prospère et plus à l’avant-garde. C’est la mission que je me propose de réaliser pour le bénéfice du plus grand nombre de nos compatriotes.

Il est grand temps que le Québec prenne toute la place qui lui revient au chapitre économique. Nous avons montré au monde entier que nous étions en mesure de développer de grandes entreprises en sol québécois capables par la suite de conquérir le monde : Aliments Couche-Tard, CGI, Bombardier, Groupe Canam, Jean Coutu, Québecor, Desjardins, Banque Laurentienne, Banque Nationale, WSP Global, Lassonde ou encore des Cirque du Soleil, des Productions Feeling (Céline Dion et René Angélil) ou Ex Machina (Robert Lepage). Maintenant, il est temps d’en développer de nouvelles.

Avec de meilleurs emplois, un effort soutenu pour la création de nouvelles PME notamment en régions et de plus grandes entreprises, le Québec deviendra plus fort.

C’est cette force qui contribuera à briser les campagnes de peur encore récemment entretenues par les tenants du régime fédéraliste. Face à une économie québécoise plus vigoureuse que l’économie canadienne, les arguments trop simplistes des fédéralistes ne tiendront plus.

Les récentes offensives indépendantistes en Écosse et en Catalogne confirment qu’une économie nationale plus forte favorise le soutien à un projet d’indépendance nationale.

En excluant le très lucratif secteur des hydrocarbures, l’économie écossaise réussit
à dépasser le PIB par personne du Royaume-Uni et la situation est encore une plus
favorable en Catalogne face à l’économie espagnole. De nombreux autres pays sont là pour témoigner que leur indépendance leur a procuré la richesse (pays baltes, Slovaquie, République tchèque, Norvège).

Je me fixe un objectif ambitieux comme ceux que je me suis donnés des dans ma vie
professionnelle antécédente : l’économie québécoise doit faire mieux que l’économie
canadienne. Le Québec économique a déjà de la vision, de la volonté, de la détermination, du leadership, mais il lui en faut encore davantage. La récupération de l’ensemble des compétences économiques par un Québec indépendant servira cette fin. Il aura alors toutes les cartes dans son jeu.

En accédant à l’indépendance et en se libérant des contraintes imposées par le
gouvernement fédéral, l’économie québécoise cessera de faire les frais des stratégies
économiques d’Ottawa qui nuisent à son épanouissement. Dès lors, je formule sept
engagements pour faire mieux que la méthode canadienne et propulser notre économie nationale pour RÉUSSIR.

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