PQ - quand la souveraineté et la social-démocratie ne veulent plus rien dire
Une direction sans vision, la politique de la petitesse, de la mesquinerie;
_ amateurisme insoutenable, incompétence crasse.
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"Madame Marois ne semble pas avoir compris que ce n’est pas un « changement d’attitude » qui est requis pour sortir de la crise du PQ, et plus généralement de la crise du Politique …, mais bien un changement de culture politique !
Les nouveaux citoyens du Québec, adhérant à une nouvelle culture politique, ne peuvent concevoir qu’un parti qui a été un grand parti populaire démocratique deviennent la propriété de quelques individus sous la tutelle d’une personne qui serait détentrice de la vérité ainsi que d’un pouvoir quasi-absolu, c’est à dire totalement obsolète s’il est question de démocratie et non de la servitude à un milieu politico-économique que Monsieur Charest a fort bien nommée comme « industrie de la corruption ».
Si nous ne sommes pas dans une situation où l’on meurt pour la liberté, comme celle de ces jeunes Palestiniens désarmés qui meurent sous les balles d’une entreprise génocidaire, il reste que le Refus global et la Résistance ne sont pas que des échos du 20e siècle, et qu’ils se recomposent dans la réalité actuelle, dans de puissantes aspirations au changement. Ceux et celles qui ont peur de ces forces nouvelles seront balayés par les vents de l’Histoire, il serait sans doute prudent pour eux de se mettre à l’écart !" - Yves Claudé - membre du PQ dans Rosemont-Montréal
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