Petite chronique du multiculturalisme ordinaire

Mauvais augures !

Toujours à la recherche de synonymes pour épargner les répétitions au lecteur, je cherchai celui de « sinistre », en ayant en tête « élites ». Non pas en tant que telles, mais en tant que responsables de l’état de décomposition multiculturelle avancé qui touche un continent dont, paraît-il, ils ont la charge.

J’ai finalement opté pour celui d’« avarié ». Date limite d’utilisation dépassée et odeur putride. Voilà ce que m’inspire cette courte vidéo, signalée par De Telegraaf du 4 février, et mise en ligne le 1er février. Une personne d’un certain âge est agressée par des « migrants » dans le métro de Munich, et nous pouvons en conclure, comme dans le cas de Cologne, que les responsables sont nos élites avariées. Comme à Cologne, nous constatons encore une fois qu’un certain nombre de « migrants » pissent sur l’État de droit et la sécurité des personnes, font et défont la loi au vu et au su de nos élites avariées.


Mais ce petit film n’est pas le seul dans son genre. J’ai glané d’autres informations dans des médias néerlandais et belges, puisqu’on ne peut guère compter sur l’empressement professionnel de leurs homologues français, hormis ceux de la « réinformation ». C’est parti…


Ostende, Belgique, 4 février. Un enseignant a signalé aux autorités la présence d’un élève de 14 ans exhibant sur son portable sa photo en uniforme et muni d’une arme à feu. La police a découvert dans le téléphone les images du viol collectif d’une fille inconsciente par sept individus, incluant l’élève. Ils rient, dansent autour de la victime et chantent en arabe. Les suspects sont deux Belges et cinq Irakiens, dont deux demandeurs d’asile. Certains d’entre eux décrivent le viol comme la chose la plus normale du monde. L’un d’eux dit en riant qu’elle n’a pas à venir pleurer car « les femmes ont juste à obéir aux hommes »  (De Telegraaf, hln.be).

Des « migrants » indésirables dans une piscine allemande. La ville de Bornheim (ouest de Bonn) a interdit l’entrée de sa piscine aux hommes d’un centre de réfugiés proche, car de plus en plus de femmes et d’employées se plaignent d’être harcelées sexuellement (de Volkskrant, De Telegraaf, 15 janvier).

Dortmund, 17 janvier. Deux agents de police ont empêché par hasard le caillassage de deux transsexuels par trois Nord-Africains. Ces derniers avaient engagé la conversation avec deux femmes, mais lorsqu’ils se sont aperçus qu’il s’agissait de transsexuels, ils ont commencé à les menacer de mort non sans leur avoir balancé des pierres. Deux agents de police passant en voiture ont pu empêcher la situation de dégénérer (De Telegraaf, 17 janvier).

Bruxelles, 15 janvier. Trois migrants syriens de 12 et 13 ans ont agressé trois femmes dans le train reliant Bruxelles à Tournai. Il s’agissait de deux filles de 16 ans et d’une femme de 22 ans. Arrêtés, les deux agresseurs ont été libérés, seule l’agression contre la femme majeure ayant fait l’objet d’une plainte (une erreur, selon la police). Les jeunes agresseurs se trouveraient en France (De Telegraaf, Het Laatste Nieuws, 15 janvier).

Vous l’aurez deviné, nous pourrions continuer longtemps ainsi, les « faits d’hiver » se ramassant à la pelle, mais craignons de lasser le lecteur. Notons que « la coexistence de plusieurs cultures souvent encouragée par une politique volontariste » (définition Larousse en ligne du multiculturalisme) touche essentiellement, pour l’heure, les femmes dans leur chair. Mais pas question de faire le lien entre insécurité sexuelle et migrants : qu’elles se démerdent ! Nos élites avariées y veillent.


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