Lucien Bouchard, un «drôle de politicien»

Le PQ est un «drôle de parti» Le Devoir, 15 avril 2013

Tribune libre

Lucien Bouchard, un «drôle de politicien»
Oui, sa personne est importante.
On est tous important lorsque l'on parle de soi !
« La chose qui m’a fait le plus mal, c’est d’avoir été hué quand on a projeté ma photo avec celle de Pierre Marc Johnson » lors d’un rassemblement partisan au lendemain de l’élection d’André Boisclair en 2005, a-t-il dit. « Ça, je regrette, je ne le prendrai jamais, jusqu’à la fin de mes jours. » ( Lucien Bouchard Le PQ est un «drôle de parti» Le Devoir 15 avril 2013 | Guillaume Bourgault-Côté | Québec )
Que dire de ce qu'il a fait à Yves Michaud? Que dire de la façon dont il fut traité par cette personne?
Oui, il a de bons moments comme tout homme a de bons moments. Mais il y a des dossiers qui dépassent l'entendement.
Il devrait se revoir, le soir de son élection.
Ça se passait au Centre des Congrès de Québec.
On attendait les résultats et il finit par être élu.
Le discours qu'il a fait était «désespérant». J'étais sur les lieux et j'avais honte de lui.
Il était élu, majoritaire, mais il n'avait pas eu le nombre de votes souhaités pour parler haut et fort, lui, le puissant. Je le trouvais hargneux, méprisant pour NOUS qui venions de l'élire. Lucien Bouchard n'était pas content... mais pas content du tout.
J'avais l'impression d'être dans un salon mortuaire à l'entendre. Désastreux.
Si la vidéo existe, il faudrait la montrer.
Il en voulait aux Québécois qui venaient de l'élire de ne pas lui avoir donné la pluralité des voix. 50% et plus.
Son mandat il l'a écourté lui-même en démissionnant et en attaquant Yves Michaud.
Il avait une rancœur désordonné contre la majorité qu'il avait reçue et qu'il n'a jamais assumée.
Les Institutions britanniques sont telles que si tu es Premier Ministre et que tu es majoritaire en chambre, TU AS TOUS LES POUVOIRS.
Lui, il ne les a pas assumé. Il voulait, en plus, la majorité des voix populaires, le 50% pour satisfaire son égo.
Alors, il nous l'a fait payer NOTRE MANQUE DE SAVOIR FAIRE et notre manque de reconnaissance à son égard.
Il s'est consacré au déficit zéro et il ne parlait plus de référendum ni d'indépendance.
Je l'ai vécu comme ça le soir de son élection et tout au cours de son mandat.
Manque de vision, manque d'assumer correctement son mandat, son devoir de Premier Ministre Québec.


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21 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    19 avril 2013

    Lucien Bouchard était le chef du PQ. Il détestait ses membres. Il détestait son programme. Il détestait sa culture politique. Il détestait la Charte de la langue française. Je pense qu'il détestait le parti lui-même.
    Il ne fut qu'un opportuniste et je me demande en fin de compte s'il n'était pas en service commandé.
    Je déteste profondément ce politicien.
    Il a fait perdre des années cruciales de la lutte pour l'indépendance nationale.
    Son passage au PQ fut un gâchis total.

  • Archives de Vigile Répondre

    18 avril 2013

    Erratum! Erratum!
    Dans mon commentaire, doit lire: KOTTO au lieu de Kotté. Merci
    André Gignac 18/4/13

  • Archives de Vigile Répondre

    18 avril 2013

    ... et juste comme cela en passant, Claude Banchet a travaillé directement sous Saputo comme Directeur pendant plusieurs années.
    Suivez les pistes de l'argent...elle mène inéluctablement à la tête du gouvernement.

  • Archives de Vigile Répondre

    17 avril 2013

    Bull's-eye 53, comme le démontre cet extrait:
    Saputo, c’est ce personnage équivoque dont on parle abondamment dans le livre Mafia Inc qui, et je cite Richard Le Hir sur Vigile.net :
    « nous livre à cet égard quelques clés intéressantes en revenant sur les rumeurs de liens entre le riche industriel du fromage, Lino Saputo, et la mafia, alimentés par des enquêtes du FBI sur le parrain New-Yorkais Joe Bonnanno au début des années 1970, et sur la présence de Lino Saputo aux funérailles du mafioso Joe LoPresti, abattu dans des circonstances mystérieuses. La Presse avait également fait allusion à des articles parus dans des magazines d’information influents en Italie qui faisaient état d’écoutes électroniques du clan Rizzuto où un membre de ce clan évoquait les liens de celui-ci avec Saputo.
    Suite à la parution de l’article dans La Presse, Saputo avait intenté une poursuite en libelle diffamatoire contre La Presse, poursuite qui s’est réglée « à l’amiable » près de deux ans plus tard, à des conditions que les parties ont gardé confidentielles. On ne sait donc pas ce qui a été gagné ou perdu dans cette affaire, et par qui. Ce qu’on sait en revanche, c’est que les intérêts Saputo étaient représentés par Me Lucien Bouchard qui siégeait également alors au conseil d’administration de la société Saputo. »
    http://corruptionliberale.com/le-plan-nord-et-saputo/

  • Archives de Vigile Répondre

    17 avril 2013

    Cher numéro 53,
    Par respect pour ceux et celles qui fréquentent Vigile, je vous prie de corriger votre texte et de bien articuler votre pensée. Si vous ne le pouvez pas, je vous prie de le demander à une personne qui a appris à écrire correctement.

  • Archives de Vigile Répondre

    17 avril 2013

    Cher numéro 53,
    Par respect pour ceux et celles qui fréquentent Vigile, je vous prie corriger votre texte et d'articuler votre pensée. Si vous ne le pouvez pas, je vous prie de le demander à une personne qui a appris à écrire correctement.

  • Archives de Vigile Répondre

    17 avril 2013

    Monsieur Bertrand, ce que je trouve triste au Parti Québécois nous avons perdu trop de temps à zigonner
    Sans Jamais aller droit au but. Le but c'est de se
    donner un gouvernement pour contrôler nos affaires sans
    avoir toujous mâcheux de guenille comme Lucien Bouchard.
    On avance rie avec lui
    La chose qui devrait nous indétéressé... Quel a été¸
    le but de la corruption à Montréal.
    Si on y réfléchi, la commmunauté italienne a fait échec au regroupement de Montréal Quand oh pale d'économie... On parle de quoi ? De la nôtre ou celle des aurees?
    roch

  • Archives de Vigile Répondre

    16 avril 2013

    Moi je vous trouve tous un peu dur envers lui. Il a quand même donné beaucoup. Je suis d'accord avec vous qu'il croit que c'est de sa faute si le oui a failli gagné. C'est un peu vrai mais même s'il était épuisé, il aurait dû continuer à encourager l'indépendance alors qu'il a arrêté d'en faire la promotion.
    Mais ses dernières déclarations laissent entrevoir qu'il est encore inquiet de ce qui se passe au Québec au niveau politique. Je pense que s'il revenait à ses convictions profondes, il pourrait rendre encore service.
    Il m'a surpris dans ses déclarations au sujet de la constitution de 1982. Je crois qu'on peut avoir encore de l'espoir sur son choix pour le Québec. Évidemment il faudrait lui demander...

  • Archives de Vigile Répondre

    16 avril 2013

    Voici une caricature qui dit la vérité sur Lucien...
    http://horsdutemps.info/2013/divers/bouchard-T.jpg
    ...

  • Archives de Vigile Répondre

    16 avril 2013

    Claude Richard a écrit:"Il faudrait un jour dégonfler ce mythe. C’est vrai que Bouchard a contribué au regain du oui par la flamboyance de son discours. Mais il faut aussi voir ce qui se passait sur le terrain.".
    Ce n'est pas un mythe, c'est la réalité."Par la flamboyance de son discours", oui....mais, aussi, par l'effet "Jack Layton"(il attirait la sympathie suite à sa maladie et la perte de sa jambe)...et aussi par la forte présence des députés du Bloc.
    Dans beaucoup de comtés, nous avions des députés bloquistes et leur organisation avec nous. Aujourd'hui on aurait Mulcair et les ndpistes contre nous.
    Mais vous avez raison de rappeler les adéquistes de Allaire, Dumont, Marie Grégoire et autres.

  • Stéphane Sauvé Répondre

    16 avril 2013

    ...une militante souverainiste de longue date me disait avoir quitté le Parti Québécois après avoir discuté avec Lucien Bouchard lors d'une rencontre "sur le terrain" en 95, juste avant le référendum. Les propos de ce dernier l'avaient tellement découragé (ainsi que d'autres bénévoles) qu'il lui était devenu impossible de croire en la bonne foi de Bouchard.
    Etait-ce la condescendance, voire la suffisance du futur "lucide" en chef qui amena ces bénévoles à démissionner?
    Ou était-il, comme je le soupconne, un habile renard dans la basse-cour dont le jeu fut percé par les plus prudents des bénévoles de l'époque?
    Toujours est-il qu'il n'y a pas de fumée sans feu.
    Il a assassiné politiquement l'hommme qui lui aurait tenu fermement tête comme chef du PQ, ce même homme qui pendant cette période, s'affairait courageusement à défier Desmarais de révéler ses fourberies comme chef de Power Corporation. En définitive, cette condamnation ignoble de Yves Michaud, le "Robin des banques" du Québec, doit-on le rappeler, est tranquilement mais surement en train de se retourner contre Bouchard. Tu ne peux indument jeter ton fiel sur l'autre sans un jour en payer le prix.
    Et puis, que dire de cette fusion forcée, ce déficit zéro, ce tournant à droite du PQ alors qu'il en était chef, et puis, sa promotion des intérêts albertains et gaziers au détriment du Québec et son appui en douce à la création de l'ADQ.
    Bref, l'homme a erré et il erre toujours, à la seule différence près, que cette fois, son discours ne passe plus.
    Ca sonne creux. Quelque chose qui cloche...comme...des piastres canadiennes dans sa poche de droite. Celle de gauche est trouée depuis belle lurette.

  • Archives de Vigile Répondre

    16 avril 2013

    Monsieur Bertrand,
    Je vous remercie pour votre article à propos du petit vaniteux nommé Lucien Bouchard. En effet, ce vaniteux a bien démontré toute sa petitesse dans l'affaire Michaud.
    Monsieur Jean Brilland écrit ce qui suit à propos Bouchard, le lucide auto-proclamé: « Au final, il ne sera jamais parvenu à se libérer de sa cupidité et de sa fierté.» C'est très bien dit, mais permettez-moi une variante par souci de précision: Au final, le malheureux ne sera jamais parvenu à se libérer de sa cupidité et surtout de sa vanité infantile.

  • Claude Richard Répondre

    16 avril 2013

    "Quand Bouchard est embarqué dans la galère au référendum de 1995, le OUI était à 40% et, c’est grâce à lui si nous nous sommes rendus au presque 50%."
    Il faudrait un jour dégonfler ce mythe. C'est vrai que Bouchard a contribué au regain du oui par la flamboyance de son discours. Mais il faut aussi voir ce qui se passait sur le terrain.
    Dès le début de la campagne référendaire, des équipes de porte-à-porte se sont constituées et se sont mises à l'oeuvre. J'étais dans une de ces équipes à pied d'oeuvre presque sept jours sur sept.
    Les premiers jours ont été laborieux. Mais nous avons continué à ramer, d'autres nous ont rejoints et petit à petit le travail a commencé à porter fruits. Je parle là du travail de milliers de bénévoles à travers tout le Québec. Jamais, à ma connaissance, il n'y avait eu une opération terrain aussi vaste et aussi inspirée.
    Rappelons aussi que Jacques Parizeau n'avait pas rallié que Lucien Bouchard mais aussi Mario Dumont et son groupe, ce qui explique une part de la remontée du oui.
    Rendons, oui, à César ce qui appartient à César, mais en l'occurrence César n'était pas que Lucien Bouchard mais bien d'autres acteurs aussi.

  • Robert Bertrand Répondre

    16 avril 2013

    Toutes les interventions nous permettent de constater que l'on a tous un peu raison.
    On a tous présenté une parcelle de la réalité qui est nôtre.
    Je m'attache à l'essentiel: LE POUVOIR
    Quand tu es majoritaire dans un système politique avec les institutions britanniques, tu peux faire ce que tu veux. Bien sûr avec la majorité des sièges. Lucien Bouchard avait la majorité des sièges. Donc, il était maître du jeu.
    Si on a élu Lucien Bouchard, c'est qu'il avait un programme lors de cette élection.
    J'essaie de me souvenir mais c'est confus. Vous pouvez sans doute ajouter et nous dire le contenu de ses interventions avant son élection. Sous quels thèmes, quels objectifs s'est-il fait élire?
    Avec ces données on pourrait voir, ensemble, pourquoi s'est-il intéressé, une fois élu, qu'à l'objectif du déficit zéro et arrêté de nous parler du Pays du Québec.
    Le soir de son élection, au Centre des Congrès, il y avait un groupe de jeunes, avant que vienne nous parler le gagnant de la soirée, qui scandait constamment: QUÉBEC, UN PAYS.
    Je me disais que, lorsqu'il va se présenter, il était pour en parler et scander avec eux ce QUÉBEC UN PAYS. Mais NON, tout le contraire.
    Il était ÉLU mais il n'était pas content. Je ne répète pas ce que j'ai déjà écrit.
    Si on pouvait élaborer sur ce qu'il nous aurait dit pour se faire élire. Là, on pourrait, les uns et les autres, évaluer à sa juste valeur, le mandat qui a suivi.
    A-t-il fait ce pourquoi il a été élu ou a-t-il changé de cap?
    L'avons-nous élu pour s'occuper du déficit zéro?

  • Archives de Vigile Répondre

    16 avril 2013

    Bouchard est devenu son propre geolier et l'artisan de son propre malheur.
    Il abandonne sa femme.
    Il abandonne son chum Mulroney.
    Il abandonne le Bloc.
    Il abandonne le PQ.
    Il abandonne sa deuxième femme.
    Il abandonne la Cause souverainiste.
    Il abandonne les Québécois.
    Au final, il ne sera jamais parvenu à se libérer de sa cupidité et de sa fierté. Il terminera son dernier tour de piste, étouffé par la hargne de ne pas avoir été reconnu pour qui il croit être.
    Il devient une autre preuve que l'on récolte ce que l'on sème.
    « Des opinions, oui ; des convictions, non. Tel est le point de départ de la fierté intellectuelle. »
    Emil Michel Cioran

  • arseneault andre Répondre

    16 avril 2013

    Oui mais c'est lui le hautin grand chum de Desmarais et tous fédéralistes confondus qui a le plus fait reculer la cause de la séparation du Québec, quand tu te tiens avec les Charest et Cie de ce monde tu ne peux pas être séparatiste!

  • Archives de Vigile Répondre

    16 avril 2013

    @Pierre Tremblay
    Le PQ n'a jamais été un parti de pouvoir. Même Lévesque a vu de ses ministres s'en aller. Si Parizeau était resté en poste, lui aussi aurait eu des problèmes.
    Le PQ a toujours été un parti difficile à gérer en raison des diverses tendances: gauche versus droite, les plus pressés en regard de l'indépendance versus les moins pressés.
    D'accord avec vous, que l'indépendance elle n'est ni à droite ni à gauche.
    Les péquistes sont très exigeants envers leur leader.
    Regardez le PLQ. Avez-vous vu des députés et ministres démissionner, l'an dernier, dans la tourmente? Non. Le PLQ est un parti de pouvoir.
    Non seulement le PQ est un drôle de parti, mais notre option est une drôle de patente. Regardez nos divisions et subdivisions, en termes de partis politiques. Nous ne sommes pas capables de nous unifier: c'est une tragédie!

  • Archives de Vigile Répondre

    16 avril 2013

    @ Gilles Jean??? ( de Ste-Émilie de l'Énergie?)
    La victoire morale de 49% et de quelques virgules pour le OUI en 1995, qu'est-ce que ça l'a donné? Nous l'avons perdu quand même ce référendum non? Le PQ n'est pas plus souverainiste que le PLQ, la CAQ ou QS, réveille-toi bonhomme! C'est Desmarais qui tire toutes les ficelles du pouvoir au Québec à partir de Sagard où l'on a vu sur la dernière chronique de M. Le Hir, en photos, le député Kotté du PQ (oui! oui!) en compagnie de Charest et de la femme de Desmarais ainsi que ton LULU préféré. Dis-moi qui tu fréquentes et je te dirai qui tu es! L'indépendance du Québec passe par une révolution du peuple rien de moins! LE POUVOIR AU PEUPLE!
    André Gignac 16/4/13

  • Archives de Vigile Répondre

    16 avril 2013

    Oui, c'est vrai que le PQ est un drôle de parti. Tous les chefs, sauf Parizeau, ont eu maille à partir avec le parti.
    Parizeau s'en est allé avant d'avoir des problèmes.
    Parlant d'ego, que penser de Landry qui a démissionné suite à un vote de confiance.
    Le PQ est un drôle de parti parce qu'il y a diverses tendances à l'intérieur, c'est un parti difficile à maîtriser. Contrairement au PLQ qui est un parti de pouvoir.
    D'autre part il faut rendre à César....Quand Bouchard est embarqué dans la galère au référendum de 1995, le OUI était à 40% et, c'est grâce à lui si nous nous sommes rendus au presque 50%.
    Bouchard est un orateur hors pair.

  • Archives de Vigile Répondre

    16 avril 2013

    Je vous ai lu, et à la lumière de vos mots...
    Je ne peux me contenir de vous dire:
    "Quel était la portée de ce désir égoïste?"
    Et à partir de cet instant précis, je souhaite que vous compreniez, autant son amertume que sa hargne subséquente.
    Et je pousserais plus loin...
    Quand un homme devient-il à ce point amer en général?
    J'ai une réponse à vous proposer...
    - Quand il réalise trop rapidement avoir omis un geste majeur de façon volontaire, et que ce dernier a des répercussions magistrales sur la suite des évènements.
    Du genre; "Bordel, j'aurais dû m'écouter!"
    Et ceci malgré tout, n'a aucune connotation négative envers la continuité d'une destinée... plus que mérité.

  • Archives de Vigile Répondre

    16 avril 2013

    Oui si près du but, il aurait dû continuer et trouver des arguments pour mettre en branle un autre référérendum tout de suite. Je suis d'accord avec vous. Là ou je suis d'accord avec lui c'est que ce n'est pas a gauche qu'on va arriver a quelque chose. La gauche n'a pas d'argent et la propagande a besoin de beaucoup d'argent pour convaincre. La souveraineté doit récupérer la droite mais celle-ci ne veut rien savoir car elle n'y voit aucune possibilité de gain financier et trop d'incertitude.
    Comment convaincre la droite de ce plan et l'avantage qu'elle pourrait en retirer? Actuellement la collaboration est assez payante.