Il est temps de mettre la table

Nous sommes chez nous, au pays du Québec.

Tribune libre

Nous nous devons de nous définir sans la tutelle d'un autre Parlement. Les autres sont assez grands pour se définir comme ils veulent.
Nous sommes assez grands pour nous définir comme nous le souhaitons. Ce n'est pas de la responsabilité d'un Pays qui nous est étranger de définir ce que nous sommes et de fixer nos objectifs.
Que s'est-il produit pour en arriver là où nous en sommes?
L'immigration, C'ÉTAIT l'affaire du Fédéral, des #PLC des Trudeau, des Chrétien, des Jean Pelletier grand ami de Chrétien et de la troupe libérale fédérale. Leur objectif c'était de noyer les Québécois francophones dans la mer multiculturelle pour mieux les voir disparaître en les assimilant.
Ils n'ont pas réussi leur pari et nous ne les laisserons pas réussir à nous faire disparaître.
Jean Pelletier, nous a laissé son testament politique en nous martelant que ce ne sont pas des dollars, des publicités, des regroupements comme celui d'avant le dernier référendum qui viendraient perturber les décisions fédérales de ne pas dépenser des sommes d'argent illimitées pour gagner la «guerre».
L'État d'un autre Pays nous voit non pas comme des partenaires. Ils sont en «guerre». Ils nous veulent «soumis» à leurs diktats.
NOUS AVONS ÉTÉ ENVAHI
On le constate depuis quelques années, nous avons été envahi, non pas à cause de notre vouloir collectif mais bien parce que le contrôle de l'immigration se faisait par les autres, pour servir les intérêts des autres et pour le bien des autres.
Notre éveil collectif vient de là. On s'est fait envahir --- sans notre vouloir personnel et encore moins collectif.---
L'autre Parlement ne veut rien savoir des décisions unanimes de notre Assemblée nationale du Québec qui représente tous les citoyens de l'État du Québec, du Pays du Québec. L'autre État fait comme s'il était NOS SUPÉRIEURS qui donnent des directives à des sous-produits de leur volonté.
NON. Vous avez cru que vous étiez supérieurs.
Aucun État n'est supérieur à la voix de son peuple.
Il est terminé ce temps de la soumission.
Suite à cet éveil collectif, nous nous rendons compte de la nécessité de VIVRE ENSEMBLE avec nos valeurs, nos façons d'êtres, notre façon de vivre en société avec les autres.
Oui, il est nécessaire de tenir compte des autres. Il est surtout nécessaire de tenir compte de nous. Nous n'avons qu'UN SEUL PARLEMENT qui tienne compte de notre collectivité française, nord américaine et québécoise.
L'autre Parlement doit voir à tous les autres des 10 autres États.
Nous sommes une société distincte: française, catholique, sur le territoire nord américain. Nous sommes un contre 10 d'une part et un contre 60 si on inclut tous les États des États-Unis d'Amérique.
C'est pourquoi, il est important de NOUS DÉFINIR comme société sur NOTRE territoire.
Notre territoire il est Québécois.
Notre seul parlement qui compte est Québécois.
Malgré toutes les résolutions unanimes de notre Assemblée nationale du Québec, OTTAWA a pratiquement toujours fait la sourde oreille comme si on n'avait aucune importance à leurs yeux. On n'est qu'un sur 10 mais on est là depuis plus de 405 ans.
Pourquoi le PEUPLE du Québec avec les ÉLUS du PEUPLE Québécois devraient-ils se soucier de ce que veulent et disent les parlementaires d'un Pays qui n'a pas plus de valeur qu'un Pays étranger ?
Si l'autre Parlement est si sourd à nos besoins, à nos volontés, pourquoi devrions-nous nous soumettre ?
Devant la LOI, nous sommes égaux.
Nous avons notre voix, notre Assemblée nationale du Québec pour affirmer notre réalité à l'égale de toutes les Assemblées nationales, de tous les Parlements du monde.
À NOUS DE NOUS AFFIRMER
On peut écouter les autres, mais leurs voix peut rester dans le désert comme ils le font avec notre voix unanimement exprimée, trop souvent, inutilement.
Pourquoi devrions-nous les prendre au sérieux alors qu'ils ont tout fait pour chercher à nous voir disparaître?
Ils ne nous considèrent pas comme des alliés, mais bien comme des ennemis qui troublent leurs activités.
NE NOUS OCCUPONS PAS D'UN AUTRE PARLEMENT QUI NE TIENT PAS COMPTE DE NOUS, comme peuple, comme nation, comme #PAYSQC
Leurs besoins ne sont pas nos besoins.
Leur Reine n'est pas notre reine.
Leurs affaires ne sont pas NOS affaires.
C'est pour ces raisons que nous nous devons de nous définir pour ce que nous sommes.
Nous sommes Québécois.
Nous sommes chez nous, au Pays du Québec.


Laissez un commentaire



4 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    17 septembre 2013

    Nous sommes chez nous.
    Vous faites une grave erreur
    La propagande fédéraliste multicultureuse présente le nous du québécois comme de l'exclusion voir du racisme
    Qu'est ce que c'est que ce NOUS qui exclus, vous répondront-ils avec leur air de prétencieux trudeauiste de mange québécois
    Vous refusez d'être inclusif...Ha! bon
    Il faut selon la doctrine multiculturaliste constipé dire im pérativement au Québec bienvenu chez VOUS.
    J'en ai mare des gosseux fédéralistes de la multiculturalité qui en sont rendus a vouloir rendre coupable les québécois qui parle de chez nous .

    A les entendrent ce serait de l'intolérance et on aurait ne devrait jamais utiliser ce mot en parlant
    Le bienvenue chez Vous ..çâ c'est correct
    Le bienvenue chez nous du québécois c'est horrible,de l'exclusion ,de la xénophobie.

    Le premier sport national du roc étant le quebec bashing comme bien des Québécois j'en ai marre d'entendre ces faux culs de la multiculturalité trudeauiste fédérâleuse anti québécoise gosser sur le nous utiliser par les québécois.

  • Archives de Vigile Répondre

    16 septembre 2013

    Nous sommes chez-nous, au pays du Québec
    par Roch Gosselin le 16 Septembre 2013
    Il y a une chose que nous devrions faire grand bruit, le droit de vote.
    Si nous continuons à subir une immigration contrôlée par un pays qui nous est hostile, nous finiront par n'élire que des opportunistes comme M. Couillard qui ne fait que du show
    Une annonce en gros montrant les femmes qui ont marchées pendant 22 ans pour obtenir le droit de vote en 1940 et elles auraient fait ça pour rien...
    Non merci! Ça se dit bien

  • Ouhgo (Hugues) St-Pierre Répondre

    15 septembre 2013

    Et chez-nous, au pays du Québec, ils ont marché dans nos rues par milliers en ce 14 sept 2013, pour la première fois, en scandant des slogans hostiles à notre peuple... comme on les voit faire en France et dans leurs pays de moeurs inadmissibles chez-nous.
    Québécois, voterons-nous ensemble ou accepterons-nous les crimes d'honneur, contre nos femmes?

  • Jean-Claude Pomerleau Répondre

    15 septembre 2013

    Maître chez nous phase 2
    Après un long parcours vers un pays imaginaire depuis les années soixante, avec ce gambit politique, nous sommes revenu au pays réel pour le façonner à notre manière (culture : manière de faire). Nous sommes revenu au Maitre chez nous phase 2 (nous avions abandonné la proie pour l'ombre).
    Voici ce qu'en disait Gérard Bergeron (1) de la Révolution tranquille : l'État (du Québec) devenait ce qu'il faisait...et se dressait contre l'État fédéral. C'est ainsi qu'on a nationaliser l'hydroélectricité et créé la Caisse de dépôt, deux propositions combattues par les anglo-saxon (aidé de La presse).
    La gouvernance souverainiste devient plus lisible dans la mesure où le gouvernement passe à l'acte. Et là on a une proposition qui porte sur l'existentiel. Reste à voir l'appui des Habitant, la seule qui compte.
    JCPomerleau
    ...
    (1) Gérard Bergeron (livre en ligne):
    http://classiques.uqac.ca/contemporains/bergeron_gerard/bergeron_gerard.html