Les nouvelles vaches sacrées des élites françaises

Déclin du français - La France dégénérative...


Le très chic Figaro Magazine, dans son édition du 4 décembre 2010, a su joindre l’utile à l’agréable : en complément d’un spécial Champagne de 78 pages un dossier sur les études à l’étranger vient instruire les lecteurs qui, une flûte de Dom Pérignon ou de Roederer rosé à la main, les lèvres encore imbibées des arômes caspiens d’un caviar Beluga, se demanderont peut-être : « Où envoyer étudier Blaise ou Bérangère cette année ?» Or, si l’on en juge par la première page de cette édition du magazine, la réponse est toute simple. Pose avec un charmant sourire Clara, un sac aux couleurs du l’unifolié canadien en bandoulière, avec l’inscription « CANADA » ; en arrière-scène, se profile, mais embrouillé, le pavillon palladien d’une auguste université étrangère – en fait la riche McGill University of Montreal – se lequel se détachent en gros caractères blancs les titres suivants : « Étudier à l’étranger. Le guide des meilleures universités ». Bref, c’est déjà toute une invitation au voyage lancée à la jeunesse française, cette « génération Erasmus » qui « prend le large », ainsi que la nomme Anne-Noémie Dorion, en référence au programme européen de mobilité interuniversitaire à la faveur duquel quelque 24 000 étudiants français ont pris la voie de « l’exil universitaire » en 2010. Aux dires de Jean Bertsch, directeur de l’agence au nom indigeste « Europe éducation formation France », « il y a dix ans, beaucoup considéraient leur voyage comme une coupure de luxe. Aujourd’hui, ils partent pratiquer une langue, apprendre puis valider un socle de compétences. » Et qu’est-ce qui fait rêver cette belle jeunesse qui s’est reconnue dans le film Auberge espagnole de Cédric Klapisch? Eh bien, il semble que les Frenchies n’ont que des english dreams, tel Paul, futur ingénieur, prêt à tout pour pouvoir étudier dans un pays anglo-saxon, ou Louis, parti s’épanouir dans le Kent, ou Alexandra, ravie de ses études en art à Yale, où « on nous pousse à réfléchir » – car dans la patrie de Descartes, il semble qu’on ne cogite plus. D’autres ont choisi des destinations moins anglo-saxonnes, Barcelone ou Taïwan, mais pour y suivre des formations en anglais, assaisonnées d’un petit complément d’espagnol ou de chinois. Les plus aventureux parleront donc spanglish ou chinglish.
Ainsi ce dossier est-il conçu comme un véritable manuel pratique des études à l’étranger, réduites dans l’esprit du public du Figaro Magazine à l’anglosphère universitaire. Il n’est donc pas surprenant d’y apprendre que la qualité du diplôme obtenu est fonction essentiellement du classement de l’université dans le Academic Ranking of World Universities établi par l’université Jiao-Tong de Shangaï ou par quelque palmarès londonien, tel le Times Higher Education, qui ne font pas mystère du fait qu’ils rangent les universités d’après leur indice de citation dans quelques revues anglo-saxonnes triées sur le volet. Le Figaro renvoie certes, par politesse, à quelques palmarès internationaux, allemand ou espagnol, mais là encore, on ne cache pas l’importance des rankings du The Guardian (britannique), du Newsweek (américain), ou du très managérial Financial Times. Bref, le palmarès de Shangaï est devenu le nouveau Gotha universitaire de la bonne société française.
Très instructifs et révélateurs sont les détails et les recommandations prodigués à la jeunesse dorée française angoissée à l’idée de se cantonner aux facs et grandes écoles hexagonales. Ainsi, on y va de quelques conseils sur la manière de rédiger une lettre de motivation pour « retenir l’attention des sélectionneurs » des grandes universités américaines. On y apprend que les Frenchies ont la manie d’ « empiler les diplômes » sans réfléchir sur ce qu’ils font et sont incapables de décrire sur un ton personnel leurs ambitions et passions. C’est à croire que l’école française ne sait que former d’ennuyeux automates à la tête pleine. Ainsi que le recommande Zachary Wyman, claironné comme le « coach des enfants de l’élite », pour se démarquer de la masse postulante, il faut savoir jouer la carte de l’authenticité : « Plus on est authentique, plus ça marche. Il ne faut pas chercher à gommer les fausses notes : les Anglo-Saxons croient au droit à l’erreur et au développement [Les Frenchies n’y croiraient donc pas]. Il faut se montrer tel qu’on est, avoir une approche originale, personnelle sur chaque sujet, pour se faire repérer. » Plus importants encore, les tests d’admission, d’abord les qualifications linguistiques, ou l’aptitude à l’anglais, épreuve suprême qui décide de la promotion dans l’angloversity ou du recalage dans le système français : le Toefl (Test of English as Foreigh Language), le Ielts (International English Language Testing System) ou le Toeic (Test of English Language for International Communication). Bien sûr, pour la forme, le magazine évoque, à la toute fin de la rubrique « tests de langue », les tests allemands ou italiens, sans aucune précision. Mais quel enfant de la génération « Erasmus » serait si bête que d’aller étudier dans la langue de Goethe ou de Dante, d’autant plus que « le sempiternel séjour en Allemagne, ainsi que le rappelle Anne-Noémie Dorion, laisse place à des terres moins connues. » En somme, il est plus exotique d’étudier en anglais à Uppsala ou à Sofia qu’en allemand à Tübingen. Puis viennent les tests de niveau, pour lesquels les Frenchies semblent éprouver moins de difficultés, tous anglo-saxons.
Quant aux coûts, un peu comme on détaille le prix des grandes marques automobiles, on dresse la liste des frais d’inscription et de pension, astronomiques pour les États-Unis, au-delà de 40 000$ (US) pour certaines adresses. Les trois angloversities canadiennes figurant au palmarès – McGill (ou la Royal society for the advancement of learning), la University of Toronto et la University of British Columbia paraissent des aubaines, avec des frais d’aussi peu que 15 420 $(CA) pour la première. ( Ce que le dossier du Figaro ne dit pas, c'est qu'en vertu d'une entente de coopération signée entre le Québec et la France, les Français qui s'inscrivent dans une université québécoise, y compris à McGill, payent les mêmes frais de scolarité que les étudiants québécois, soit environ 2800 euros annuellement, grâce à la générosité de leurs cousins d'outre-atlantique; de plus, McGill ne requiert pas le test Toefl des étudiants français candidats, les supposant bilingual.) La Clara posant en première page du magazine a dû donc faire une bonne affaire. Que ce soit dans une canadienne peu chère ou à Columbia la princière, c’est hors de la portée du commun des mortels français, habitués à l’éducation supérieure quasi gratuite. Seulement, à croire les auteurs du dossier, les aides, les bourses, les combines ne manquent pas, et ce qu’on n'ose dire, c’est que papa ou maman payeront la facture. Qu’est-ce qu’on ne fera pas pour garantir à sa progéniture un avenir dans le marché mondialisé et frénétiquement concurrentiel des emplois payants! Ce dossier, aussi riche, sinon plus, en informations utiles que la visite privée du Palais Farnèse – siège de l’Ambassade de France à Rome – servie en amuse-gueule ou que l’entrevue avec l’ancien secrétaire du parti socialiste et toujours prétendant aux présidentielles de 2012, François Hollande, offerte en entremets, rappelle à l’auteur de ces lignes une conversation qu’il a eue en 2009 à Grenoble avec un professeur d’un institut universitaire de la cité. « Il n’y a que les ploucs qui envoient leurs enfants en fac », m’avait-il dit, fier d’ajouter que sa fille avait pu contourner le système français en s’inscrivant dans une université édimbourgeoise. En somme, les enfants de ploucs restent, les futés, les brillants, les bien nantis, traversent la Manche ou l’Atlantique. C’est dire l’estime que certains représentants du professorat français peuvent entretenir à l’égard du public auquel ils dispensent leurs lumières.
En réalité, ce dont témoignent ce dossier et de nombreux autres faits, c’est que les références de prestige ou les signes de distinction sociale des élites françaises connaissent depuis quelques années des mutations rapides, sinon fulgurantes. Du temps que la France se croyait une puissance doublée d’une civilisation universelle apte à faire la leçon à l’humanité, les élites françaises se sont donné des institutions nationales de haut savoir où elles se sont formées et reproduites en tentant de conjuguer une éthique républicaine d’accès général à l’instruction suivant le mérite personnel et un vieux penchant aristocratique, indéracinable malgré la révolution de 1789, enclin au pouvoir des castes. Cette ambition a donné un système d’éducation unique au monde, dual, qui superpose à des universités sous contrôle d’État et ouvertes à toutes les bourses de grandes écoles, sélectives et mieux dotées, où depuis Napoléon, on forme les élites techniques et administratives qui serviront la République. Durant cette époque dont l’achèvement semble être consommé depuis belle lurette, les honneurs, les palmes académiques, les diplômes et les carrières de prestige avaient pour horizon la France qui élevait aux plus hautes fonctions et distinctions les pupilles de la nation d’après ses propres critères, sans nécessiter d’en référer aux normes et aux institutions d’une culture étrangère pour se convaincre de la valeur des œuvres intellectuelles produites sur son territoire par ses ressortissants. En ce sens, la France était, pour le meilleur et pour le pire, autosuffisante, centrée sur ses gloires, autonome et non point hétéronome.
Or, depuis quelques années, la France a été prise d’une peur, d’une consternation, d’un sentiment de déclassement et d’abaissement, qui lui a fait voir ses institutions d’enseignement supérieur non plus comme des fleurons nationaux dont elle pouvait s’enorgueillir mais désormais comme des canards boiteux peu performants, incapables de soutenir la concurrence avec les universités anglo-saxonnes et les autres universités, hollandaises, finlandaises, suédoises, qui en imitent les méthodes et en adoptent la langue. Sans doute la publication des premiers résultats du classement académique des universités mondiales de Shangaï en 2003 a-t-elle eu l’effet d’un électrochoc sur les élites françaises. L’ancien président (recteur) de l’université Paris VI, Gilbert Béréziat, a raconté en ces termes cette épreuve : « Au niveau mondial, les établissements français n’existent pas. Ils ne sont pas considérés comme des universités, mais au mieux comme des facultés mono-disciplinaires. Si les présidents d’université en sont conscients depuis longtemps, la France ne s’en est rendue compte qu’après la publication en 2003 du classement mondial des universités, dit de Shanghaï. Avec seulement trois établissements parmi les cent premiers, l’Université française faisait pâle figure » (1) Cette réaction est en elle-même un extraordinaire aveu de ce que désormais les élites universitaires françaises se sont senties soudain habitées par un sentiment d’inanité et de dépossession, parce que leurs établissements ne figurent guère ou mal dans les palmarès universitaires anglo-saxons. En somme, les caravelles et les cinq-mâts au gouvernail desquels elles se croyaient posément installées se sont avéré des maries-salopes prenant l’eau.
Cependant, au lieu que de rire des résultats biaisés de ces palmarès, les élites françaises ont tenté, avec l’énergie que procure le désespoir passager transformé en rage de garder sa place et son rang, de mettre au pas leur système universitaire. Loin d’être abolies ou réformées, les grandes écoles françaises, qui rendent si distinctif et peu comparable l’enseignement supérieur français à celui des autres nations, ont reçu carte blanche pour multiplier les formations qui imitent les recettes anglo-saxonnes, en anglais s’il le faut, histoire de maintenir leur attractivité dans le marché très lucratif des étudiants étrangers. Les universités ont connu à leur tour une vaste réforme, implantée à l’initiative de Valérie Pécresse, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, dans le but officiel de leur accorder plus d’autonomie, jusque-là soumises au contrôle bureaucratique parisien pour les moindres aspects de leur fonctionnement. Le 1er janvier 2011, 75 universités françaises devraient accéder au statut d’universités autonomes, dotées d’une plus grande marge de manœuvre dans leur administration et le recrutement des professeurs et chercheurs. Cela dit, cette réforme poursuit un autre but, lui-même avoué, qui est de « rendre la recherche universitaire visible à l’échelle internationale ». Un site patronné par le ministère de Valérie Pécresse énonce sans ambages : « Les universités françaises doivent devenir visibles à l’échelle internationale. Il n’est pas acceptable que notre pays ne soit pas en mesure de donner à ses universités les premières places dans les classements internationaux des meilleurs établissements. » (2) Cette inspirante ministre est connue aussi pour avoir déclaré en 2008 que le français est une langue en déclin et que le supposé tabou à l’égard de l’anglais dans les universités françaises doit être brisé (3). En d’autres termes, si la recherche française n’existe pas, quand bien elle pourrait se vanter d’un Claude Lévi-Strauss ou d’un Albert Fert (Nobel de physique 2007 et médaille d’or du CNRS 2003), c’est parce qu’elle n’a pas paru dans certaines revues, ni dans la bonne langue. Avec l’autonomie universitaire, Valérie Pécresse remettra l’enseignement supérieur français dans la bonne voie, c’est-à-dire celle de l’hétéronomie culturelle et linguistique. Le phénomène n’est pas strictement français ; le même sentiment de déclassement, de perte de repères, à des degrés variables, s’observe chez les Allemands, Italiens, Grecs, etc. Dans un article publié dans Le Monde diplomatique, Gaston Pellet a transcrit cette conversation surprise dans un site Internet entre deux fonctionnaires de la commission européenne. L’une, désolée, pose cette embarrassante question : « Qui peut faire quelque chose contre cet incompréhensible et avilissant sabordage de la langue française, par les Français eux-mêmes… ? » Un autre de répondre : « Non, les Français ne sabordent pas la langue française : ce sont les Européens qui se sabordent en sacrifiant tout (langue, argent, zones d’influence) au profit des Américains. » (4) On peut mettre en parallèle ce jugement désemparé d’un Européen inquiet avec cette phrase édifiante d’Anne-Noémie Dorion du Magazine Figaro : « Il est vrai que l’harmonisation de l’enseignement supérieur en Europe fluidifie la transhumance étudiante. » Une manière gentille de dire que la jeunesse européenne forme aujourd’hui un seul et immense troupeau nomade broutant de l’herbe anglaise.
Les élites françaises poussent le zèle dans l’introjection des normes culturelles universitaires anglo-saxonnes jusqu’à importer, en bloc, des concepts dernier cri, comme celui de « learning centre », nouveau gadget bibliothéconomique à la mode dans les universités de l’anglosphère et leurs imitatrices néerlandaises, qui consiste à rassembler dans un seul lieu physique, dans des espaces « conviviaux », « ouverts » et « flexibles », tous les équipements et les ressources utiles à l’apprentissage continu. Un rapport produit par Suzanne Jouguelet, de l’Inspection générale des bibliothèques, en recommande l’implantation dans les universités françaises, lequel devrait trouver un « équivalent en France, mais aussi dans la langue française » (5). Vœu terminologique pour l’instant pieux, car il appert que les « learning centres » font fantasmer les présidents d’université. Dans un diaporama mis en ligne dans le site du Monde le 27 octobre 2010, on a pu admirer les esquisses des nouveaux « learning centres » français, l’un à Aix-en-Provence, deux autres à Lille…(6) Il ne manquerait plus que la Bibliothèque François-Mitterrand, la Très Grande Bibliothèque, soit rebaptisée Mitterrand's Huge Learning Center. Signe des temps, même la Sorbonne vient de former avec quelques consoeurs un pôle de recherche et d’enseignement supérieur dont l’appellation, Sorbonne Universités, épouse la syntaxe de l’anglais. Dans les écoles de gestion, l'anglo-conformisme est très avancé; l'école de gestion de Reims s'est carrément donné une appellation anglaise, Reims Management School, d'autres, comme l'ESC Saint-Étienne, arborent des devises anglaises – innovating in business.
Avouons que ces élites françaises rompues à l’anglais affichent une assurance crâne sans complexe. En donnait la preuve amusante le film documentaire « Inside Job » de Charles Ferguson, l’un des meilleurs du genre des dernières années sur le pouvoir occulte qu’exerce Wall Street sur Washington et qu’a recommandé Paul Krugman dans ses carnets virtuels du New York Times – non sans un certain malaise, puisque le film révélait comment des économistes de Harvard et Columbia se sont enrichis sans scrupules en produisant des études complaisantes au profit des grands financiers américains. Le film interroge pour une grande part des personnalités américaines. Quelques étrangers seulement y donnent leur avis, deux Français éminents en fait, Dominique Strauss-Kahn, directeur du Fonds monétaire international sis à Washington et toujours candidat non déclaré aux présidentielles de 2012, et Christine Lagarde, ministre des Finances de la République. Les deux étaient visiblement à l’aise, notamment Strauss-Kahn, s’exprimant dans un anglo-américain tel qu’à la côte est américaine on aime à l’entendre dans la bouche d’un Français. Mais le plus divertissant des deux fut Christine Lagarde, ravie de sortir son english bien senti, colloquial, interrogée dans son beau bureau ministériel lambrissé à la française. Quand le journaliste lui a demandé quelle fut sa réaction à l’annonce de la faillite de Lehman Brothers qui ébranla le système financier mondial à la fin de l’été 2008, elle a avoué candidement s’être exclamée : « Holy cow! » « Ah la vache » en français… Pouvoir jurer en empruntant au slang anglo-américain, dans un film américain, quelle consécration, quelle apothéose pour une ministre des Finances qui s’inscrit dans la lignée des Nicolas Fouquet, Jean-Baptiste Colbert, Anne Robert Jacques Turgot, Raymond Poincaré, Robert Schuman, Edgar Faure et Raymond Barre.
En venant étudier à Montréal à la McGill university, d’autres Français avides de promotion sociale pourront apprendre aussi à dire « holy cow » et d’autres jurons du même type. Après tout, cette ville où subsiste un lambeau de francophonie nulle et inexistante aux yeux des élites françaises n’est-elle pas la destination idéale pour y faire son éducation dans la langue et la culture qui comptent, sans trop de frais, sans renoncer à l’arôme réconfortant et onctueux du bon pain et des fromages, si rares à Singapour, Melbourne ou Austin?
Notes
1. 1. Gilbert Béréziat : « Paris Universitas doit devenir l’une des meilleures universités généralistes au monde », La Lettre, no 545, 15 janvier 2007, voir : http://www.lalettredeleducation.fr/Gilbert-Bereziat-Paris-Universitas.html .
2. 2. Voir le texte « Pourquoi la réforme de l’université ? », http://www.nouvelleuniversite.gouv.fr/-pourquoi-la-reforme-de-l-universite-.html.
3. 3. Tel que rapporté par Gaston Pellet, « Les élites sacrifient la langue française », Le monde diplomatique, décembre 2010.
4. 4. Un échange figurant dans le site [www.Défenselanguefrancaise.org->www.Défenselanguefrancaise.org], cité dans Gaston Pellet, ibid.
5. 5. Suzanne Jouguelet, « Learning centres : un modèle international de bibliothèque intégrée à l’enseignement et à la recherche », Rapport de l’Inspection générale des Bibliothèques, remis à Valérie Pécresse, décembre 2009. Voir : http://www.educnet.education.fr/veille-education-numerique/fevrier-2010/rapport-learning-centres-modele-international-bibliotheque-integree-enseignement-et-recherche .
6. 6. « Les campus universitaires de demain », Le Monde, 27 octobre 2010. http://www.lemonde.fr/societe/portfolio/2010/10/27/les-campus-universitaires-de-demain_1431993_3224.html .

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Marc Chevrier25 articles

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Professeur au département de science politique de l'UQAM - Docteur en science politique, Marc Chevrier collabore régulièrement à L'Agora depuis plusieurs années. Il a publié divers articles sur la justice, la culture politique au Québec et au Canada et sur la réforme de l'État.





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