La première réaction de Pierre Karl Péladeau à la composition du cabinet de Justin Trudeau a dû laisser les députés péquistes passablement perplexes. « Ce n’est pas de mes affaires », a-t-il déclaré.
Certes, il ne lui appartenait pas de choisir les membres du nouveau gouvernement du Canada, mais il était pour le moins étonnant d’apprendre que le chef du PQ, qui entend démontrer que les intérêts du Québec sont mal servis dans la fédération, n’avait aucune opinion sur le sujet.
C’est plutôt François Legault qui a souligné ce qui crevait pourtant les yeux : aucun des six élus québécois invités à faire partie du Conseil des ministres ne s’est vu confier un ministère clé dans le développement économique. La réponse qui sera donnée à la demande d’aide financière de Bombardier donnera un sérieux indice sur le degré d’influence dont jouira le Québec en cette matière.
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