ÉLECTIONS PARTIELLES

La CAQ et le PLQ misent sur la fracture souverainiste

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Nos adversaires font leur beurre sur nos divisions

Libéraux et caquistes comptent sur l’affaiblissement du mouvement souverainiste pour réaliser des gains à l’occasion des quatre élections partielles qui se dérouleront le 9 novembre.

Un total de 27 candidats se feront la lutte lors des quatre élections partielles dans les circonscriptions de Beauce-Sud, Fabre, René-Lévesque et Saint-Henri–Sainte-Anne. La période pour produire une déclaration de candidature a pris fin samedi.

Le chef de la Coalition avenir Québec, François Legault, et la ministre des Relations internationales et de la Francophonie, Christine Saint-Pierre, affirment tous deux que la souveraineté s’essouffle. Selon eux, leur parti a un candidat de taille, apte à prendre le château fort péquiste de René-Lévesque, sur la Côte-Nord.

L’ancêtre de la CAQ, l’Action démocratique, avait déjà enlevé cette circonscription lors d’une élection partielle en 2002. À cette époque, la circonscription s’appelait Saguenay.

M. Legault espère saisir l’occasion pour démontrer que son parti est devenu la véritable solution de rechange au Parti libéral du Québec.

Comme il l’a déjà fait la semaine dernière, il a lancé un appel aux nationalistes et à ceux qui veulent défendre l’identité québécoise afin de faire barrage au gouvernement et d’empêcher les libéraux de demeurer trop longtemps au pouvoir. Il les a invités à se joindre à la CAQ afin « d’envoyer un message très fort à Ottawa plutôt que de continuer à rêver au pays imaginaire du Parti québécois ».
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