« L'Histoire est une résurrection totale du passé ou elle n'est pas. » J. M. Tourneur-Aumont (La Bataille de Poitiers et la construction de la France, Paris, 1940, p. 15)
Que ce renégat Frédéric Martel aille chercher dans l'histoire de ses ancêtres Charles Martel et Charlemagne – qui sont aussi les miens— pour savoir comment il faut défendre les intérêts nationaux de la France.
Voici un passage de leur biographie respective concernant la défense de ces intérêts :
Charles Martel. « Octobre 732 : Charles Martel arrête à Moussais-la-Bataille, au sud de Châtellerault, l'avant-garde du gouverneur de l'Espagne musulmane, Abd al-Rahman. Avec cette victoire dite ‘'de Poitiers'', Charles entre dans l'histoire comme le rempart de la chrétienté contre l'islam. Image erronée, car ce combat, destiné à empêcher le pillage de la basilique Saint-Martin de Tours, eut surtout une portée symbolique. Image réductrice, car Charles s'affirma, en bien d'autres occasions, en grand homme du dernier demi-siècle mérovingien ». L'une de ces occasions, de loin la plus importante de toutes, fut le combat entrepris contre l'aristocratie de la Gaule, complice des Musulmans qui s'est vendue à ces derniers en échange de biens matériels et de débauches charnelles.
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Charlemagne (petit fils de Charles Martel). « Homme d'État à la rude autorité mais sensible aux conseils de l'entourage qu'il s'est choisi, autodidacte féru de poésie latine et lisant le grec, initiateur d'une renaissance intellectuelle conçue pour les laïcs comme les clercs, mais aussi d'une nouvelle construction politique et d'un système monétaire qui durera mille ans, chef de guerre sans pitié et défenseur de la foi sur les champs de bataille comme dans les débats théologiques, organisateur d'un véritable État et fédérateur de peuples, attentif à l'enseignement que l'on dispense dans les écoles aussi bien qu'à la bonne tenue des domaines ».
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Aujourd'hui nous voyons pourquoi, avec les milliers de traîtres et de renégats, tel ce Frédéric Martel, l'Union Européenne (UE) ne peut être un projet sociopolitique viable, car la nouvelle aristocratie —les bureaucrates installés dans l'appareil de cette « Union » et dans les pays constituant cette union artificielle— est vendue aux pouvoirs « opaques » et aux mafias transnationales qui sont les responsables de la dénationalisation de la culture nationale. Le Québec n'échappe pas à cette dénationalisation culturelle depuis l'arrivé de Jean Charest au pouvoir, le mercenaire politique imposé par Ottawa.
Jean-Louis Pérez
Un renégat au service des intérêts occultes
Frédéric Martel et la dénationalisation de la culture
Les fils reniant leur propre origine culturelle sont toujours prêts à tuer leur patrie
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2 commentaires
Archives de Vigile Répondre
19 juillet 2010"Out" la France :
« Le Québec se montre souvent plus réticent que l'Europe francophone à utiliser des mots franglais, ce à quoi les annonceurs publicitaires s'adaptent. Par exemple l'ordinateur portable MacBook d'octobre 2008 est vanté par Apple pour sa « coque unibody » en France, mais pour son « boîtier monocorps » au Canada francophone. »
http://fr.wikipedia.org/wiki/Franglais
Archives de Vigile Répondre
19 juillet 2010Clothaire Rapace est le cas patent!
Ces gens-là n'ont qu'une seule patrie, le profit et l'argent.