Le problème au Québec, ce n'est pas l'anglais, les Anglo-Québécois ou même le Canada anglais; le problème, c'est le système qui nous a été imposé de force par les Britanniques et leurs descendants à la suite de l'invasion brutale de 1760. Si le Québec était un pays indépendant, l'anglais serait pour nous un outil permettant de s'enrichir dans le monde international plutôt que d'être un outil de domination par le peuple d'à côté qui nous en impose les coûts par l'entremise de sa Cour suprême et de ses lois fédérales. Tout cela veut dire que, dans un Québec indépendant, nos jeunes imposeraient le français dans leur propre patrie pour y être les patrons et y faire beaucoup d'argent tout en apprenant un anglais de qualité pour faire encore plus d'argent à l'échelle internationale. Ce serait une stratégie gagnant-gagnant !
Bon visionnement,
Jean-Jacques Nantel, ing.
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1 commentaire
Gaston Carmichael Répondre
2 septembre 2019Merci M. Nantel,
Quelle est votre proposition par rapport à l'application de la loi 101 aux Cégep?