L'affaire Delorme-Normandeau

Contrat d'évalutation environnementale

Pas de conflit d'intérêts chez Genivar, assure Nathalie Normandeau



La ministre des Ress...

Normandeau confirme sa relation avec Delorme



La Presse canadienne 20 avril 2011 Québec Québec — La vice-première ministre Nathalie Normandeau a confirmé, hier, qu'elle entretient une relation amoureuse avec l'ancien chef de police de Montréal, Yvan Delorme, dont les liens présumés avec un homme d'affaires controversé suscitent depuis quelques jours des questions de l'opposition. Mme Normandeau a cependant refusé de commenter plus amplement cette situat...

En plein ça - la gestion des asticots...

Pétrole et gaz dans le golfe du Saint-Laurent

L'évaluateur environnemental a des intérêts dans l'industrie pétrolière

La firme Genivar, mandatée par Québec, a acquis une entreprise albertaine


«Et chez Genivar, nous sommes régis par des règles d'éthique très rigoureuses. Quand on fait un projet, on travaille pour ce projet et non pas sur des projets futurs potentiels qu'on pourrait aller chercher»

Yvan Delorme nie faire l'objet d'une enquête

Dans un communiqué, l'ancien chef du SPVM se dit victime «d'une campagne de salissage»


«Je n’ai connaissance d’aucune enquête sur mon compte», a dit hier Yvan Delorme par voie de communiqué. Photo : Jacques Nadeau - Le Devoir

Le cas Delorme soumis à la GRC

Les relations de l'ex-chef du SPVM avec BCIA et les anciens ministres Tony Tomassi et Jacques Dupuis au centre des préoccupations


Robert Lafrenière venait en effet d'être averti qu'il y avait des liens entre Luigi Coretti, propriétaire de la controversée agence de sécurité BCIA (Bureau canadien d'investigations et ajustements), le chef de police Yvan Delorme, le ministre Jacques Dupuis, ainsi que le ministre de la Famille, Tony Tomassi.

Le PQ exhume le cas Yvan Delorme



Québec — Il est «extrêmement étonnant» qu'un homme comme Yvan Delorme ait pu être reconduit par Québec à la tête du SPVM alors qu'il faisait l'objet d'une enquête pour ses rap...

Marois veut une enquête



Québec — Montréal ne traverserait pas une «crise sans précédent», une «crise des institutions», une «crise de confiance et de gouvernance» si le gouvernement Charest avait déclenché une commission d'enquête, a lancé Pauline Marois hier, à la période de questions. La chef de l'opposition a rappelé que le 30 novembre 2009, la Ville, dans une résolution, avait réclamé une commission d'enquête. Rétrospectivement, cette ...

Delorme nie avoir favorisé BCIA

Le chef du SPVM reconnaît que le dossier de la firme était entaché d'erreurs administratives


«Ai-je favorisé, aidé, influencé un quelconque fournisseur au SPVM? Jamais. Mes valeurs d’intégrité sont trop hautes pour ça», a lancé le directeur du Service de police...

BCIA - Zones d'ombre



Quelle lecture faut-il faire du très attendu témoignage du directeur du Service de police de la Ville de Montréal, Yvan Delorme, hier, devant la Commission de la sécurité publique de la Ville, au sujet du curieux processus d'octroi de contrats de surveillance de son quartier général à la firme privée BCIA, maintenant en faillite? Celle de l'administration Tremblay qui, par la bouche du président de la Commission,...