ÉGIQ - États généraux de l’indépendance du Québec

Les moyens justifient la fin

La nature de la souveraineté du Québec sera le reflet direct des moyens utilisés pour y arriver


Alors que je cherchais à comprendre certains obstacles à la réalisation de la souveraineté du Québec, j’ai constaté la chose suivante : beaucoup d’entre nous souverainistes supposons dans notre dialogue l’impossibilité du désaccord. Nous sommes d’accord sur le fond, c’est-à-dire la souveraineté du Québec, mais nous argumentons des fois vainement sur des points techniques et bloquons ainsi volontairement notre acti...

Chronique de la croqueuse de mots

Vous avez dit... "EGIQ"?



Si le discours indépendantiste doit s'unifier, c'est en se concentrant sur les raisons de faire l'indépendance.

ÉGIQ: une stratégie d’implantation

Comment commencer à mettre en place les ÉGIQ maintenant


Où sont les souverainistes de mon quartier ? Si on veut faire avancer notre cause, je pense que nous devons commencer à créer des liens entre nos voisins souverainistes.

Pour les États généraux de l'indépendance du Québec

La démocratie au Québec est devenue malsaine. Depuis trop longtemps, les indépendantistes votent à reculons pour ce qu’ils jugent être un moindre mal


Peut-on vraiment se permettre de demeurer divisés? Peut-on vraiment se permettre un autre quatre ans sous gouverne fédéraliste? L’indépendance n’attendra pas éternellement : à nous de la provoquer.

Des États Généraux pour refonder un parti indépendantiste

Suite à ce refus récurrent d’assumer les exigences du combat indépendantiste, un grand nombre de souverainistes ne voient plus le parti québécois comme un véhicule de leurs aspirations


Pour ceux qui pensent que cette démarche devrait se faire uniquement à l’intérieur du parti, je soutiens qu’ils s’illusionnent sur l’ampleur du rejet du parti par les souverainistes qui militent à l’extérieur.

États Généraux sur l’Indépendance (EGI)

Notre situation est unique dans l’Histoire du monde moderne

La construction du pays du Québec commande une vision emballante, une volonté inébranlable, une détermination sans faille et un courage de tous les instants ancrés dans l’action.


De toute évidence, le nécessaire débat d’idées auquel les membres du PQ étaient en droit de s’attendre, à la suite de la sévère raclée subie le 26 mars dernier et la démission subséquente de Monsieur Boisclair, n’aura pas lieu. Tout indique que Madame Marois sera couronnée chef du Parti québécois. Est-ce une bonne chose dans les circonstances actuelles? Je ne sais pas. Par contre, si Madame Marois désire réaliser ...