Actualité québécoise - vers une « insurrection électorale »?

Le PrattiGescagnatiévisme en difficulté - Sauver les meubles dans la panique

Fin de régime à La Presse !? Changement de régime... pour sûr !

Objectif, protéger la « crédibilité » journalistique effondrée de La Prat'da


Gesca rentable et prospère !? On a longtemps pensé que Gesca et La Presse étaient des entreprises prospères. Le secret sur leurs États financiers cachant la richesse supposée. Une rumeur nous a récemment plutôt indiqué qu'il pourrait plutôt s'agir du contraire. Le secret cacherait plutôt le contraire de la prospérité. Il est plutôt question de cacher les pertes qui seraient compensées par la « ...

Sans-gêne fédéraliste ou comment faire semblant de raisonner (ad hominem) et prétendre justifier "l'Idée fédérale"...

Le gène de la souveraineté



Dans un texte publié dans les pages de La Presse d'hier en réaction [à un éditorial d'André Pratte->20909] (La Presse, 24 juillet), l'ancien [premier ministre Bernard Landry->21009] nous explique ni plus ni moins le contraire [?] de ce qu'il soutenait autrefois, à savoir que les électeurs aînés optaient davantage pour le fédéralisme, mais que le temps et l'âge auraient raison d'eux. Selon lui, les souverainis...

Une progression inexorable



Aujourd'hui, une bonne proportion de souverainistes sont grands-parents et ils n'ont généralement pas à convaincre de leur idéal les deux générations de leur descendance: c'est presque toujours déjà fait naturellement. Cela crée une triple alliance intergénérationnelle extrêmement porteuse.

Qui doit être souverain?



Le Québec a besoin de la souveraineté qui lui convient et non de celle des autres. Les institutions d'identification tels la famille, les partis politiques et la religion, sont en déclin. En revanche, l'État qui les relaie maintient sa place centrale. Le Québec ne peut se priver d'un État fort et complet sans courir le danger de disparaître.

Dis-moi de qui tu ris, je te dirai qui tu es...

Casser du sucre

«C'était “cute”, votre petit projet de référendum. C'est là que nous, le vote ethnique, on a su qu'on était passé à ça de l'esclavage.»


Sugar Sammy a été sacré Révélation de l’année du 27e festival Juste pour rire avec un numéro dans lequel il provoquait les Québécois. «L’humour n’est pas vraiment drôle s’il n’offense personne. J’aime rendre les gens mal à l’aise.» Payer pour rire jaune, en somme. «J’ai toujours senti qu’il y avait un froid entre ma culture indienne et la culture québécoise. […] Il n’y avait pas de pont qui reliait nos ...

Un référendum en 2016



Il y a 10 ans, Bernard Landry soutenait que l'évolution démographique rendait l'indépendance du Québec inéluctable. «Le simple écoulement du temps donne 0,5% de plus à l'option souverainiste chaque année parce que la fatalité fait que les plus vieux ne votent plus», avait déclaré celui qui était alors vice-premier ministre. On s'en doute, ces propos avaient choqué. Ils se sont aussi révélés inexacts. Quel imp...

Amenez-en des belles-mères!



C'est pourquoi, seule peut nous sortir du déclin tranquille une grande mobilisation extérieure aux gouvernements et aux partis. C'est pourquoi nous avons besoin de tous les vétérans, non pour gouverner la province, mais pour animer le débat, briser le silence médiatique et réveiller le Québec assoupi dans la soumission.

Le Québec sous hypnose



Tout monde sait, cependant, que le Québec va finir par se réveiller. Le problème, c'est de savoir quand. Un beau matin, quelqu'un va lui marcher sur le gros orteil et il risque de se réveiller de mauvaise humeur. De nouveaux chefs vont sortir du lot. Les Québécois vont relever la tête et se redonner la perspective qui leur fait tellement défaut en ce moment. Nous aurons retrouvé le goût de la conquête.

Le 400e a guéri la «coupure» de la bataille des Plaines

François Alabrune quitte le Québec après cinq ans comme consul de France<br>("Merci à tous les Québécois")


«On ne peut pas nous demander de célébrer nos défaites!», lance pourtant M. Alabrune, avant de rire un bon coup. Puis il se ressaisit, sort de sa réserve officielle et propose sa théorie sur les rapports entre 1608 et 1759, année de naissance et de décès de la Nouvelle-France. «Si l'on a célébré avec tant de force le 400e, c'est justement parce que notre mémoire historique, à nous, Français et Québécois, dans notre relation, était un peu obstruée par la bataille des Plaines d'Abraham», lance-t-il.

Une souveraineté bien réelle !



La souveraineté, prétend-il, serait inutile puisque le Québec a réussi à se développer à l'intérieur de la fédération canadienne pour devenir l'un des peuples les plus prospères et créateurs de la planète. La réponse est pourtant simple: au cours des 50 dernières années, le Québec est allé au bout de ce qu'il est possible d'accomplir dans le cadre constitutionnel actuel.

Ottawa s'intéresse à un mémoire de maîtrise sur la souveraineté



L'intérêt porté par les plus hautes instances du gouvernement fédéral à un mémoire de maîtrise sur l'évolution de l'appui à la souveraineté, rédigé par un étudiant en sociologie de l'Université de Montréal, mystifie son auteur.

Québec

Profiter des circonstances



On m'a fait l'honneur, samedi dernier, le 13 juin, de la première page du cahier Perspectives, au sujet d'un extrait de la conférence que j'ai prononcée devant IPSO (Les intellectuels pour la souveraineté) -- [reproduite intégralement sur Internet (Vigile.net)->20278]. Quelques jours plus tôt, Michel David proposait, sur le même sujet, [que l'on m'enferme->20355], suivant en cela les traces de Diane Francis, du temps qu'elle dirigeait le Financial Post.

Une nouvelle donne pour la souveraineté du Québec



La situation actuelle au Québec, comme à l’échelle planétaire, marque un tournant dont les partis souverainistes doivent prendre acte pour mieux faire ressortir les avantages de la souveraineté du Québec afin de faire face aux défis d’aujourd’hui et surtout de demain.

Le référendum d’initiative populaire



Extrait d’un article de Jean-Herman Guay, « La dialectique de la souveraineté », paru dans Options politiques, volume 28, no 4, avril 2007, p. 79-83. En modifiant la loi sur les consultations populaires, l’Assemblée nationale pou...

Campagne de financement 2009 - J&#8217;investis pour mon pays

La souveraineté ? Plus que jamais!



La crise est là. Planétaire. Sollicitant des interventions musclées. Que seuls des pays peuvent structurer. Pour se protéger et se développer la seule nation francophone d’Amérique ne peut toujours pas compter sur l’ensemble de ses moyens. La majorité de ses pouvoirs et de ses ressources relève d’ailleurs. Le Québec n’est pas maître chez lui. Il est dépendant. Il est vulnérable. Plus que jamais la souv...

La place des jeunes est primordiale!



Les journaux ont dit 500. La radio 1000. J’y étais. Au bas mot, en ce 24 mai 2009, à Montréal, nous étions 2000 à répondre à l’appel d’un groupe « spontané » de jeunes souverainistes à « marcher vers l’indépendance ». L’ambiance était festive. La marche, rythmée. Le verbe, clair. « Qu’est-ce qu’on veut? On veut l’indépendance ». Tout était surprenant dans ce regroupement. D’abord l’initiative. Émana...

Sondage Léger Marketing-Le Devoir

Le vote francophone porterait le PQ au pouvoir



Alec Castonguay - La force du Parti québécois chez les francophones aurait porté Pauline Marois au pouvoir si des élections générales avaient eu lieu au milieu du mois de mai au Québec. C'est ce que révèle un nouveau sondage Léger Marketing-Le Devoir. La chute du gouvernement Charest dans les intentions de vote, provoquée par les résultats de la Caisse de dépôt et placement et la nomination de Mich...

Éloignez ce calice



Indiquer clairement qu'il interprétera une victoire électorale comme un mandat de tenir un référendum, sans nécessairement s'y engager de façon formelle, coûtera certainement des voix au PQ, mais cela vaut peut-être mieux que de perdre son âme. Mme Marois peut éloigner le calice encore un temps, mais elle devra éventuellement le boire jusqu'à la lie, comme l'ont fait ses prédécesseurs.

Le courage de ses convictions



Le politicien idéal aurait le courage de ses convictions. La vie politique, la quête du pouvoir, les aléas de la conjoncture lui imposeraient certes des virages et des compromis. Mais il y a un seuil qu'il refuserait de franchir: celui des idées qui lui sont les plus chères, celui de ses principes. Pour ceux-là, il serait prêt à se battre, quitte à perdre. À quoi bon faire de la politique si ce n'est pour défendre d...

Québec Solidaire et la question nationale



En tant que membre de Québec Solidaire, indépendantiste et militant de gauche, je suis très déçu des résultats du congrès de la fin de semaine dernière tel que j’ai pu en prendre connaissance dans les journaux. Les avancées sur la question de l’Indépendance du Québec et de la défense de la langue française sont tellement timides. De plus il n’est jamais question d’identité québécoise au sein de notre parti co...

Le Canada, «l'autre» nation



Dans son [éditorial du 1er mars->18326], André Pratte blâme certains souverainistes d'utiliser l'expression «l'autre nation» pour désigner le Canada....

Former PQ insider warns against Yes vote

Sovereignty could backfire, giving Quebec less power than now


Polèse has courageously defied Quebec academia's taboo against a critical analysis of independence. The intellectual elite will surely ignore his apotasy. That's the best way to deal with an unpalatable argument that's hard to refute.

Bile and prejudice won't work with Quebec

Trad.: "Non à la ligne dure", A. Pratte


In an editorial published on Feb. 24 ([“Tell Quebec where to get off”->18180]), the Post suggests Stephen Harper should change his open federalism approach towards Quebec for a “tough-love” one. The editorial also argues that Ottawa should go back on its decision to cancel a reconstitution of the Battle of the Plains of Abraham, “if need be, providing federal security for the event.” Federal politicians should als...

Réplique à Alain Dubuc

Quelle table pour le Québec dans le Canada ?



Vous avez raison, M. Dubuc, notre voix serait bien frêle mais elle exprimerait nos priorités et elle donnerait tout de même sur le monde alors que rester une province, c'est accepter que l'écho de nos paroles aboutissent directement dans le sous-sol canadien. Quel beau projet d'avenir !

Separatist 'facts' need challenging



An economic hurricane is buffeting the globe, but Quebec separatists can feel the wind in their sails. As governments around the world scramble to co-ordinate their plans for economic stimulus, the Parti Québécois argues that the best road map for recovery is the path of independence. That may sound like a tired recycling of old Péquiste shibboleths from the referendum era, but it would be a mistake to show c...

Quelle table pour le Québec?



En outre, le Québec, s'il était un pays, aurait du mal à s'insérer dans une foule de débats parce qu'il n'aurait pas de monnaie, pas de banque centrale, pas de participation formelle à une union monétaire et probablement pas de système bancaire propre.

Pourquoi alors 50 députés bloquistes sur 75 au Québec ? Pratte oblitère le conflit originel Canada Québec, confirmé et aggravé à chaque génération.

Le nettoyage politique



N'en déplaise aux indépendantistes, le Canada demeure le pays des Québécois et le gouvernement du Canada est leur gouvernement autant que celui des autres Canadiens. La présence du gouvernement fédéral au Québec est non seulement légitime, plus souvent qu'autrement elle est bénéfique.

Tout ça n'est pas très convaincant...

La souveraineté imaginaire



Conclure, comme je le fais, que l'option fédérale est préférable, ce n'est pas renoncer aux objectifs qui, il y a 40 ans, ont motivé mon adhésion à l'option souverainiste. C'est toujours le développement économique et social des Québécois et l'épanouissement de la langue française qui restent mes motivations premières. L'option fédérale, sans vouloir l'idéaliser, me paraît aujourd'hui offrir plus de garanties de succès que l'option souverainiste.