Madame Saint-Pierre,invente de la paperasse solennelle à faire signer aux gens d'affaire pour:
« Construire ensemble notre avenir en français ».

Quelle grossièreté! Elle n'a jamais levé le petit doigt pour faire respecter et appliquer la loi 101 et tiens, soudainement madame la marquise du reniement, voudrait
« bâtir en français»?
Qu'est-ce que c'est que ça?, une sorte de retour bidon de l'enfant prodigue à la maison?
Incidemment cette dame se spécialise dans les signatures pour bien protéger ses arrières et ses devants. À radio-canada elle est partie avec un document blindé « d'au cas où l'expédition politique tournerait mal » C'est pas tous les gens qui peuvent se blinder tout azimut comme ça.

Tout ceci n'est qu'une mascarade pour fourrer intellectuellement le peuple, comme madame Normandeau avec son slogan de prédilection favoris qu'elle utilisait abondamment pour fourrer le peuple préoccupé : « Ne vous inquiétez pas, tout sera bien encadré»
Je crois bien qu'elle aurait pu faire sauter sans le moindre dommage une bombe atomique dans le parlement tellement elle savait bien encadrer le danger cette dame de schiste. C'est plutôt elle qui était bien ''encadré'' par les requins.
Alors, il est clair que madame la marquise Saint-Pierre prépare sa réélection, elle voudrait inoculer dans le peuple qu'elle méprise, un cliché subliminal favorable pour prolonger son séjour à Versailles des colonisés.
Les papiers, les lois 101, et cetera, on sait ce que ça vaut entre leurs mains.

Jean

Effectivement il plane dans les airs ces temps-ci une sorte de consigne silencieuse, insidieuse, peureuse, à ne pas associer par exemple une pomme verte avec les feuilles , la branche, le tronc, et finalement tout l’arbre sous menace on dirait de découvrir que l’arbre est parasité par un champignon qui le fait mourir à petit feu, et surtout d’en faire le lien publiquement.
Quel renoncement, quelle cécité du cœur auto-punitive participative. Comment peut-on dissocier séparément, rationnellement, «La journée de la Terre » sans tenir compte en même temps des foyers corrosifs, d’activités parasitaires , économiques, industrielles et ultimement politiques , qui l’accable et la torture justement, cette terre.

La terre, elle ne se pollue pas toute seule, elle ne se pille pas elle-même. L’écologie planétaire et la politique ce ne sont pas deux cannes de binnes de marque différente sur une tablette d’épicerie.

Il faut le crier, le hurler son désarroi sous la voûte des prostitutions. Les fresques du temple nous le montrent magnifiquement, et le chœur nous le chante glorieusement. C’est comme le printemps.
Jean

Débarassons-nous du sale dollar canadien, et le problème se résorbera de lui-même.

Ici c'est un pays en gestation, pas un dépôt d'esclaves.

Jean

Jean

Se servir du système immunitaire de la communauté du peuple pour le retourner contre lui-même, c’est un acte de barbarie qui montre bien à quel sorte d’individus avec qui on a affaire.

Si j’étais policier, je me révolterais plutôt que de travailler pour des porcs . Peuple debout, chante-là ta délivrance, la dignité ne demanderait jamais qu’on se mette à genoux devant elle, et à plus forte raison devant des porcs.
Toutefois, le soleil se lève magnifiquement et inexorablement sur le monde.
Jean

Toute branche latérale sur le tronc de l’arbre qui devient plus grosse que l’arbre lui-même et menace de faire éclater le tronc en deux, doit être enlevé.

Jean

Le peuple, son journal,ses ondes, sa piasse, son pays.

Jean

Je partage votre fureur. Vous m'avez confirmé bien des choses dans votre texte. Les cheveux m’ont dressé sur la tête à certains moments.
Quant à monsieur franc-tireur, eh bien, il se tire dans les bottines comme un colonisé. J'apprend qu'on a peur des étudiants, qu’on voudrait les isoler du peuple comme des brebis galleuses.
Des étudiants sans dettes avec des diplômes et des doctorats c’est très dangereux pour les institutions bancaire, et les strates mondaines coincées entre le peuple et la ploutocratie; on voudrait bien les enchaîner ces étudiants, avant qu’ils ne prennent le large.

On leur fait peur avec des épouvantails comme la maudite dette bidon sans facture explicative, qui n’empêche personne de dormir. Les étudiants ce sont des citoyens du peuple d’abord, et s’ils estiment que l’étendard de la nation a sa place dans leurs refus de se faire empaler d’avance en se faisant piéger dans un système corrompu qui sacrifie ses générations pour payer un dette de menteur qui soutient une pyramide de voleurs, eh bien c’est à eux de décider ça, pas aux petits moralistes directeurs de consciences.

Mais le plus révoltant encore, c’est cette répugnante manipulation contre le peuple que l’on traite comme des arriérés mentaux tout juste bons à payer des taxes et des permis. On ne les a jamais informé loyalement ce peuple, votre peuple, mon peuple. On lui a toujours caché ce qu’il devait savoir sur SES affaires. Quel crime odieux impardonnable!

L’argent est la trame de fond partout, partout, dans tous les problèmes inimaginables. C’est dire dans quoi au juste le monde est embarqué. Que d’énergie, d’œuvres, d’inventions libératrices, d’épanouissement de la race humaine perdus, par l’esclavage inutile de l’argent dette. C’est une abomination.

Plantons nos patates et faisons notre planche à piasses contrôlée par le peuple. Le peuple sait lui, la valeur des choses, car c’est lui précisément la génératrice de la richesse. Comment pourrait-il devoir au centuple la richesse qu’il engendre lui-même? Sortons de là!
Jean

Ah! Comme c’est beau cette chanson en français qui ressemble aux chansons anglaises ça transporte, c’est le même rythme les mêmes couleurs. Et que disent les paroles de cette belle mélodie chantée en français, et qui ressemble à une chanson anglaise? Je n’sais pas, j’écoutais pas, c'est-à-dire que j’écoutais mais sans vraiment écouter, je me laissais transporter voilà c’est tout.

Transporter, … comme les chaînes radio anglicisées ont apprises à si bien le faire. On transporte quelque part dans une sorte d’idéal imaginaire paradisiaque,boum boum la cadence, là où tous les esprits de la terre se confondent dans le même creuset. Mais qui donc prépare la soupe?

L’artiste veut conquérir le monde, mais pour conquérir le monde, il faut bien venir de quelque part! Comme Céline Dion, qui peut-être aurait bien aimée que le monde fut en français, comme chez-elle. C’est l’exil à perpétuité. La solitude est grande chez les grands.

L’artiste qui reste à la maison culturelle lui, elle, défriche laboure son royaume il, elle, cherche son or, ses diamants, les métaux rares, inconnus, personne n’en connait la valeur mais au jour de l’Annonciation c’est le cœur qui juge et le peuple s’enrichit de ses trésors. La nation croît, elle existe chez-soi pour vrai. Elle ne peut pas exister en exil.

Artistes de la nation, cherchez, fouillez, creusez, les diamants sont nombreux sur l’hélicoïde génétique culturelle du temps. Nombreux comme les étoiles sur la voûte; car chaque génération y a laissée des souvenirs, émouvants, fantastiques, que l’inspiration poétique du futur fait remonter dans le monde, comme les diamants de l’histoire du monde remontent des cheminées volcaniques.

Vive nos poètes lyriques libérés du Québec

Jean

Jean