Appartenir à un peuple, c'est sacré; nul ne peut ordonner l'assimilation d'un peuple, soit par la violence physique ou mentale, par des politiques de dilution, par l'immigration vicieuse d'envahissement, ou de quoi que ce soit d'autre, dont la nature démontre une volonté extérieure à dénaturer l'esprit et le corps d'une nation quelle qu'elle soit.
C'est à la nature naturelle des choses, d'hybrider les peuples, sans intervention autre que la nature elle-même; tant pis pour « Le temps c'est de l'argent et du pouvoir ».
Le temps existe pour apprendre à ressentir tout ce qui peut être ressenti dans l'univers; la vie c'est ressentir et quand on ressent, c'est toute l'intelligence en résonance de la terre qui nous est accessible, contrairement à tenter de surcharger un cerveau froid déjà surchargé de névroses donc, pour tenter de bouffer le monde à soi-même comme un ogre cosmique imbécile à qui on a appris à se prendre pour un génie.
Le dicton « Notre cerveau n'est utilisé qu'à quelque % pourcent », illustre bien cette course névrotique planétaire à rêver de s'emparer du contrôle de la machine cervicale complète, pour accroître son pouvoir sur les autres; en réalité le cerveau ne sert qu'à nous connecter avec la vie, et moins un individu ressent, davantage il a besoin de surcharger ses neuronnes d'informations.
Le génie il appartient à TOUS sans exception, parce que tous peuvent ressentir; pas seulement les pauvres, et il est inutile d'aller à la guerre pour enfin RESSENTIR quelque chose qu'on vous a volé; votre capacité naturelle à ressentir la vie.
Quand on ressent la vie, on la respecte naturellement parce qu'on l'aime naturellement comme la nature nous a créée.
Serge Jean
Pensionnats indiens
SENUKEHU (Viel homme aigle)

Le peuple invisible Richard Desjardins