Faut-il nier les statistiques criminelles lorsqu'il s'agit de Noirs ou d'autochtones?
6 novembre 2022
Selon le ministère de la Sécurité publique, bien que les femmes autochtones ne représentent que 4 % de la population canadienne, elles constituent près 50 % de la prostitution, soit 12 fois plus que dans la population générale. Il y a de quoi s'interroger. L'excuse facile de la victimisation ne tient plus la route. Sur 100 prostituées, 50 sont autochtones.
Cela semble être considéré comme un mode de vie comme un autre, acceptable et accepté pour ces femmes qui bénéficient pourtant comme tous les autochtones de toutes les prestations imaginables, aide sociale à vie, instruction, logement, soins de santé, thérapies en tout genre; tout leur est donné et gratis. Tous leurs besoins sont comblés par l'État, plus que pour n'importe quel autre citoyen. Absolument rien ne les oblige à faire ce qu'elles font. Et pourtant c'est à ce mode de vie que ces femmes s'adonnent majoritairement, 1 sur 2.
On ne peut plus les excuser en disant que ce sont de pauvres victimes impuissantes, faibles et influençables, qui se laissent leurrer, entraîner par des soudoyeurs, des beaux-parleurs habiles, qui les séduisent et valorisent.
Source: Radio-Canada: Ottawa-Gatineau, axe de la prostitution canadienne
Reportage présenté le 6 novembre 2022.