Les wokes gangrènent le marché du travail
19 avril 2023
Le terme "woke" est devenu l'insulte ultime à adresser aux déconstructeurs radicaux de la société normale, qui dépouillent la majorité pour favoriser les minorités aux troubles histrioniques, assoiffées de reconnaissance et de visibilité.
Le premier ministre québécois François Legault ne s'est pas gêné pour en affubler Gabriel Dubois-Nadeau qui en fut saisi, voyant son petit jeu dévoilé au grand jour.
et ici aussi.
- François Legault a pour sa part proposé sa propre définition du terme. Selon le premier ministre, une personne woke est «quelqu’un qui s’oppose à la défense de la nation québécoise». Sa définition visait très spécifiquement Gabriel Nadeau-Dubois.
- Lors de son élection comme chef du Parti conservateur du Canada (PCC), Pierre Poilièvre a promis de libérer le Québec du «gouvernement centralisateur et woke à Ottawa».
- Selon le chef du Parti conservateur du Québec (PCQ), Éric Duhaime, le «wokisme» consiste à vouloir diviser la société en fonction de certaines caractéristiques, touchant principalement l’orientation sexuelle et l’identité de genre, et pratiquer la discrimination positive.
- Le chef du PQ, Paul St-Pierre Plamondon, a défendu un ex-militant de Québec solidaire qui avait osé exprimer des positions anti-wokistes. À lire ici.
Comme on le constate, le wokisme et les wokes sont peu recommandables et doivent être combattus. La classe politique est en train de s'en rendre compte et les a dorénavant dans sa mire.