Les enfants québécois avortés se font remplacer par des immigrants importés
6 août 2022
Les mouvements pro-infanticides prétendent défendre à cor et à cri les "droits fondamentaux de la femme".
Depuis quand le "droit" de donner la mort à son propre enfant fait-il partie des droits fondamentaux?
Peu importe le stade de développement de l'enfant, ça reste un enfant vivant. On ne peut pas être moins vivant ou plus vivant; on l'est ou on ne l'est pas. Il n'y a pas d'entre-deux.
Alors, lequel des deux l'emporte? Le droit de tuer (voulu par la mère) ou le droit de vivre (voulu par l'enfant) ?
De leur côté; les mouvements féministes hystériques revendiquent le droit de tuer prioritairement tous les bébés filles non désirés, le garçon demeurant le premier choix dans bien des cultures.
Ce genre de tuerie de masse autorisée ne s'appelle-t-il pas se tirer dans le pied?