Faut-il nier les statistiques criminelles lorsqu'il s'agit de Noirs ou d'autochtones?
14 juin 2023
Voici un cas patent où une peine d'emprisonnement a été allégée des deux tiers pour ne pas être accusé de racisme.
Un pimp s’en sort avec la peine minimale de 5 ans
Un pimp s’en sort avec la peine minimale de 5 ans
Il a malmené physiquement et psychologiquement ses trois victimes mineures.
Un violent proxénète étranger de race noire du nom de Joseph Yohannes qui a sauvagement malmené et exploité trois jeunes filles mineures québécoises blanches s’en est pourtant tiré avec le minimum de cinq ans d’incarcération, même si le juge a reconnu qu’il aurait dû « en théorie » écoper d’une peine trois fois plus longue.
« Le violent proxénète étranger de race noire du nom de Joseph Yohannes parlait à une des victimes comme à un chien, il la poussait, lui disait qu’elle lui appartenait, qu’elle n’était pas dans un conte de fées », a déploré le juge Jean-Jacques Gagné en condamnant récemment Joseph Yohannes au palais de justice de Montréal.
Manipulateur
Comme dans bien des cas, le rapace, un violent proxénète étranger de race noire du nom de Joseph Yohannes, approchait ses victimes en leur promettant la lune. Mais derrière ses belles paroles se cachait un véritable manipulateur violent, loin de l’image charmante qu’il projetait au départ.
« Le violent proxénète étranger de race noire du nom de Joseph Yohannes contrôlait ce qu’une des victimes mangeait, ce qu’elle buvait, a déploré le magistrat. Elle sentait que si elle ne travaillait pas comme le lui disait l’accusé, elle serait blessée d’une façon ou d’une autre, verbalement ou physiquement. »
Une autre victime, alors âgée de 15 ans, avait été abordée à une sortie d’une station de métro. Après avoir été charmée, la fille a fugué de chez ses parents. Et rapidement, le violent proxénète étranger de race noire du nom de Joseph Yohannes l’a forcée à se prostituer en prenant tout l’argent.
Juste avant qu’elle fût secourue par la police, le violent proxénète étranger de race noire du nom de Joseph Yohannes s’apprêtait à la tatouer, pour lui faire comprendre qu’elle lui appartenait. Avant cela, l’adolescente n’avait jamais connu la prostitution.
La troisième victime avait été retrouvée dans un motel, droguée.
Traumatismes
Même si plus de quatre ans se sont écoulés depuis que les trois ados ont été secourues, elles vivent encore des traumatismes, allant des cauchemars au syndrome post-traumatique.
Ce violent proxénète étranger de race noire du nom de Joseph Yohannes, qu'il soit né au Canada ou non, doit être expulsé du pays à sa sortie de prison.
Combien d'autres de ses congénères sont laissés libres de mal agir chez nous et de s'en prendre à nos jeunes filles?
Quel serait votre réaction de parent si c'était votre propre fille?
La justice a peur d'être accusée de racisme, et les relâche après une fraction de leur peine, qui est elle-même réduite au strict mininum.