Le surnombre de pseudo-demandeurs d'asile est une menace directe à notre identité collective
29 février 2024
Le premier ministre du Québec François Legault s'explique sur la menace de la surimmigration:
Après que son ministre a affirmé que les demandeurs d’asile posaient un risque pour l’identité québécoise, le premier ministre François Legault lui a emboîté le pas en ajoutant que les demandeurs d'asile menaçaient la langue française. « Les faits sont têtus », a-t-il laissé tomber jeudi dans un point de presse. Selon lui, 39 % des demandeurs d’asile ne parlent pas français. « On sait qu’au Québec, on a 80 % de francophones, que malheureusement, c’est en baisse. Donc, ça vient avoir un impact sur l’avenir du français. »
François Legault n’a pas hésité jeudi à reprendre les conclusions de ses ministres, en insistant sur la pression que les demandeurs d’asile exercent sur les services publics comme l’éducation et la santé. « On a dû ouvrir l’équivalent de plusieurs dizaines d’écoles pour les enfants des demandeurs d’asile alors qu’il manque de profs. On a évidemment beaucoup de pression sur les services en santé alors qu’il nous manque déjà d’infirmières. Puis, évidemment, ça a un impact important sur le logement », a-t-il déclaré.
« La Cour d’appel, une cour fédérale, vient nous dire qu’on est obligés de donner des services de garde subventionnés aux demandeurs d’asile alors qu’on n’arrive déjà pas à en donner aux citoyens québécois », a déclaré M. Legault.
Source: Les demandeurs d’asile menacent la langue française, selon François Legault
Dans ces extraits politiquement corrects, on parle toujours de "demandeurs d'asile" alors qu'il faudrait spécifier à chaque fois que ce sont de "pseudo-demandeurs d'asile illégaux", la grand majorité étant frauduleux.