Faudrait-il enfermer les fous de l'asile comme avant?
5 mai 2024
Cette fois-ci, c'est une femme étrangère, atteinte du trouble de personnalité limite, qui tue sauvagement une autre femme à Montréal à coups de couteaux, l'anglophone Préscilla Fournier Tobal, dans l'une de ses crises imprévisibles et destructrices. Elle a ensuite mis le feu.
Sur sa page Quora, elle révèle l'étendue de ses problèmes mentaux:
"I've been diagnosed with BPD (borderline personality disorder) and I've known I had it from an early age.
I've done a number of things to try to improve my condition since. Personally the psychopharmacological route did not work for me, after trying out 6/7 different medications from antidepressant to mood stabilizers and antipsychotics which all had different side effects either worsening my state or not making up for the benefits (developing a major gambling problem on abilify for example)."
Source: Quora
Cette malade mentale incurable aurait dû être internée depuis longtemps, cela aurait sauvé une vie humaine. Dans cette crise meurtrière, elle aurait pu en tuer beaucoup d'autres de plus.
La place des aliénés mentaux dangereux et sujets à la psychose (perte de contrôle et de contact avec la réalité) est à l'asile. Un diagnostic psychiatrique de dangerosité doit être établi, puis ensuite on les enferme pour protéger la société de leurs actes insensés.
Source: Meurtre commis par une malade mentale à Montréal