Mila, la « paria »
6 février 2020
Plusieurs islamistes et leurs collabos estiment qu’en s’en prenant de manière spéléologique à l’anatomie postérieure de l’idole Allah, l’adolescente se livrait à une « attaque personnelle ». Si c’est le cas, ne doit-on pas accuser l’idole — et ses sbires — de « délit de blasphème » contre l’espèce humaine en considérant les prescriptions outrageantes du Coran à la violence grave, au meurtre et au génocide ?