Contre le totalitarisme covidien

Tout être humain possède des droits sacrés et inaliénables

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Chronique de Marc Labelle

Situation dramatique


       Depuis le déclenchement de la crise de la COVID-19 en 2020, les dirigeants à travers le monde, particulièrement en Occident, ont empêché les médecins de soigner les malades, qui étaient surtout âgés, avec les médicaments connus et peu coûteux, comme l’hydroxychloroquine ou l’ivermectine.  Il en est résulté des dizaines de milliers de vieillards morts prématurément dans l’indignité.  S’agit-il d’un crime contre l’humanité ?


       De plus, les peuples ont été soumis à des mesures liberticides illimitées allant du port du couvre-visage — une vraie muselière — à l’obligation punitive du passeport sanitaire, non seulement pour des activités agréables comme les repas au restaurant, mais surtout pour continuer de gagner sa vie.  S’agit-il d’un crime contre l’humanité ?



       L’élection fédérale 2021 du Canada fut un coup d’accélérateur de la folie covidienne : le premier ministre Justin Trudeau veut imposer la vaccination à l’ensemble des fonctionnaires fédéraux et aux voyageurs dans les trains ou les avions.  N’étant pas en reste, le premier ministre québécois François Legault vise la vaccination de la quasi-totalité de la population.  Son gouvernement persécuteur cherche spécialement à casser les soignants résistants à leur vaccination par un congé sans solde, et même la suspension de leur permis d’exercer leur profession.  Alors que le système de santé est déjà fragilisé par des décennies d’incurie politicienne.  De nombreux patients mourront des reports d’opération.  S’agit-il de crimes contre l’humanité ?


       Remarque : L’application de la Constitution canadienne multiculturaliste qui favorise l’exemption du passeport covidien au nom de convictions religieuses est injuste car elle crée deux catégories de citoyens, mais elle a toutefois l’avantage de prouver que l’obligation vaccinale est une vaste supercherie.


       La primauté fut accordée par les gouvernements occidentaux à la cupidité des grandes sociétés pharmaceutiques désireuses de s’enrichir avec des vaccins onéreux à répétition sous la garantie d’une clause d’exclusion de responsabilité.  Ils s’avèrent inefficaces : les pays champions de la vaccination connaissent la plus grande hausse de malades de la COVID-19 chez… les vaccinés.  Pourtant, l’infectiologue Dr Didier Raoult, un détenteur de prix Nobel, estimait que les vaccins suscitaient les variantes à cause de la faculté d’adaptation du virus de la COVID-19.  Des scientifiques eux-mêmes de la compagnie Pfizer admettent en privé que l’immunité naturelle humaine est bien supérieure aux effets prétendus des vaccins ; en fait, ils diminuent la capacité immunitaire de l’organisme.  Le pire est peut-être à venir puisque l’on ignore les effets négatifs de ces vaccins EXPÉRIMENTAUX à long terme, notamment sur l’ADN.


Le Code de Nuremberg


       Il fut adopté en 1947 dans la foulée de la Seconde Guerre mondiale contre les médecins et les dirigeants du régime nazi.  Devenu un code juridique universel, il est applicable en temps de paix autant qu’en temps de guerre.



  1. Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel.  Cela veut dire que la personne concernée doit avoir la capacité légale [c’est-à-dire être majeure ou adulte] de consentir ; qu’elle doit être placée en situation d’exercer un libre pouvoir de choix, sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes sournoises de contrainte ou de coercition ; et qu’elle doit avoir une connaissance et une compréhension suffisantes de ce que cela implique, de façon à lui permettre de prendre une décision éclairée.  Ce dernier point demande que, avant d’accepter une décision positive par le sujet d’expérience, il lui soit fait connaître : la nature, la durée, et le but de l’expérience ; les méthodes et moyens par lesquels elle sera conduite ; tous les désagréments et risques qui peuvent être raisonnablement envisagés ; et les conséquences pour sa santé ou sa personne, qui pourraient possiblement advenir du fait de sa participation à l’expérience.  L’obligation et la responsabilité d’apprécier la qualité du consentement incombent à chaque personne qui prend l’initiative de, dirige ou travaille à l’expérience.  Il s’agit d’une obligation et d’une responsabilité personnelles qui ne peuvent pas être déléguées impunément.

  2. L’expérience doit être telle qu’elle produise des résultats avantageux pour le bien de la société, impossibles à obtenir par d’autres méthodes ou moyens d’étude, et pas aléatoires ou superflus par nature.

  3. L’expérience doit être construite et fondée de façon telle sur les résultats de l’expérimentation animale et de la connaissance de l’histoire naturelle de la maladie ou autre problème à l’étude, que les résultats attendus justifient la réalisation de l’expérience.

  4. L’expérience doit être conduite de façon telle que soient évitées toute souffrance et toute atteinte, physiques et mentales, non nécessaires.

  5. Aucune expérience ne doit être conduite lorsqu’il y a une raison a priori de croire que la mort ou des blessures invalidantes surviendront ; sauf, peut-être, dans ces expériences où les médecins expérimentateurs servent aussi de sujets.

  6. Le niveau des risques devant être pris ne doit jamais excéder celui de l’importance humanitaire du problème que doit résoudre l’expérience.

  7. Les dispositions doivent être prises et les moyens fournis pour protéger le sujet d’expérience contre les éventualités, même ténues, de blessure, infirmité ou décès.

  8. Les expériences ne doivent être pratiquées que par des personnes scientifiquement qualifiées.  Le plus haut degré de compétence professionnelle doit être exigé tout au long de l’expérience, de tous ceux qui la dirigent ou y participent.

  9. Dans le déroulement de l’expérience, le sujet humain doit être libre de mettre un terme à l’expérience s’il a atteint l’état physique ou mental dans lequel la continuation de l’expérience lui semble impossible.

  10. Dans le déroulement de l’expérience, le scientifique qui en a la charge doit être prêt à l’interrompre à tout moment, s’il a été conduit à croire — dans l’exercice de la bonne foi, de la compétence du plus haut niveau et du jugement prudent qui sont requis de lui — qu’une continuation de l’expérience pourrait entraîner des blessures, l’invalidité ou la mort pour le sujet d’expérience.


Devant la Justice


       Les responsables du totalitarisme covidien et de ses conséquences néfastes, qui auront porté atteinte aux droits fondamentaux des citoyens par leurs actes, leurs écrits ou leur attitude personnelle, devront être traduits en justice selon cette liste non exhaustive :




Catégories de culpabilité



  1. Les morticoles, les docteurs Knock * et les apprentis sorciers : médecins, scientifiques, grandes sociétés pharmaceutiques qui ont sciemment nui à la santé physique et mentale de leurs concitoyens.

  2. Les dirigeants tyranniques : premiers ministres ou présidents, ministres de la Santé, directeurs de la Santé publique qui « savaient » et ont adopté des mesures liberticides.

  3. Les médiacrates : éditorialistes, journalistes ou chroniqueurs agressifs ou complaisants.


*  Par allusion au roman satirique de Léon Daudet, Les Morticoles (1894) : médecin qui est réputé faire mourir les malades plutôt que les guérir ; en particulier, mandarin de Faculté caractérisé par l’amour de l’argent, des titres honorifiques.  Dr Knock : « Tout bien-portant est un malade qui s’ignore. » (Jules Romains, Knock ou le Triomphe de la Médecine, 1923).


 


Références



  1. Wikipédia, Code de Nuremberg (1947) [y compris la traduction de référence 2009 des 10 articles], 29 août 2021.

  2. Catherine Austin Fitts, Vera Sharav et Sucharit Bhakdi, « Faire revivre le Code de Nuremberg », entretien dans le cadre du Symposium interdisciplinaire sur la COVID‑19, tenu les 29 et 30 juillet 2021, site Rumble, interprété en français, 17 min.

  3. RT France, « Project Veritas : des scientifiques de Pfizer piégés en caméra cachée sur la vaccination ? », 6 octobre 2021.

  4. RT France, « Covid : le taux de vaccination sans incidence sur la circulation du virus, selon une étude », 8 octobre 2021.


 


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Marc Labelle57 articles

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  Se voulant agent de transformation, Marc Labelle présente sur les valeurs et les enjeux fondamentaux du Québec des réflexions stratégiques, car une démarche critique efficace incite à l’action salutaire. Ses études supérieures en sciences des religions soutiennent son optique de penseur libre.





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2 commentaires

  • Normand Bélair Répondre

    25 octobre 2021

    Vous avez le choix, croire ce que vous avancez, ou prendre un vaccin pour vous libérer d'une possible mort et/ou complication à long terme.  C'est vorte choix, votre supposé liberté...


  • Jean-Claude Pomerleau Répondre

    15 octobre 2021

    Si un médicament existe pour réduire drastiquement les effets de la pandémie, et qu'on interdit aux médecins traitants de l'utiliser parce qu'il ne coûte presque rien pour protéger les intérêts des bigs pharmas. Peut-on alors parler de négligences criminelles ?

    Si la pandémie est si grave que les autorités doivent prendre tous les moyens pour la combattre, y inclus des mesures liberticides jamais vues en Occident, dans le but de sauver des vies, disent-ils.

    Quand est-il de l'angle mort de cette stratégie : le curatif ?

    Les médicaments pour réduire drastiquement les méfaits du Covid-19 existent pourtant. Pourquoi les populations l'ignorent : black-out des médias.

    Voici la démonstration qu'on peut réduire la pandémie de 97 à 99 % dans quelques semaines avec l'ivermectine. Le cas de certains états en Inde :

    https://www.zerohedge.com/covid-19/indias-ivermectin-blackout

    https://www.zerohedge.com/covid-19/ivermectin-truth-totalitarianism

    J'en parle ici à 12:58 :

    https://www.youtube.com/watch?v=Rz_N9KF-iyU